L’UDC réclame la levée immédiate de la « situation particulière »

3. mai 2021

Le groupe parlementaire fédéral de l’UDC s’est réuni aujourd’hui pour préparer la session spéciale en cours. Il a pris les décisions suivantes:

  • la « situation particulière » selon la loi sur les épidémies (LEp) doit être immédiatement levée. Le groupe UDC a déposé au Conseil national et au Conseil des Etats deux motions identiques dans ce sens (21.3157, respectivement 21.3441). Selon la LEp, une « situation particulière » est donnée quand les organes d’exécution normaux ne sont plus à même de prévenir et de combattre l’éclatement et la propagation de maladies transmissibles. Compte tenu du fait que la population suisse vit depuis plus de 12 mois avec le nouveau coronavirus, les conditions justifiant une « situation particulière » ne sont plus réunies. Aujourd’hui les institutions ordinaires sont parfaitement capables de combattre l’éclatement et la propagation de la maladie virale. Le nombre d’hospitalisations a de surcroît baissé. Il n’y a donc plus de risque de surcharge des services de soins intensifs. Des concepts de protection efficaces ont été mis en place et les groupes à risque ont été entre-temps vaccinés.
  • le groupe UDC se prononce en faveur de la loi sur les profils d’ADN, donc de ladite phénotypisation. Ce procédé peut notablement faciliter les enquêtes policières, car il permet, sur la base d’une analyse ADN, de déceler la couleur des yeux, des cheveux et de la peau, les origines biogéographiques (continent d’origine) et l’âge, si bien que le cercle des délinquants potentiels peut être restreint.
  • le groupe UDC approuve la modification de la loi sur l’asile (17.423) en vertu de laquelle l’obligation des requérants d’asile de participer à la détermination de leur identité peut être élargie. A l’avenir, les autorités de migration pourront vérifier et analyser les téléphones mobiles, les ordinateurs et les tablettes de ces personnes. La majorité des requérants d’asile entrent en effet en Suisse sans papier d’identité, ce qui constitue un risque de sécurité considérable et une charge énorme pour les services d’état civil.
  • le groupe UDC se prononce en outre pour la protection de la production sucrière suisse contre le sucre importé de l’UE à des prix de dumping (motion de commission 21.3016 et in. parl. 15.4779 « Stop au bradage ruineux du sucre! Pour la sauvegarde de l’économie sucrière indigène »). De l’avis de l’UDC, les droits de douane sur le sucre importé de l’UE doivent être fixés à 70 francs par tonne. Parallèlement, l’UDC invite la Confédération à maintenir le soutien à l’économie sucrière suisse jusqu’en 2026 au même niveau qu’en 2021 et d’encourager la production bio de betteraves sucrières par des paiements directs de 200 francs par tonne.
  • le peuple suisse doit absolument se prononcer sur des traités internationaux de grande portée. Le groupe UDC se prononce donc en faveur d’une modification dans ce sens de la Constitution fédérale. Selon le nouvel article, les traités internationaux sont soumis au référendum obligatoire s’ils contiennent des dispositions ayant rang constitutionnel ou si leur application exige une modification de la Constitution fédérale.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/ludc-reclame-la-levee-immediate-de-la-situation-particuliere/

Cette micro-mesure est une gifle à la population et aux entreprises

UDC - Communiqué de presse

La micro-mesure d’aujourd’hui, que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral a réussi à faire passer, est une gifle pour le peuple et tous les artisans et commerçants dont les moyens de subsistance sont détruits par les mesures sanitaires. Le Conseil fédéral repousse de nouvelles ouvertures alors qu’il est évident que les fermetures ne sont pas une solution ! En effet, même dans les pays où le verrouillage est total, les chiffres de l’infection augmentent à nouveau.

  • Pour l’UDC, la micro-mesure prise aujourd’hui par la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral est inacceptable. Notre parti maintient ses exigences pour l’ouverture immédiate de tous les secteurs et entreprises avec des concepts de protection.
  • Il est également inacceptable que la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral ignore la volonté des cantons. Ces derniers ont demandé l’ouverture des terrasses de restaurants lors de la consultation et la moitié d’entre eux a exigé que l’intérieur des restaurants soit ouvert la semaine prochaine.
  • Le fait qu’il soit toujours interdit de manger à quatre dans un restaurant avec un concept de protection fonctionnel et, qu’en même temps, les réunions privées jusqu’à 10 personnes soient autorisées est totalement incompréhensible. Ces décisions arbitraires ont pour conséquence que la population ne les juge plus crédibles, ce qui se traduit apparemment par une augmentation des chiffres de l’infection.

Compte tenu de la lenteur du processus de vaccination, nous devons apprendre à vivre avec le virus. Toutefois, au lieu d’ouvrir les cafés-restaurants, ainsi que les entreprises de la culture, du divertissement, des loisirs et des sports, sous réserve de concepts de protection fonctionnels, la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral continue d’étouffer les entreprises et la population.

