Carla Montet: En 2019 en Suisse, 500'000 femmes ont battu le pavé de 8 heures du matin jusqu'au soir, dénonçant les abus, les injustices faites aux femmes, le patriarcat, les viols, et nos médias nous ont gavés avec des revendications féministes.
Pourtant, le 7 octobre lors du progrom en Israël, de nombreuses femmes, jeunes filles, voir même des enfants ont subi des viols de masses, avec de nombreuses mutilations atroces des parties génitales. En Suisse, quasiment pas un mot de nos militantes en violet, les nombreuses associations féministes, humanitaires n'ont produit pas le moindre article prenant leur défense. Les femmes de gauche - pourtant omniprésentes sur nos ondes- n'ont pas exprimé leur solidarité avec ces victimes.
Par contre, de nombreuses femmes militantes issues du même milieu, et du même acabit se sont reconverties dans l'antisémitisme - qui est la nouvelle mode progressiste - et s'affairent actuellement à arracher les affiches en solidarité avec les otages du Hamas.
La Gauche portée par nos médias bienpensants, et nos ONG infiltrées ont transformés ensemble la Suisse en un gouffre moral.
Symbole de la Grève des femmes, unissant les Frères musulmans, BLM et féminisme. Qui dit mieux?
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Toutes les femmes otages libérées en âge de procréer ont été soumises à des tests de grossesse et à un dépistage d'infections sexuellement transmissibles
Deux médecins israéliens, qui ont traité des otages libérés, ainsi qu'un officiel militaire israélien familier de l'affaire, ont confirmé au journal américain USA TODAY que certaines femmes relâchées ont révélé avoir subi des agressions sexuelles violentes à Gaza. Tous trois ont parlé sous couvert d'anonymat. Un des médecins a affirmé que plusieurs femmes parmi celles âgées de 12 à 48 ans, ont subi des agressions sexuelles durant leur captivité.
Le médecin a choisi de ne pas détailler la nature spécifique des agressions, tout en soulignant que les victimes d'abus sexuels présentent généralement un risque de mortalité quatre fois plus élevé que les autres. Il a raconté que toutes les femmes otages libérées en âge de procréer ont été soumises à des tests de grossesse et à un dépistage d'infections sexuellement transmissibles. Le second médecin a observé que de nombreuses otages femmes libérées montraient des symptômes de trouble de stress post-traumatique, soulignant qu'elles sont venues chercher de l'aide en tant que patientes profondément traumatisées par des agressions sexuelles extrêmement graves.
L'officiel militaire israélien a déclaré que, tout comme les autorités savent que de nombreuses femmes ont été agressées sexuellement lors du festival de musique Supernova et à leurs domiciles le 7 octobre, "nous savons que des femmes otages ont été violées pendant leur captivité sous le contrôle du Hamas" et que "les femmes encore retenues à Gaza se trouvent dans des conditions mentales et physiques très mauvaises." L'officiel a rapporté que les otages subissent des violences physiques, manquent de nourriture, d'eau et de médicaments, et sont détenus dans le sud de Gaza. Ils sont fréquemment déplacés d'une maison à l'autre, parfois en surface, parfois via des tunnels, dans le but d'échapper à toute détection. Il a conclu que certaines de ces informations proviennent de témoignages d'otages libérés et d'autres des renseignements obtenus par Israël
L’ignominie de ces sauvages sectaires et sexuellement frustrés est en effet sans limite:
https://fr.timesofisrael.com/massacres-du-hamas-le-new-york-times-donne-le-detail-des-violences-sexuelles-systematiques/