Le 29 mars dernier, l'assemblée des délégués du parti socialiste a voté, par 121 voix contre une et trois abstentions, contre l'initiative populaire "Pour que les pédophiles ne travaillent plus avec des enfants".
Ce résultat ne s'est pas obtenu par hasard. Selon des sources confidentielles, les Observateurs ont pu mettre à jour les pressions exercées depuis plusieurs mois, sinon plusieurs années, sur les élus socialistes éventuellement tentés de voter en faveur d'une protection véritablement efficace des enfants contre leurs agresseurs.
Au sein de la masse docile du parti, ce sont effectivement trouvées quelques courageuses consciences pour opposer le règne des évidences au juridisme coupable de quelques caciques, qui, au prétexte de vouloir sauvegarder l'Etat de droit, persécutent d'abord le droit des enfants victimes de pédophilie. La réponse ne s'est pas fait attendre, selon divers documents que la Rédaction des Observateurs a pu consulter, la machine du parti a écrasé toute contestation dans l'oeuf. Un certain témoignage fait état de "pressions énormes", "j'étais seul contre tous", entend-on encore.
Dégradés
Les mesures du parti sont succinctes mais néanmoins précises, les "dissidents" se retrouvent massivement rétrogradés sur les listes électorales. On change les règlements, exigeant deux-tiers des suffrages de délégués pour avoir droit à une nouvelle candidature. L'on déploie toute une batterie d'"amis" pour tenter de vous convaincre de votre intérêt direct à laisser tomber, pour votre carrière, pour "votre bien", pour le bien de ces enfants que vous ne pourrez plus défendre si vous n'êtes plus élu... Bref, ferme-là, physiquement ! Pragmatisme politique oblige, on obtempère, on obéit, on n'est qu'un homme ma foi. La Révolution, le grand soir, c'est contre les autres, mais ce n'est pas pour soi. Ca se passe comme ça.
Les personnes visées ne font pas le moindre doute sur les origines de leur infortune, s'être crues assez libres pour émettre une opinion politique en accord avec leur conscience, mais qui ne soit pas strictement, systématiquement, dans la ligne du parti.
Une seule voix
On ne sait pas d'où viennent les ordres, l'on n'est cependant guère surpris au vu de l'extrême virulence et de l'obstination des membres du PS autorisés à communiquer sur la question. La rage contre ceux qui ne se soumettraient pas sur le champ peine d'ailleurs à se dissimuler, en 2009 déjà, dans un article effarant de morgue et de cynisme, le genevois Carlo Sommaruga désignait une "encartée socialiste" à la vindicte populaire. On n'ose imaginer ce qu'elle est devenue...
L'on saluera tout de même cette seule et unique voix qui s'est élevée, malgré cette volonté du parti de tout écraser devant soi, pour la défense des enfants, la voix de ce socialiste inconnu, qui a probablement joué ce qu'il lui restait de carrière au sein de ce parti, et qui a gagné, ce jour-là, sa vertu d'homme, d'être humain, non par le sang reçu mais par le sang versé.
Voir encore
beaucoup de victimes diraient stop,cela tourne au harcèlement en continu.Si faire de la politique c’est pratiquer le mobbing auprès de l’électorat autant ne pas en faire .On en a marre et personne même pas un parti ne sait de quoi il s’agit vraiment ..La pédophilie remonte au temps des Grecs et même avant ,la zoophilie en fait partie et dieu sait si elle existe aussi .Le célèbre Fuck you traduit bien ce qu’il veut dire .La pédophilie pratiquée sur de nombreux sites montrant une position très suggestive et faisant partie du Kamasutra
En lançant la mode du dénigrement des grands parents,facilitant même leur éloignement de lieux publics parce qu’ils fumaient c’était une erreur fondamentales eux voyant clair ils étaient comme nombre de clients fumeurs avertis des risques que couraient les plus jeunes et savaient s’interposer en cas de danger potentiel menaçant un adolescent
On ne fait jamais d’omelettes sans casser des œufs et le mouvement des Verts n’a rien à se méler de choses dont leur Dieu Danny le Rouge n’est pas un exemple de grande probité
Il suffit de voir une vidéo montrant son visage quand il parle de ses petits dont ils s’occupent et contempler le vice qui brille au fond de ses yeux .C’est un regard qui ne trompe pas .On juge on critique on parle mais en définitive on oublie le plus important la physionomie et il y a des traits ou des gestes qui ne trompent pas
Rien d’étonnant. Être socialiste, c’est se sentir infaillible, ne jamais reconnaître ses fautes et ses erreurs, penser détenir la vérité du Bien, à l’instar d’une secte qui réduit ses fidèles en esclavage mental, en les intimidants, en les crétinisant, même si ces derniers sont intelligents. C’est refuser que l’autre pense autrement, alors s’il fait partie de la secte, bien entendu, il sera méprisé, humilié, dénigré et puni. Fut un temps où le renégat finissait fusillé. Être socialiste, c’est être anti-libéral, autocrate et totalitaire. Ce pauvre Judas qui fut le seul au sein du parti, ce camarade égaré, subit bien évidemment les foudres d’une secte qui vomit l’individualisme, puisqu’elle est basée sur le collectivisme. Le bougre va se retrouver bien vite éjecté du troupeau de moutons blancs.
La civilisation occidentale est l’héritière de l’enseignement des philosophes de l’Antiquité classique, des Grecs et des Romains, à la base de l’apprentissage de l’individualisme, qui fut poursuivi par le Christianisme, la Renaissance et les Lumières, qui ont fait de nous ce que nous sommes. Le collectivisme rejette l’individualisme, et ceux qui rejettent l’individualisme rejettent la civilisation occidentale. (cf Friedrich Hayek).
Défendre la pédophilie sous prétexte d’idéologie et de dogme relève de la pure ignominie. Il s’agit ni plus ni moins de la scission entre le peuple et ces élites autoproclamées et peut-être le départ d’une “révolution conservatrice ” que nous observons poindre depuis quelque temps déjà. Que la faille passe par Internet, contourne la Presse aux ordres et s’élargisse devant la morgue du pouvoir ne doit pas nous étonner. Cette chasse à l’homme interne au parti socialiste est le signal de départ d’une révolution, on s’en rendra compte avec le recul.