Aux yeux l’UDC, l’approche de la majorité de centre-gauche du Conseil fédéral est inacceptable, d’autant plus qu’elle court-circuite une fois de plus les cantons. Lors de la consultation, tous avaient exigé l’ouverture des terrasses des restaurants et la moitié des cantons avaient même soutenu l’ouverture de l’intérieur des restaurants. La majorité des cantons avaient également critiqué les valeurs de référence sur lesquelles le Conseil fédéral fonde ses décisions. En effet, les cantons demandent que les mesures d’ouverture dépendent du nombre d’hospitalisations et des capacités de prises en charge des unités de soins intensifs. En revanche, le nombre de cas, les taux de positivité et les taux de reproduction sont à relativiser du point de vue de la majorité des cantons.

L’UDC continue de prôner l’ouverture immédiate de toutes les industries et entreprises avec des concepts de protection. Les citoyens de notre pays doivent enfin pouvoir à nouveau vivre et travailler aussi librement que possible.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/cette-micro-mesure/

Un inquiétant “baby-krach” se profile

14 mars 2021 - par

J’ai toujours cru que le confinement allait être l’occasion de relancer la natalité. Quand on est enfermé entre quatre murs, quoi de plus naturel que de s’adonner à quelques galipettes sous la couette ?

Hélas, en guise de baby-boom, nous avons droit à un inquiétant baby-krach.

Les Français ne font plus d’enfants. Le moral ne suit plus, la confiance en l’avenir fait défaut.

En décembre 2020 on a observé une chute des naissances de 7 % par rapport à 2019.

Et en janvier 2021, ce sont 53 900 naissances qui ont été enregistrées, soit encore une chute de 13 % par rapport à janvier 2020.

https://www.europe1.fr/societe/la-natalite-en-2020-en-france-au-plus-bas-depuis-1945-4019452#:~:text

Nous sommes au plus bas depuis 1945 et il naît 100 000 enfants de moins qu’il y a dix ans.

La politique familiale de François Hollande a été un désastre. À part se laisser humilier par Léonarda ou se précipiter au chevet du délinquant Théo, quel est le bilan Hollande ?

Ajoutons à cela la crise économique liée à la pandémie et on obtient un moral en berne chez les ménages.

Cette situation est grave car c’est l’avenir du pays qui est en jeu. La décroissance démographique est la pire des calamités. Croissance économique et financement des retraites sont compromis.

Moins d’actifs, c’est moins de croissance, c’est moins de rentrées fiscales, donc moins de social. Un cercle vicieux.

La France a longtemps fait figure de bon élève en la matière, mais l’embellie est terminée. Le taux de fécondité est tombé à 1,84 et ne permet plus le renouvellement des générations.

Car avec la disparition des générations du baby-boom d’après-guerre, le nombre de décès ne cesse d’augmenter.

658 000 décès en 2020, soit 7,3 % de plus. Les naissances ont chuté à 740 000 en 2020.

Une situation qui fait le bonheur des immigrationnistes, toujours prêts à saborder un peu plus le pays. Avec eux, le nivellement par le bas est assuré.

Vu le désastre de l’intégration, ainsi que le faible niveau intellectuel des arrivants actuels, ce n’est certainement pas l’immigration qui va financer nos retraites et nous projeter dans l’économie du futur.

Nous aurons besoin de cerveaux, pas de manœuvres illettrés !

Macron ne semble pas préoccupé par le sujet. Seul Bayrou devrait plancher sur ce dossier.

Il y a pourtant urgence si on ne veut pas subir le sort du Japon ou des pays de l’Europe du Sud.

Jacques Guillemain

source: https://ripostelaique.com/un-inquietant-baby-krach-se-profile.html

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires, mais la Gauche aime le confinement

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires! C’est un véritable affront de sa part que de refuser de lever plus rapidement les restrictions. La population et les entreprises continueront donc de supporter les chicaneries du gouvernement. Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.

Le Conseil fédéral s’entête et ignore les cantons et les commissions parlementaires! C’est un véritable affront de sa part que de refuser de lever plus rapidement les restrictions. La population et les entreprises continueront donc de supporter les chicaneries du gouvernement. Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.

  • L’UDC continue de demander la réouverture immédiate de toutes les branches et de toutes entreprises appliquant des concepts de protection.
  • Il faut mettre fin le plus rapidement possible à cette domination antidémocratique du Conseil fédéral.
  • Manquant de courage, les deux conseillers fédéraux PLR laissent manifestement agir Alain Berset à sa guise – au détriment des emplois suisses et des finances fédérales (de nouvelles dettes par milliards de francs et, par conséquent, des hausses d’impôts en sont la conséquence inévitable).

