La maire divers droite avoue « redouter d’autres drames » après le meurtre de Thomas lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme. « On se retrouve avec deux fronts », a déploré l’élue, interrogée sur BFM-RMC, ajoutant que tous les mis en cause sont «issus de parents déjà délinquants». «C’est une culture qui se transmet», estime Marie-Hélène Thoraval. Concernant les noms des suspects qui ont circulé sur les réseaux sociaux, la maire, en poste depuis 2014, a affirmé que le fait de «ne pas communiquer les prénoms plus tôt était indécent». «Pourquoi lorsqu’il s’agit d’un autre drame on communique le nom et le prénom tout de suite ? Là, les prénoms ont circulé sur les réseaux avant d’être confirmés par les autorités. (…) Pourquoi on n’a pas cette notion de transparence dès le départ ? Ça ne fait que renforcer la stigmatisation», a-t-elle affirmé. Ce dimanche, lors d’un point presse avec le préfet de la Drôme, la maire avait appelé à faire face à un niveau de délinquance qui « appelle d’autres formes de réponses» à Romans et dans d’autres villes, en estimant que la délinquance trouvait «ses racines dans la radicalisation» et le «trafic de drogue».
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Malheureusement ce n’est pas une culture, celle de la haine. C’est bien pour cela qu’ils n’ont rien à faire en Europe. La culture européenne est bien trop différente de la leur pour être compatible. Il va falloir encore pas mal de temps (et peut-être trop tard) pour que les “bienvenus aux réfugiés” commencent à comprendre quelque chose dans leur petit cerveau.