Le sport largement islamisé, devenu vecteur de désintégration

 

La France, gouvernée par des lâches qui enterrent tous les problèmes liés à l’immigration et à l’islam conquérant, est vraiment mal partie. C’est le renoncement permanent chez tous les décideurs.

“Pas de vagues” et “souci d’apaisement”, sont le seul mode de gouvernance que connaissent nos responsables politiques. 40 années d’aveuglement, de mensonges, de lâchetés et de politique de l’autruche ont fait de la France le pays le plus islamisé d’Europe, où le ratage de l’intégration est le plus flagrant.

La soumission est la règle et la prophétie de Youssef al-Qaradawi, le maître à penser des Frères musulmans, n’a jamais été aussi fondée : “Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques, nous vous dominerons”.

On ne peut pas reprocher aux islamistes de pratiquer une quelconque taqîya. Voilà des années qu’ils annoncent la couleur mais bénéficient d’une inconsciente complicité des autorités.

Il en est du sport comme de l’école républicaine, le terrain de prédilection des islamistes pour tisser leur toile et formater les jeunes cerveaux malléables.

Et comme pour l’école, l’État se couche, enterre les rapports et les mises en garde des services de renseignement ou des hauts fonctionnaires, conscients de la menace islamiste qui gangrène peu à peu la nation.

En 2004, François Fillon, alors ministre de l’Éducation nationale, a enterré lâchement le rapport de l’inspecteur général Obin sur la dangereuse islamisation de l’école républicaine. Ce rapport ne sera divulgué que quelques mois plus tard, mais sans la moindre réaction du gouvernement, bien trop lâche pour agir.

En 2015, c’est un document du Service central du renseignement territorial (SCRT) qui a été mis sous le tapis, avant de fuiter. Une note intitulée “Le sport vecteur de communautarisme, voire de radicalisme”.

Réaction du gouvernement ? Aucune

Dans le Figaro du jour, un accablant article nous dévoile la dangereuse islamisation du sport en France, sans que l’État n’ait pris conscience de la menace. On se croirait en 2004, quand le rapport Obin tirait la sonnette d’alarme sur l’école républicaine largement gangrenée, dans l’indifférence générale.

C’est Méderic Chapitaux, ancien gendarme et fonctionnaire du ministère des Sports, qui nous livre quelques extraits de son livre “Quand l’islamisme pénètre  le sport”. Une enquête très fouillée nous montrant comment certains clubs de foot et d’arts martiaux, certaines salles de musculation, ont été investis par les islamistes.

On y apprend que certains clubs sont réservés aux femmes portant le jihab, que des éducateurs sont radicalisés, que les prières se pratiquent dans les vestiaires et que les salafistes investissent les rings de boxe.

On n’est plus dans la simple lecture radicale du Coran mais dans l’infiltration du fondamentalisme religieux dans plusieurs secteurs de la société, école et sport étant des cibles de choix pour islamiser les jeunes.

Ce qui frappe, c’est l’étendue du phénomène qui touche tout le territoire et pas seulement les quartiers sensibles. Ce qui interroge également, c’est que cette montée du communautarisme se voit surtout dans les clubs de foot, les arts martiaux et les salles de body building, où l’islam radical tisse sa toile.

On est loin de l’image du sport rassembleur et vecteur d’intégration. C’est tout le contraire. On y voit des conversions à l’islam et des parcours de radicalisation inquiétants. Le sport peut devenir le terreau du terrorisme.

La sacro-sainte règle de la neutralité religieuse qui doit être respectée dans le sport est bien évidemment bafouée quotidiennement avec la complaisance de certains responsables, qui ferment les yeux pour éviter les conflits. Des joueurs sont capables de stopper leur entraînement pour faire la prière.

Le chantage n’est pas rare. Au cours d’un match de foot féminin, une joueuse a refusé d’ôter son voile, sinon toute l’équipe s’en allait. L’arbitre a capitulé pour que le match se déroule.

Il est clair que les principes républicains sont régulièrement bafoués, le séparatisme hommes/femmes étant de plus en plus fréquent.

Mais le plus inquiétant est la présence d’éducateurs fichés pour radicalisation islamiste, qui peuvent exercer et endoctriner les jeunes. Certains comportements d’endoctrinement sont parfois démasqués, d’autres pas.

En définitive, 65 000 pratiquants s’entraîneraient au sein d’associations sportives communautarisées. 11 000 sportifs s’entraînent dans 122 clubs en lien avec la mouvance séparatiste.

1 057 sportifs sont inscrits  au fichier de traitement des signalements pour la prévention de la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). Soit un taux de 13 %.

On le voit, il n’y a aucune volonté politique de “déradicaliser” le sport, aucune volonté d’œuvrer pour l’intégration. Tout le discours officiel sur le “vivre-ensemble” et l’intégration réussie n’est que mensonge. Les islamistes évoluent en toute tranquillité avec la bénédiction des autorités. 

L’inaction gouvernementale est le terreau du communautarisme et le tremplin de l’islamisme. Ce sont les mêmes responsables, qui refusent d’agir par lâcheté, qui iront verser leurs larmes de crocodile aux obsèques de la prochaine victime du terrorisme.

Comment expliquer un tel laxisme, alors que la France est le pays d’Europe le plus touché par le terrorisme islamique ? L’entrisme islamiste n’est pas une fatalité, mais vu l’inaction de l’État, il faut croire que c’est une volonté élyséenne.

Jacques Guillemain 




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Un commentaire

  1. Posté par Nemo le

    “L’entrisme islamiste n’est pas une fatalité, mais vu l’inaction de l’État, il faut croire que c’est une volonté élyséenne.”
    C’est une vraie question ?
    Des protocoles des sages de Sion et ceux de Toronto , en passant par le plan Kalergi pour aboutir aux déclarations du FEM de Schwab et connaissant le niveau de corruption et de soumission de nos divers présidents , celui qui se pose cette question a visiblement du mal à emboiter les pièces du puzzle .

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