Marco Chiesa, président de l’UDC Suisse: « Les gens ont envie de vivre. La politique du Conseil fédéral rend malade une population saine. »

Esther Friedli, conseillère nationale et restauratrice: « C’est une pure chicanerie que d’empêcher les restaurants de rouvrir alors qu’ils ont mis en place des concepts de protection exemplaires. »

Monika Rüegger, conseillère nationale et initiatrice de la pétition « Des bistros pour les travailleurs »: « Plus de 300’000 personnes ont signé deux pétitions en faveur de la réouverture immédiate des restaurants. Le Conseil fédéral s’en moque complètement. »

Céline Amaudruz, conseillère nationale: « La politique sans courage du Conseil fédéral détruira encore plus de places de travail et de formation. »

Le Conseil fédéral exerce une domination antidémocratique

La majorité des cantons ont demandé avec insistance une levée plus rapide et plus large des restrictions. A côté de la commission de la santé du Conseil national, la commission de l’économie du Conseil des Etats (par 8 voix contre 2!) a exigé la réouverture des terrasses et des restaurants le 22 mars prochain.

D’une manière parfaitement antidémocratique le Conseil fédéral ignore les avis des cantons et des commissions des deux chambres législatives fédérales. Le conseiller fédéral Alain Berset n’a pas la moindre considération pour les plus de 300’000 signataires des pétitions « Stop Lockdown » et « Des bistros pour les travailleurs ».

Cette politique dictatoriale du Conseil fédéral doit cesser. Le gouvernement ne doit plus pouvoir décider seul des mesures de fermeture! L’UDC a déposé à cet effet par l’intermédiaire de la conseillère nationale Magdalena Martullo-Blocher une intervention à la commission de l’économie: « Avant d’édicter des mesures ayant des conséquences économiques importantes comme l’interdiction d’exercer certaines professions ou la fermeture d’exploitations, il (le Conseil fédéral) doit demander l’assentiment des commissions parlementaires concernées. » Cette disposition doit être ajoutée à l’article 1 de la loi Covid-19.

Le refus d’ouvrir même les terrasses des restaurants est une pure chicanerie et une démonstration de force. Cette décision ne repose sur aucune base de données valable. Le canton des Grisons, qui permet depuis deux mois l’ouverture des terrasses dans les stations de ski et qui a lancé le programme de tests de masse de loin le plus important de Suisse, se situe, en ce qui concerne les valeurs définies par le Conseil fédéral, largement en dessous de la moyenne suisse et aussi sous la valeur à partir de laquelle le Conseil fédéral prévoit l’ouverture de tous les restaurants! Bref, les mesures du Conseil fédéral sont simplement des chicaneries et il est d’autant moins compréhensible que les deux conseillers fédéraux PLR soutiennent le programme Covid-19 parfaitement arbitraire d’Alain Berset.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-conseil-federal-sentete-et-ignore-les-cantons-et-les-commissions-parlementaires/

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La gauche est satisfaite, la droite et les restaurateurs ont la mine défaite

Des branches économiques catastrophées, des partis politiques divisés: les réactions aux annonces du Conseil fédéral n’ont pas tardé.

Yannick Weber, Christine Talos, Maria Pineiro

[...]

Pour GastroSuisse, il n’y a aucune donnée scientifique qui indique que les restaurants sont des lieux où le niveau d’infection est plus élevé qu’ailleurs. Le Conseil fédéral, lui, rappelait qu’il analysait toujours la situation à l’aune «de faits établis».

[...] Conseil fédéral, le Parti socialiste prenait également position, pour saluer des décisions qui avaient été prises de manière «scientifiquement fondée».

La gauche demande plus d’aides

«Le PS se félicite que le Conseil fédéral resserre les rangs, s’en tienne à sa ligne de conduite raisonnable et planifie des mesures d’ouverture scientifiquement fondées. Associée à la campagne de vaccination, cette stratégie donne à la population une perspective pour ce printemps et cet été», dit le PS, qui réitère sa demande d’une meilleure efficacité des aides économiques. Les Verts ont aussi jugé satisfaisante la position du Conseil fédéral.

Pour l’UDC, Keller-Suter et Cassis sont des mauviettes

L’UDC, elle, conserve son ton habituel: «un véritable affront», «les chicaneries du gouvernement»… Le parti, dont nul n’ignore le peu d’amour qu’il porte à Alain Berset, ne manque d’ailleurs pas l’occasion de traiter les deux conseillers fédéraux PLR de mauviettes: «Le conseiller fédéral Berset a réussi à faire passer toutes ses propositions et les deux conseillers fédéraux PLR n’ont manifestement pas le courage de le stopper.»

Le PLR, lui, dans des termes modérément critiques, dit que la consultation du Conseil fédéral «n’en portait que le nom» et que le fait qu’il n’y ait même pas d’ouvertures partielles dans la gastronomie est «incompréhensible». Economiesuisse dénonce également les hésitations du gouvernement.

Au centre, pour le président des Vert’libéraux Jürg Grossen, le Conseil fédéral n’a pas cédé aux pressions «de ceux qui ne savent plus s’ils sont un parti gouvernemental ou d’opposition», dit-il en guise de pique à l’adresse de l’UDC.

Les décès et les hospitalisations sont en baisse… et la Suisse reconfine!

