Vaud: Un chalet utilisé par des requérants d’asile alors que l’économie locale en avait besoin!

ND Ch. H. Voici l'affaire du chalet dont notre article parlait. La priorité étant l'asile pour Sommaruga, Maurer osant même soutenir cette PS alors que le peuple en a marre. La population suisse et notre économie doivent passer APRES de parfaits étrangers, musulmans, qui seront un poids financier important pour nos infrastructures. Il n'y a aucune logique dans ce choix, mais bien un immense mépris pour nos compatriotes qui essaient de s'en sortir ou qui tentent de soutenir notre économie. Je rappelle qu'un pays est censé protéger son peuple contre les agressions externes et favoriser le bien-être de sa propre population. La collégialité envers une Conseillère fédérale pro asile est une faiblesse dans ce cadre, si ce n'est une faute grave!

C’est beaucoup pour un paisible chalet de montagne. La Clairière, ancienne colonie de vacances vient finalement d’être vendue à l’Etablissement vaudois d’accueil des migrants (EVAM).

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«Nous sommes déçus car nous recherchons des lits chauds. Ce projet aurait été porteur pour la station.»

Le projet en question était porté par Martin Deburaux, directeur de Villars Ski School, désireux de diversifier son activité et de pallier le déficit d’hébergement dans la station. « C’est extrêmement dommage pour l’économie des Alpes, qui va au-devant d’immenses difficultés, même si je comprends le besoin d’aider les migrants.»

Les professionnels agacés

Au regard du projet Alpes vaudoises 2020, les professionnels du tourisme critiquent l’attitude du Canton. «On cherche des solutions, on demande des lits chauds et le Canton n’est pas capable de soutenir un tel projet, s’insurge Francis Decroocq, patron de plusieurs magasins de sport à Villars. C’est incompréhensible qu’on se tire une balle dans le pied de cette façon

De son côté, le Canton souligne l’urgence de la situation et son caractère évolutif. 

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