Dérive écolo, de la défense de la nature à la promotion du crime
Lausanne, c’est une boîte de Petri assurant de manière très efficace la prolifération de la bactérie gauchiste. Les chercheurs en sciences sociales se la coulent douce en fustigeant le caractère sexiste des piscines publiques, les élus rivalisent de lubies aussi nuisibles que coûteuses, tout cela dans un esprit de saine émulation.
La dernière idée géniale nous vient d’un élu écologique qui suggère de désarmer la police municipale. Elle serait ainsi mieux à même d’assurer le contact avec la population, privilégierait le dialogue à la violence et créerait du lien social.
J’ai toujours été surpris de la haine que la gauche voue à la police. Il est vrai que l’essentiel de la clientèle policière est constitué de ces enrichisseurs culturels que les camarades soutiennent avec tant d’amour. Dès lors qu’un délinquant nous vient d’ailleurs, il cesse d’être un criminel pour devenir une victime de l’oppression patriarcale blanche, chrétienne et coloniale en lutte légitime contre ses bourreaux.
Notre ami du crime tombe vraiment au bon moment avec son projet de faire du policier une cible sans défense face à la violence. Les islamistes endeuillent un peu partout dans le monde, le syndic de Lausanne s’émeut de l’ampleur du trafic de drogue dans ses rues, les nuits lausannoises sont régulièrement égayées par des rixes à grands coups de couteau, désarmer la police, c’est vraiment la nécessité de l'heure.
Remarquez, c’est cohérent. La gauche lausannoise est rangée depuis longtemps du côté du Hamas, elle ne veut pas que la police soit en mesure de lutter contre la violence des abrutis d’Allah. Les camarades viennent d’ailleurs d’inviter une antisémite notoire à s’exprimer publiquement, auteure d’une saillie mémorable, « on ne peut pas être Israélien impunément ».
C’est Pôle Sud qui reçoit, une association affiliée à l’Union syndicale vaudoise, laquelle union est subventionnée par la ville. La boucle est bouclée, les camarades veillent à ce que la parole islamiste ait droit de cité tout en assurant la sécurité des djihadistes.
Rayon drogue, on sait que la gauche reste traumatisée par l’acquittement des intervenants ayant procédé à l’interpellation du dealer Mike ben Peter. Désarmés, les agents auront sans doute quelque crainte à aller au contact des criminels. Les amis des Verts auront donc quartier libre pour vendre la mort dans les rues. L'enrichissement culturel pourra s'exprimer dans toute sa splendeur.
De nos jours, voter vert, ce n’est plus soutenir faune et flore dans un environnement politique hostile à la nature.
C’est juste soutenir le crime.
Yvan Perrin, 17.01.2025
« Le règlement du corps de police de la Ville de Lausanne du 4 septembre 2007, approuvé par le Chef du Département de l’intérieur dans sa séance du 2 octobre 2007 – qui correspond à une loi au sens formel conformément à l’art. 4 al. 1 ch. 13 LPrD, puisqu’ adopté par le Conseil communal »
http://www.entscheidsuche.ch/docs/VD_Omni/VD_TC_031_GE-2018-0007_2019-02-14.html
« Art. 32 Usage des armes
1 La police est en principe armée pour son service. »
http://www.lausanne.ch/apps/actualites/Next/serve.php?id=138&kind=recueil
« Art. 25 Recours aux armes
1 La police est en principe armée pour son service. »
http://prestations.vd.ch/pub/blv-publication/api/actes/cb7f4585-f3c8-4b84-a33d-adb37f352356/pdf?type=PDF_RENDU
http://www.24heures.ch/lausanne-les-polices-communales-sinsurgent-contre-le-desarmement-494861327630