Cenator: Voici trois événements successifs qui nous amènemt à réfléchir sur les raisons pour lesquelles le Conseil fédéral et l'OFSP agissent avec tant d'irrationalité, contre l'intérêt de la population suisse.

- Le FMI invite la Suisse à s'endetter davantage.
- Loi Covid-19: le référendum a abouti.
- Alors que les décès et les hospitalisations sont en baisse, le CF reconfine le pays.

Y a-t-il un lien entre ces événements? Peut-être bien que oui.

Tout d'abord, le Fonds monétaire international (FMI, Christine Lagarde) s'est penché sur la gestion de la crise Covid par la Suisse et il a jugé que les dépenses de 4,8% de notre PIB en aides Covid étaient inférieures aux autres pays de l'UE, nous taxant de radinerie!
Immédiatement après cette nouvelle, la pression médiatique a été immense, les accusations ont fusé. Ueli Maurer tiendrait trop sévèrement les cordons de la bourse et manquerait de générosité vis-à-vis des entreprises. La France accorde 5,2% de son PIB, l'Allemagne 8,3%, et l’Italie, endettée à 180% de son PIB, accorde plus que la Suisse, avec 4,9%.

Pourtant, en 2020, il y a eu 19% de faillites en moins qu'en 2019, car les aides publiques ont soutenu de nombreuses sociétés "zombies", qui auraient dû normalement faire faillite. (source)

Bien entendu, lorsque l'argent coule à flots et que l'économie est dans les chiffres rouges depuis plus d'une année, l'argent ne correspond plus à rien et il s'agit d'une fiction, d'une méthode de destruction de la monnaie, des épargnes et les retraites.
Et visiblement, Christine Lagarde ne tolère pas que la Suisse ne coule pas en même temps que les pays surendettés de l'UE: cela remettrait en question sa gestion de la crise et probablement tout le plan délirant de "Great Reset" que le WEF a élaboré pour établir sa gouvernance mondiale.

De même que nous devions nous aligner sur la politique migratoire de l'UE, nous devrions nous plier également à ce plan (comme à tout le reste) et un deuxième confinement tombe alors pile poil pour justifier la réouverture des vannes.

Forum10.01.2021, La Suisse radine envers les PME frappées par le Covid-19: débat entre Pierre-Yves Maillard et Marco Taddeï - Débat entre Pierre-Yves Maillard, président de l'USS, conseiller national (PS/VD) et Marco Taddeï, responsable romand de l'Union patronale suisse.

Remarquons cette merveilleuse manipulation: faire glisser le débat vers un problème d'arrosage monétaire plus ou moins massif au lieu d’effleurer même la question du sens et de l'efficacité du confinement, lequel était déjà de toute façon dans le pipeline des gauchistes.

Mais le peuple suisse n'a-t-il pas voté pour abandonner sa souveraineté, pour la suprématie des juges étrangers sur la justice suisse? Alors, où est le problème?
Nous allons donc nous endetter davantage et détruire un peu plus notre économie jadis saine, pour correspondre au plan des dieux.

C'est dans ce contexte qu'arrive l'initiative contre la loi Covid-19: le dépôt des signatures a abouti. L'initiative vise à empêcher le Conseil fédéral de prolonger l'état d'urgence, qui lui permet de gouverner par décrets sans demander l'avis du peuple. Et cela va certainement plaire aux gauchistes qui aiment tant le peuple!

L'initiative contre la loi Covid s'oppose également à la vaccination imposée, qui serait par ailleurs dangereuse pour les femmes en âge de  procréer: une grossesse durant les mois qui précédent et suivent le vaccin mettrait en danger le fœtus.
Nous n'avons absolument pas constaté de préoccupations de nos démographes concernant cette précaution.
L'initiative dénonce également la censure des opinions qui s'écartent du discours officiel, et c'est ce qui nous a le plus surpris.
Ce mélange des genres, ce manque d'unité de matière nous rappelle l'initiative Ecopop, qui proposait à la fois de limiter l'immigration dans notre pays et de promouvoir le planning familial dans le tiers-monde. Ecopop aurait pu résoudre des problèmes majeurs de notre pays si le propagande massive de nos médias et l'incorruptible Scytl
ne lui avaient tordu le cou.

Nous prévoyons hélas un destin identique pour cette nouvelle initiative.

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Voici sa présentation par ses initiants, les Ami.e.s de la Constitution : "Non à la propagande d’État"  -
Werner Boxler - 30 décembre 2020.

En tant que Co-président des Ami.e.s de la Constitution, Werner Boxler s’engage activement depuis des mois à défendre la démocratie directe et la dignité humaine dans notre pays.

"Le fondement d’un pays démocratique est l’échange, le débat et la liberté d’exprimer son désaccord en toute impunité. Des avis différents et divergents sont actuellement censurés en Suisse. Nous avons aussi le droit de ne pas être d’accord ! Afin de préserver la démocratie directe, il est essentiel que toutes les professions, et en particulier les journalistes, puissent communiquer de manière objective ; ceci concerne également le personnel infirmier, les enseignants, les éducateurs et les médecins.
La responsabilité personnelle conduit à une action responsable envers la communauté et, en fin de compte, à une connexion avec soi-même et les autres. 

