Une semaine après qu'une Femen ait uriné dans une église, Inna Shevchenko, la dame patronnesse de la congrégation en rit encore et se félicite de l'absence de réaction de la police:
"Rien ne s’est passé, Éloïse n’a pas été appelée par la police. Cela montre combien l’Église est devenue faible en France…"
Il est normal que cette femme n’ait pas été poursuivie et que la police n’ait pas donné suite. Elle fait le jeu de Manuel Valls, Chritiane Taubira et François Hollande. Ceux-ci veulent promouvoir la divisions des français sur des questions “sociétales” de manière à éviter que les prochaines élections se jouent sur les questions économique que les socialistes sont incapables de résoudre car ne comprenant rien à l’entreprise ils continuent de développer un modèle “taxons pour distribuer” qui remplace le marché par des fonctionnaire incompétents mais aux ordres.
C’est ainsi que les défenseurs de la famille classique et qui l’affiche en silence sont systématiquement harcelés par la police mais que l’on refuse de sanctionner ceux qui par haine des autres souille un lieux religieux pour faire rire les non croyants au détriment des croyants choqués. En l’espèce l’inaction de la police spectatrice passive de ce spectacle nauséabond est intentionnelle, il faut isoler les croyants en confortant les non croyants dans l’idée qu’il est normal d’empêcher l’exercice du culte par tous les moyens. Mieux, le leader des agresseurs dont on ignore tout sauf les seins est promue modèle de la République. Celle de Manuel, Christiane et François tout au moins.
Prenons en notre partie pour trois ans, la priorité de la police de Valls n’est pas de faire respecter l’ordre mais renforcer par tous les moyens le vote socialiste. S’il essaie de s’attaquer au banditisme (impopulaire même chez les socialistes) Manuel Valls estime qu’il a plus à gagner en favorisant les agressions qui ridiculisent les valeurs traditionnelles que sont la famille et les religions catholique et musulmane (à l’exception de la religion israélite pour ne pas être accusé d’antisémitisme) que de défendre l’exercice de la liberté des cultes que lui imposait son devoir républicain. En l’absence d’une presse critique, des électeurs déconnectés de toute réflexion éthique et dont l’opinion sera déterminé par la seule agitation médiatique seront plus facilement manipulables. Les agresseurs sont donc protégés au nom de la liberté d’expression qui fait rire, les critiques (et les croyants bafoués) seront accusés d’intolérance et de ne pas respecter les valeurs républicaines.
A ne pas oublier lors des prochaines élections.