Cenator: Vous trouverez ci-dessous les réflexions de la présidente du POP Vaud, Anaïs Timofte, sur les prochaines votations fédérales.
L’article illustre parfaitement la Gauche suisse de tout bord, qui regorge de haine envers la Suisse, sa population et ses traditions.
Parallèlement, le seul parti qui défend encore les intérêts des autochtones, l’UDC, est son ennemi à abattre.
Anaïs Timofte, présidente du POP Vaud, accumule les clichés dans son article:
«Le parti prétendument agrarien ... parti nationaliste bourgeois» – le terme «bourgeois», dans la bouche d’une telle gauchiste, c’est comme «capitaliste», le pire des mots et des maux.
Finalement, malgré de rares positions divergentes internes, l’ensemble des partis de la gauche combattent l’initiative «Oui à l’interdiction de se dissimuler le visage dans l’espace public».
Pour cette gauche unie dans la haine du peuple, le nouveau prolétariat de substitution importé est devenu le prétexte de leurs revendications de justice sociale, car elle mise sur cette diversité pour acquérir plus de pouvoir.
Nous avons vu, en France, les frères de lutte de cette gauche radicale détruire de l’intérieur le mouvement des Gilets jaunes. Cette même gauche, qui est devenue une usine à victimes, refuse de reconnaître les droits de ceux qui sont les victimes de leur politique multiculturaliste, et étouffe tous les cris de désespoir.
Lorsqu’une initiative représente des idées proches de l’UDC, comme «No Billag» ou l’interdiction de se dissimuler le visage, la Gauche argumente toujours de la même manière, en inversant la réalité, voire en brandissant la menace que tout va devenir pire si les gens ne votent pas dans leur sens.
Tout le monde sait que la burqa est le porte-drapeau de la charia, qui est en totale opposition avec nos lois; mais pour cette gauche «padamalgam», le raciste, le fasciste devient celui qui veut interdire cette enseigne même de l’islamisme.
Timofte:
«l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers.»
Le mythe récurrent de l’UDC parti des multimilliardaires, suivi du cliché Blocher riche comme Crésus, n’est jamais loin dans ces attaques. Or dans un article publié le même jour dans 24 heures, nous apprenons que le PS lausannois dépense vingt fois plus (253’000.-) que l’UDC, ce qui montre clairement quels sont les partis qui ont les moyens.
En réalité, les pauvrissimes POP et Ensemble à Gauche, c’est-à-dire l’extrême gauche et l’ultra-gauche, dépensent 107'000 fr.
Et la présidente du POP reproche à l’UDC de dépenser 13'000 fr.!
De leur côté, les dépenses électorales de l’ensemble des Pastèques lausannois réunis se montent à 577'000 fr. en 2021.
D’autres arguments gratuits, voire mensongers, comme «l’initiative est mal rédigée», sont également systématiques dans les médias lorsque l’initiative représente un sujet proche de l’UDC.
Rien ne semble suffire à cette Gauche haineuse, qui a déjà accaparé et bétonné pratiquement tout le pouvoir. À Lausanne, par exemple, La Gauche occupe le trône depuis trente ans, elle a distribué entre petits copains et leurs proches pratiquement tous les postes clefs, faisant la pluie et le beau temps, sans aucune force d’opposition.
En Suisse romande, aucun contre-pouvoir à l’horizon, la Gauche domine déjà la totalité de nos médias, tous subventionnés, qui font en plus sa promotion et combattent l’UDC de toutes leurs forces.
Cette Gauche a asservi totalement l’instruction publique, et en plus elle a acquis la prérogative de censurer les réseaux sociaux.
Madame Timofte accuse l’UDC de mettre en danger la démocratie suisse en détournant le débat public, qui devrait porter selon elle »sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.»
Elle accuse l’UDC de «faire les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial ...»