29 déc. 2020

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Le Conseil fédéral perd le contact avec la réalité et le soutien du peuple

Le Conseil fédéral et, en particulier, le ministre de la santé Alain Berset semblent avoir perdu complètement le contact avec la réalité. Au lieu de protéger les groupes à risque (environ 6% de la population) pour lesquels le coronavirus représente un danger mortel, le gouvernement tourmente la majorité de la population qui peut parfaitement travailler et vivre avec des concepts de protection.
Bien que les chiffres aient commencé à baisser bien avant le durcissement des mesures le 18 décembre 2020 et qu’ils continuent de baisser, le Conseil fédéral impose un nouveau confinement. Il poursuit ainsi la destruction d’emplois et de bases vitales pour des familles, des jeunes gens et des indépendants.
Les dommages sociaux et économiques résultant de ces interventions sont immenses et ne peuvent plus être justifiés. Quant au conseiller fédéral Alain Berset, il se sert de ces mesures drastiques pour détourner l’attention de ses propres défaillances. En agissant de la sorte, le gouvernement perd aussi le soutien du peuple.

Contrairement à ce qui se passait au printemps 2020, de larges parties de la population suisse n’acceptent plus aujourd’hui les mesures imposées par le Conseil fédéral contre la pandémie de Covid-19. Rien d’étonnant à cela quand on considère la politique chaotique et incompréhensible voulue par la majorité du gouvernement conduite par Alain Berset. Au lieu d’introduire des tests rapides pour le personnel des homes pour personnes âgés et homes médicalisés ainsi qu’aux passages frontaliers avec des règles de quarantaine, le Conseil fédéral préfère enfermer toute la population.

Les défaillances d’Alain Berset sont notamment illustrées par le fait que le ministre de la santé ne se préoccupe ni du coût des mesures prises (la consultation effectuée auprès des cantons ne mentionnait aucun prix), ni de leur applicabilité. Par ailleurs, il se contente de renvoyer au département fédéral des finances et aux cantons le traitement des demandes relevant des cas de rigueur. Ces autorités n’ont tout simplement pas les moyens de traiter dans les délais utiles le flot de demandes.

En décrétant un nouveau et sévère confinement, le Conseil fédéral ignore sans gêne aucune les décisions de la commission de l’économie du Conseil national. Ce nouvel arrêt des activités économiques brise des branches entières. Des exploitations autrefois saines sont à tel point affaiblies par la politique du yo-yo pratiquée par Alain Berset qu’elles ne survivront pas à un deuxième confinement. Des dizaines de milliers d’emplois et de places de formation seront perdus. De plus en plus de gens n’ont plus de perspective d’avenir et ne savent souvent même plus comment payer leurs factures. Les problèmes sociaux et psychiques s’alourdissent.

L’UDC invite donc le conseiller fédéral Alain Berset à prendre enfin les mesures suivantes:

  • élaborer des concepts de protection nationaux contraignants et efficaces pour les homes pour personnes âgées et les homes médicalisés et les y imposer. C’est en effet dans ces institutions que plus de la moitié des décès sont à déplorer.
  • collecter des données fiables et y baser les futures décisions concernant la pandémie de Covid-19: voilà la seule manière de combattre le virus de manière ciblée. Aujourd’hui, le ministre de la santé Berset tire à l’aveuglette sur tout ce qui bouge et détruit des branches économiques entières.
  • introduire des tests rapides aux frontières. Au lieu de contrôler systématiquement les frontières et d’y imposer des règles de quarantaine, le Conseil fédéral préfère enfermer sa propre population, boucler des branches économiques entières et détruire des emplois.
  • partout où il est prouvé qu’il n’y a presque pas d’infections et que des concepts de protection efficaces sont appliqués – restaurants, centres de fitness, commerces, etc. – l’interdiction de travailler imposée de fait aujourd’hui doit être immédiatement levée.

Enfin, l’UDC demande au Conseil fédéral d’annuler toutes les mesures décrétées aujourd’hui, faute de quoi le Parlement devra se réunir en session extraordinaire pour corriger les décisions du gouvernement.

Source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/le-conseil-federal-perd-le-contact-avec-la-realite-et-le-soutien-du-peuple/

Alain Berset impose un deuxième confinement pour détourner l’attention de ses propres défaillances

L’UDC s’oppose clairement au durcissement des mesures de protection contre la pandémie de Covid-19 envisagé par le conseiller fédéral Alain Berset. Le ministre de la santé cherche en effet avant tout à détourner l’attention de ses propres défaillances dans cette crise: matériel de protection, traçage des contacts et maintenant vaccination de la population. Alain Berset préfère détruire des branches entières et des dizaines de milliers d’emplois au lieu de développer enfin des concepts de protection efficaces pour les éléments les plus vulnérables de notre société. L’UDC invite donc le Conseil fédéral à retirer ce dossier des mains d’Alain Berset.

