Aux États-Unis, un nouveau mandat de Donald Trump pointe à l'horizon. En Europe, de plus en plus de gens votent pour les partis «anti-mainstream». Mais tout le monde n'est pas soudainement devenu raciste: l'explication est ailleurs.
Aux États-Unis, un nouveau mandat de Donald Trump pointe à l'horizon. En Europe, de plus en plus de gens votent pour les partis «anti-mainstream». Mais tout le monde n'est pas soudainement devenu raciste: l'explication est ailleurs.
Remo Hess, Bruxelles / ch media
La liste des partis montants qui s’opposent aux valeurs libérales fondamentales est longue. Là où les populistes de droite ne sont pas encore au pouvoir, ils en gagnent. La menace plane sur toute l'Europe au mois de juin prochain, puisque le Parlement européen sera renouvelé lors de votations populaires.
Ce qui unit les extrémistes de droite européens, c'est leur rejet de l'immigration, parfois ouvertement raciste. Mais briser les tabous n’a plus d’effet dissuasif. Au contraire: malgré la diabolisation des médias et des experts, les électeurs ont surmonté leur peur du contact avec l’extrême droite. Le «cordon sanitaire» s’effrite, les «murs coupe-feu» sont démolis.
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