L’UDC neuchâteloise a tenté à plusieurs reprises de faire face via des interventions parlementaires cantonales, mais la totalité des propositions ont été balayées par l’ensemble des autres partis (y compris le PLR). Malgré quelques petites améliorations (grâce à la pression de l’UDC), la situation reste globalement très tendue. En outre, la sécurité coûte des sommes astronomiques à la collectivité. Plusieurs faits divers graves ont défrayé la chronique, par exemple :
- Le 16 août 2023, un requérant d’asile maghrébin, enregistré depuis quelques jours au centre d’asile de Boudry, a été surpris par une passante en pleine tentative de viol au cœur d’un quartier fréquenté du centre-ville de Neuchâtel (NE).
- Le 8 décembre 2023, un requérant d’asile maghrébin, aussi enregistré depuis quelques jours à peine, s’est introduit, menaçant, sur le périmètre de l’école primaire de Cortaillod (NE) en hurlant « allah akbar ». Un drame a potentiellement été évité grâce à l’intervention rapide de la police.
Ce chaos de l’asile n’est plus acceptable et seule l’UDC se bat concrètement pour y faire face. En outre, l’expulsion effective des criminels étrangers et des requérants d’asile déboutés doit notamment être enfin conséquemment appliquée ; le canton de Neuchâtel compte parmi ceux qui expulsent le moins de criminels étrangers, ce qui lui a même valu des remontrances de la Confédération par le passé.
Parce que les autres partis au Parlement ne veulent pas mettre fin au chaos de l’asile, l’UDC Suisse a lancé l’initiative pour la protection des frontières. Le peuple suisse doit maintenant faire entendre sa voix : Pas d’asile pour les migrants illégaux ! Contrôle systématique de nos frontières nationales ! Pas de droit de séjour pour les demandeurs d’asile déboutés ! Afin d’atteindre l’objectif, l’initiative pour la protection des frontières prévoit notamment les mesures suivantes :
- L’asile n’est plus accordé aux immigrés illégaux qui viennent en Suisse avec l’aide de bandes de passeurs via des pays tiers sûrs (comme l’Italie, l’Autriche ou la France).
- Un maximum de 5’000 véritables réfugiés par an plutôt que des centaines de milliers d’immigrants qui profitent de l’asile et séjournent souvent illégalement chez nous.
- Les personnes dont la demande d’asile a été rejetée n’ont plus le droit de rester en Suisse. Cela concerne principalement des jeunes hommes originaires d’Afrique, d’Afghanistan, d’Irak, de Syrie, de Turquie et des Balkans.
- Contrôles renforcés aux frontières nationales suisses pour stopper l’immigration illégale.
Signez dès maintenant l’initiative pour la protection des frontières !
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c’est bien fait depuis combiens d’années ils ont été avertis par la droite radicale PNS etc…..voilà les migrants maintenant vous les avez je vais pas les pleurer