La gestion de la crise par Alain Berset est désastreuse. Les défaillances du ministre de la santé marquent tel un fil rouge le déroulement de la pandémie de Covid-19:

– au début de la pandémie, la Suisse manquait de matériel de protection. Au lieu de combler immédiatement cette lacune, le ministre de la santé a fait diffuser par tous les canaux l’information selon laquelle les masques de protection étaient inutiles.

– au lieu de stopper immédiatement la libre circulation des personnes en réaction aux taux de contamination élevés en France et en Italie, le Conseil fédéral s’est aplati devant l’UE, abandonnant du même coup la protection de la santé de sa propre population.

– le Conseil fédéral a manqué également durant la deuxième vague de la pandémie d’imposer des tests rapides et des règles de quarantaine aux frontières. Ce gouvernement préfère enfermer sa propre population, boucler des branches économiques entières et détruire des emplois.

– plus de neuf mois après le début de la pandémie la Suisse ne dispose toujours pas d’un concept de protection national contraignant et efficace pour les éléments les plus vulnérables de la société. Le fait est que la moitié des décès dus de la pandémie de Covid-19 ont lieu dans des homes pour personnes âgées et des homes médicalisés.  Ces personnes ne se sont certainement pas infectées dans des restaurants, des bars, des centres de fitness, des cinémas ou centres commerciaux. Il est de toute évidence plus simple pour Alain Berset de donner le coup de grâce à des branches économiques entières que de protéger ce groupe à risque clairement défini.

– le traçage des contacts et l’app Covid-19 ne fonctionnent pas. Le ministre de la santé fait également mauvaise figure dans l’organisation du vaccin: l’achat de doses de vaccins a été tout simplement raté.

– on ne dispose toujours pas en Suisse de statistiques et de données fiables constituant une base de décision solide. Au lieu de faire avancer les choses dans ce domaine, le conseiller fédéral Berset préfère jouer au yo-yo avec l’économie, exiger des concepts de protection pour ensuite les lever, imposer au rythme hebdomadaire des fermetures et réouvertures et pousser ainsi à la ruine des dizaines de milliers de personnes.

Le Conseil fédéral in corpore doit retirer ce dossier des mains d’Alain Berset

Pour toutes ces raisons l’UDC s’oppose avec détermination aux nouveaux durcissements envisagés par Alain Berset. Notamment la fermeture des commerces, qui n’offrent pas des produits de première nécessité, rend la situation des arts et métiers encore plus difficile.

Le travail à domicile obligatoire et le droit des salariés, qui ont des problèmes de santé comme une pression sanguine excessive, de prendre congé au cas où elles ne peuvent pas travailler au domicile ou dans le cadre d’un concept de protection imposent aux employeurs des charges financières de plusieurs milliards de francs.

L’UDC demande au Conseil fédéral de lever immédiatement les mesures prises contre les restaurants ainsi que contre les installations de sport, de loisirs et culturelles. Idem pour les restrictions des heures d’ouverture des commerces. Il va de soi que les concepts de protection en place doivent être strictement respectés.

Notre société ne peut pas, de plusieurs points de vue, s’offrir le luxe d’un deuxième confinement comme celui imposé au printemps 2020. L’UDC invite donc de surcroît le Conseil fédéral in corpore à retirer ce dossier des mains du ministre de la santé Alain Berset.

Lire ici la réponse détaillée de l’UDC à la consultation sur les durcissements projetés.

source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/alain-berset-impose-un-deuxieme-confinement-pour-detourner-lattention-de-ses-propres-defaillances/

La gauche réclame le durcissement des mesures de confinement

RTS - débat Forum: Qu'attendre du Conseil fédéral sur le Covid-19?

Débat entre les conseillers nationaux Léonore Porchet (PES/VD) et Jean-Luc Addor (UDC/VS), et Charles Juillard, conseiller aux Etats PDC jurassien.

lien vers l'audio: https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/quattendre-du-conseil-federal-sur-le-covid-19-debat-entre-leonore-porchet-jean-luc-addor-et-charles-juillard?id=11854761

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Cenator: Nous nous interrogeons sur la présence de Léonore Porchet dans tout genre de débats.
En effet, la RTS donne depuis des années une visibilité disproportionnée à cette élue Verte (aussi présidente de Santé sexuelle suisse, voir Cours de masturbation financés par Berne: une élue UDC indignée).
Tout comme Lisa Mazzone, la RTS la vend à la population avec les méthodes de matraquage du marketing ; ce sont des politicardes de gauche d’un nouveau genre, de purs produits de la communication médiatique.
Que ce soit par le niveau de leurs compétences dans chaque domaine où elles la ramènent (c’est-à-dire quasiment sur tout), leur capacité de comprendre le monde, leur expérience de vie (passage direct des Sciences humaines au militantisme de gauche), leurs prises de positions, du culot ou encore par la taille de leur ego, c'est du copier-coller.

