Erik Tegner, directeur de la rédaction de Livre Noir, de retour de Lampedusa (vidéo: 6:10)

Résumé et commentaires: Carla Montet

En trois jours et en interviewant une centaine de migrants, voici le résumé de la situation auquel parvient Erik Tegner, directeur de la rédaction de Livre Noir (et né de la dernière pluie). Il explique qu'ils fuient la misère, on peut les comprendre.
C'est pourquoi, lorsqu'ils déposent leur demande d'asile, ils sont drillés (par les ONG) pour raconter qu'ils fuient la guerre. (Comment ce genre d'immigration, BASÉ SUR LE MENSONGE, qui n'est autre que le dévoiement consenti du droit d'asile, peut-il aboutir à un comportement respectueux de la part des envahisseurs envers les accueillants, qui ont un comportement masochiste, pris pour des imbéciles prêts à tout gober, et marchant dans ces bobards depuis des décennies?)

Les migrants disent tous que les racistes ne sont pas les Européens blancs, mais les Maghrébins (sauf qu'une fois en Europe, nombre d'entre eux en font leur fonds de commerce, ils ne cessent de se plaindre que nous sommes racistes, en dépit de toute l'aide qu'ils reçoivent, ils font carrière dans la lutte antiraciste et exploitent au maximum cette culpabilisation qui leur rapporte).

Erik Tegner: Est-ce le début d'un mouvement ? 8'500 sont arrivés en quelques jours, et ils annoncent la suite qui arrive à cause du beau temps - explique le journaliste (comme s'il ne faisait pas beau temps depuis six mois pour la traversée!).
Tout en ajoutant de nouveau, comme pour s'excuser, qu'on peut les comprendre, ils fuient la misère. Erik Tegner dit qu'ils ont tous travaillé en Tunisie pour gagner 3000-4000 dinars, le prix de la traversée (sauf que ces arrivées en cours sont gratos. Le journaliste omet d'en parler, même après avoir interrogé cent migrants, alors que c'est un élément capital pour comprendre qu'une invasion catastrophique et organisée de l'Europe vient de débuter.)

Le journaliste appréhende que tous aillent finalement en France, au vu qu'ils sont francophones, pour une meilleure vie. (Et nous, pour la Suisse romande...)

 

Encore des médecins du cerveau et des scientifiques en route pour Lampedusa...

 

Erik Tegner: Il y a encore énormément de bateaux qui arrivent.
Il y a peu de responsables politiques sur place.
Pour les 8 minutes de visite de Von der Leyen et de Meloni, le hot spot est devenu méconnaissable: le port a été nettoyé des migrants pour leur arrivée et pour donner l'impression qu'ils ne sont que 300-400. (pour les rendre invisibles aux caméras des journalistes dépêchés pour cet éventement de 8 minutes...)
Les autorités italiennes sur place ont réussi à en évacuer la majorité en 48 heures, alors même que le camp se remplissait à fur et à mesure. Ils sont dispatchés actuellement dans d'autres ports (avant de repartir vers le Nord, afin de nous enrichir).

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Notre récit de retour de Lampedusa ! #Cnews

De retour de Lampedusa où il a passé 72h, le directeur de la rédaction de Livre Noir, Erik Tegner, raconte ce qu’il a vu sur CNEWS.

 

 

 

3 commentaires

  1. Posté par Roland le

    A quoi sert la technologie susceptible de détecter des objets infiniment petits. Qu’elle est l’utilité d’entretenir une marine de guerre qui sert de relais aux passeurs de migrants.

  2. Posté par bonardo le

    Le multiculturel n`est pas une chance ,mais un danger point barre !

  3. Posté par antoine le

    ” … lorsque les migrants déposent leur demande d’asile, ils sont drillés (par les ONG) pour raconter qu’ils fuient la guerre. (Comment ce genre d’immigration, BASÉ SUR LE MENSONGE, qui n’est autre que le dévoiement consenti du droit d’asile …”
    Les ONG sont à la base du problème de l’immigration et de l’appel d’air qui s’en suit !
    Les migrants doivent MENTIR pour obtenir le droit d’asile !
    Sinon il y a longtemps qu’il n’y en aurait plus du tout qui risquerait de traverser la Méditerranée !
    Les ONG sont responsables des trop nombreuses noyades ! En effet lorsque les conditions sont bonnes tout se passe bien mais dès que la météo se gâte, les embarcations de fortunes coulent … Lorsque les migrants prennent la mer ils croient qu’il y aura un bateau qui viendra les prendre à bord à 2-3 km du rivage …
    Cela augmente les risques démesurément et fait planer une illusion des secours omniprésents …

Et vous, qu'en pensez vous ?

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