Pour Timofte, la priorité de l’UDC devrait être de débattre notre modèle capitaliste! Cette politicienne a un toupet sans limite, c’est probablement même sa plus belle qualité!
Dans son délire de toute-puissance, Timofte veut donner des leçons de démocratie à l’UDC, et pleure de misère financière, tout en s’octroyant le droit de définir les sujets à débattre pour le peuple suisse.
Avec le visage sans scrupules de cette Gauche dans son combat pour la burqa, et l’inversion de la réalité dans ses positions féministes, on aura vraiment tout vu!
Encore une fois, la Gauche ose tout, c’est même à ça qu’on la reconnaît!
Nous constatons chaque jour que les néo-marxistes, en gagnant la guerre culturelle, ont également accaparé le droit de définir ce qui est vrai et réel.
«Le savoir, c’est le pouvoir», dit-on.
Mais le pouvoir que détiennent ceux qui définissent désormais ce que sont le savoir et le vrai est simplement effrayant!
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Levons le voile sur les enjeux des votations fédérales
Anaïs Timofte commente deux des objets soumis au vote le 7 mars.
Opinion -
Alors que l’UDC a subi ces dernières années de nombreux revers dans les urnes qui indiquent que le terrain exploité par le parti nationaliste bourgeois n’est plus le même que celui qui avait fait son succès au tournant des années 2000, ce parti fait tout de même les fonds de tiroir avec l’initiative «antiburqa» en n’hésitant pas à encombrer nos institutions démocratiques de sujets à l’opposé du primordial.
«Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses.»
Ce voile de fumée tombe à point pour cacher la position de l’UDC Suisse sur l’accord de libre-échange avec l’Indonésie.
Le parti prétendument agrarien se montre finalement peu enclin à protéger les agriculteurs suisses face aux importations et se réjouit même de la mise en compétition des travailleurs suisses avec leurs homologues indonésiens dans tous les secteurs.
Parallèlement, le lancement de l’initiative «antiburqa» montre clairement comment des problématiques sociétales qui ne concernent qu’à peine trente personnes sont agitées afin d’invisibiliser les positions antipopulaires du camp bourgeois en matière sociale et économique.
De nombreux commentateurs rappellent après chaque scrutin le faible taux de participation. C’est dire combien il est crucial de conserver les outils démocratiques de l’initiative et du référendum pour des causes d’intérêt public. À l’inverse, l’instrumentalisation de l’initiative populaire dans le but de susciter une polémique au sujet d’un bout de tissu s’apparente à une véritable confiscation des outils démocratiques par un parti qui en a les moyens financiers.
Resituer le débat public
Pour la gauche populaire que nous représentons, la discorde ne doit pas se structurer autour de questions sociétales (ou de mœurs), mais bien autour des questions sociales. Cela afin de resituer le débat public sur notre modèle économique, plutôt que sur des choix vestimentaires.
Face à cette initiative antiburqa, il existe donc un «non» de gauche qui ne s’apparente pas à une défense du voile intégral, mais à une volonté de réelle défense des outils de la démocratie directe afin que ceux-ci servent l’intérêt public. Qu’il s’agisse des conditions de travail et de revenu, de l’accès à la santé, des protections sociales, de l’avenir de nos retraites ou de l’urgence climatique: les véritables enjeux qui méritent que notre constitution soit dérangée ne manquent pas. Le référendum contre l’accord de libre-échange avec l’Indonésie en est un, pas l’initiative «antiburqa».
Source: https://www.24heures.ch/levons-le-voile-sur-les-enjeux-des-votations-federales-885015291338
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Toujours à propos des positions de l’extrême gauche: l’affichette du Courrier de ce week-end est une manipulation éhontée, elle prête à confusion en donnant malhonnêtement l’impression que pour dire non à la burqa il faut dire non à l’initiative. C’est faux.
Ne nous laissons pas induire en erreur;
il faut voter OUI si l’on veut dire
«OUI à l’interdiction de se dissimuler le visage».