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voir aussi: Crise du coronavirus - Berset voudrait prolonger et renforcer le semi-confinement

Le ministre de la Santé devrait demander mercredi à ses collègues de garder les restaurants fermés et d’abolir les régimes d’exception pour les cantons. [...]

Suite déjà envisagée

Le ministre de la Santé entend lutter contre une hausse des cas à venir spectaculaire qui serait due à la propagation des mutations en provenance du Royaume-Uni et d’Afrique du Sud. D’autres mesures seraient également envisagées, d’après le «Tages-Anzeiger». Il s’agirait de la fermeture des écoles, des commerces non essentiels et de l’obligation de travailler à domicile.

Publié: 04.01.2021, 21h05

article complet: https://www.tdg.ch/berset-voudrait-prolonger-et-renforcer-le-semi-confinement-713860135700

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Communiqué de presse: nouvelle présidence de SANTÉ SEXUELLE SUISSE

Nomination de Léonore Porchet à la présidence de Santé Sexuelle Suisse -30 octobre 2020

Postulat de Léonore Porchet: L'État doit fournir gratuitement les produits menstruels

Santé sexuelle suisse demande un programme national d'éducation sexuelle dans les écoles

L'autoportrait de Léonore Porchet

Deux élus lausannois encouragent l'hébergement illégal de migrants

Léonore Porchet "La priorité c'est d'avoir des majorités au parlement. C'est là qu'on doit d'abord assumer nos choix."

Les élus peuvent-ils recourir ou appeler à la désobéissance civile?

La nouvelle génération saura-t-elle réenchanter le féminisme? (1/5)

Le portrait de Léonore Porchet (53 minutes)

L’UDC exige la levée immédiate du confinement et des conséquences personnelles

Le 18 décembre dernier le Conseil fédéral a ordonné un confinement partiel. Il a justifié cette décision par une situation épidémiologique jugée « inquiétante » et par une hausse « exponentielle » des contaminations. Or, il s’avère aujourd’hui que ce durcissement des mesures a été imposé sur la base de fausses hypothèses. Selon le quotidien zurichois « Tages-Anzeiger », l’EPF a plusieurs fois mal calculé le taux de reproduction (le taux R) en le chiffrant beaucoup trop haut, puis l’a corrigé avec effet rétroactif.

  • Selon les calculs actuels, le taux R est de 0,86, donc clairement en dessous de la valeur de référence critique de 1.
  • Le taux d’occupation des lits dans les services de soins intensifs est de 72% alors que le nombre de lits annoncés a baissé de 500 par rapport au printemps dernier pour s’établir à environ 1000.
  • Le taux d’incidence (semaine 51) est de 339, soit nettement en dessous du chiffre de 600 annoncé au moment de la consultation des cantons par le Conseil fédéral (13 décembre).
  • Le nombre d’hospitalisations confirmées par les laboratoires baisse continuellement depuis le 5 décembre, donc bien avant que le Conseil fédéral impose son train de mesures.

En d’autres termes, le Conseil fédéral a fermé les restaurants ainsi que les installations sportives, de loisirs et culturelles alors que les taux R et les hospitalisations étaient nettement en baisse et que des capacités hospitalières étaient garanties en suffisance.

Incertitudes et décisions arbitraires
Les semaines passées ont montré à quel point le comportement du conseiller fédéral Alain Berset, de l’OFSP et de la Task Force était source d’incertitudes et de décisions arbitraires:

  • des règles ont été édictées, puis ont été annulées.
  • des concepts de protection ont été exigés, puis invalidés, mais sans motifs compréhensibles et basés sur des faits.
  • le Conseil fédéral impose des mécanismes d’intervention qu’il ne respecte pas lui-même.

Cette politique Covid-19 chaotique provoque des incertitudes au sein de la population, des cantons et des entreprises. Il en résulte de surcroît des dommages énormes dans l’économie et la société.

Les partis de gauche imposent des fermetures, exigent des mesures pour les cas de rigueur et cherchent simultanément à empêcher tout assouplissement. En clair, ils « réparent » les dommages qu’ils provoquent avec leur politique en dépensant des milliards de francs d’argent des contribuables suisses.

L’UDC Suisse exige

  • que le Conseil fédéral et notamment le ministre de la santé Alain Berset lèvent immédiatement les restrictions imposées aux restaurants ainsi qu’aux installations de sport, de loisirs et culturelles. Idem pour les réductions des heures d’ouverture des commerces. Il va de soi que les concepts de protection en place doivent toujours être respectés.
  • que le Conseil fédéral mette fin à la cacophonie de la Task Force et qu’il décide lui-même définitivement et communique ses décisions de manière compréhensible;
  • que le Conseil fédéral laisse à nouveau les cantons agir librement et assumer leurs responsabilités;
  • que le Conseil fédéral impose des contrôles systématiques aux frontières avec des tests Covid-19 rapides;
  • que le Conseil fédéral supprime le lien entre les mesures de restriction et le taux moyen de reproduction en Suisse (ordonnance sur les mesures destinées à lutter contre l’épidémie de COVID-19 en situation particulière du 18 décembre 2020, art. 7 al. 2 lt. c);
  • que le Conseil fédéral fonde ses décisions sur une base de données plus large;
  • que le Conseil fédéral cesse de pénaliser arbitrairement des branches entières par des mesures de restriction sans disposer de données confirmées sur les lieux de contamination;
  • que le Conseil fédéral tire les conséquences personnelles qui s’imposent de cette affaire aussi bien dans la Task Force que dans l’OFSP;
  • que le conseiller fédéral Alain Berset corrige immédiatement sa politique chaotique contre la pandémie Covid-19.

Source: Communiqué de presse UDC

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voir aussi: Rand Paul : aucune preuve scientifique que le confinement “tyrannique” fonctionne

Belgique: Elle n’a pas supporté d’être jugée «non essentielle»

Le suicide d’une jeune Belge de 24 ans qui venait d’ouvrir son barber-shop à Liège est en passe de devenir un symbole de la détresse face à la pandémie.

Alysson, 24 ans, a été retrouvée morte lundi. [...]

Coiffeuse au chômage, elle avait démarré son activité début août, et n’aurait pas supporté la fermeture imposée [...]

[...]

Et la question d’une reprise pour Noël reste un gros point d’interrogation. «Si on préconise une réouverture et qu’après on se prend une troisième vague, (...), ça sera le chaos, on ne parlera plus de 10, 20 ou 30% mais bien 60% de fermetures», s’alarme M. Vasseur.

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/elle-na-pas-supporte-detre-jugee-non-essentielle-222142243651

UDC Suisse – Il faut absolument éviter un nouveau confinementIl faut absolument éviter un nouveau confinement

Le confinement ordonné au printemps dernier par le Conseil fédéral a coûté à la Suisse six milliards de francs – par semaine! Des milliers de salariés ont été licenciés depuis et des emplois ont été supprimés. L’UDC s’oppose donc avec détermination à un nouveau confinement. Elle soutient en revanche des mesures qui protègent la santé des gens tout en permettant à l’économie et à la vie sociale de fonctionner. L’UDC appelle aussi à la responsabilité individuelle des citoyennes et des citoyens.

L’UDC approuve le port obligatoire du masque respiratoire partout où des rassemblements importants ont lieu alors que les règles de distance ne peuvent pas être respectées. Elle appelle à la responsabilité individuelle de chacune et de chacun : face à cette pandémie, toutes les personnes doivent veiller à rester en bonne santé afin que les autres le restent également. Les groupes particulièrement menacés de la population doivent se protéger eux-mêmes contre l’infection et, si nécessaire, s’isoler autant que possible.

Nous ne pouvons pas nous permettre un deuxième confinement

L’UDC refuse tout net un nouvel arrêt complet ou partiel de l’économie ou de parties d’elle. Une telle intervention nuirait aux salariés, aux entreprises et à tout le pays. Le confinement imposé au printemps dernier a provoqué des dommages immenses. La paralysie de la vie économique et sociale durant huit semaines a coûté à la Suisse 6 milliards de francs par semaine. Depuis, des milliers de salariés ont perdu leur emploi et des centaines de milliers sont toujours au chômage partiel.

Davantage de tests rapides et un assouplissement des règles de quarantaine

Il est évident aux yeux de l’UDC qu’il faut absolument empêcher que l’Etat procède à de nouvelles interventions centralisatrices et relevant de l’économie planifiée. Notre pays ne peut pas se permettre un nouveau confinement. L’UDC exige donc que toutes les exploitations et organisations qui disposent de plans de protection efficaces puissent continuer de travailler sans restriction supplémentaire. Il est dans l’intérêt de notre pays que l’économie et la société puissent continuer de fonctionner dans une large mesure. L’UDC réclame aussi le recours aux tests rapides Covid-19 dans tout le pays afin que l’on puisse déterminer dans les plus brefs délais si une personne est porteuse du virus ou non. Le délai de quarantaine doit être réduit pour les personnes ayant eu un test négatif. L’actuelle absence de quelques dizaines de milliers de salariés, qui doivent rester à leur domicile à cause de la prudence excessive des autorités, pose des problèmes à de nombreuses entreprises.

La honteuse instrumentalisation des soignants par les syndicats

L’UDC rend hommage au personnel soignant pour son grand engagement et ses services. En revanche, elle condamne sévèrement les actions de protestation lancées par les syndicats.
Appeler ces professionnels à participer à une semaine de protestation alors que la situation sanitaire est tendue est une attitude irresponsable et populiste. Les syndicats abusent sans honte aucune de la pandémie Covid-19 pour mener leur politique et instrumentalisent le personnel soignant au profit de leurs intérêts égoïstes.

Source: https://www.udc.ch/actualites/articles/communiques-de-presse/il-faut-absolument-eviter-un-nouveau-confinement/