Albert Coroz: Sans prendre position, nous résumons l'avis de plusieurs analystes politiques hongrois de renom, selon lesquels le deep state a déjà lâché les USA – cette première puissance mondiale en déclin, où le chômage est en réalité de 25%, dont l'endettement atteint des sommets stratosphériques, et où le multiculturalisme a amené la multiconflictualité. Ces analystes ne croient pas à l'avènement d'un monde multipolaire, mais plutôt celui d'un monde sous domination chinoise, avec l'émergence de nouvelles puissances régionales.
Les États-Unis ont déjà perdu en compétitivité par rapport à la Chine, et tout comme l'Europe, ils connaissent un déclin dû aussi bien à la désindustrialisation qu'à un abrutissement de la population par la drogue, la désinformation et le bourrage de crâne idéologique véhiculé par les médias, le divertissement et l'enseignement. Le monde progressiste américain et le deep state ont œuvré en ce sens durant des décennies.
Les cent entreprises les plus fortunées des USA, les plus riches ont soutenu Obama, Hillary Clinton, elles ont toutes déserté le camp des Républicains, qui sont les perdants de la guerre culturelle, parce qu'il valait mieux se ranger du côté des gagnants, de la force.
Trump est arrivé hors agenda, sans avoir droit à un deuxième mandat car cela aurait fait obstacle au programme du changement d'empire.
Le deep state mondialisé a déjà usé et jeté le monde judéo-chrétien occidental, et il se recycle actuellement au moyen de la guerre en Ukraine, en faisant de la Chine l'empire qu'il compte désormais diriger.
Pour mener à bien ce plan, il a choisi de séparer la Russie de l'Europe et de la pousser dans les bras de la Chine. La puissance mondiale bâtisseuse d'empires prévoit d'utiliser la Chine pour s'emparer des trésors de la Russie.
Dans ce plan du deep state en cours d'exécution, l'Europe n'est qu'un projet secondaire, mené avec un succès total. Et il est si ingénieusement conçu que c'est l'Europe même qui accepte de financer sa ruine.
Le deep state, via les discours des médias imposent l'invasion d'Europe par des peuples inassimilables et poussent ses gouvernements à financer la guerre contre la Russie, contrairement à tous ses intérêts, amenant appauvrissement et instabilité pour tout le continent, et préparant des problèmes existentiels pour le siècle à venir.
La capacité d'ingénierie sociale du deep state est colossale, peu de pays peuvent y échapper.
La France comme exemple:
Face aux signes d'avertissement du deep state, capable de déclencher une guerre ethnique en France, pays qui a déjà 3000 milliards d'euros de dettes, Macron s'est hâté d'envoyer des missiles longue portée (250 km) à Kiev, comme preuve de sa soumission à son suzerain. Macron a plus peur du deep state que de la Russie, ce qui en dit long.
Notre-Dame a déjà brûlé, mais il faut éviter que le Louvre ne brûle.
L'ingénierie sociale qui s'est déroulée au niveau planétaire durant les deux ans de crise du Covid n'a pas encore livré tous ses secrets, mais tout indique qu'un plan a été mis en place par ces pouvoirs de l'ombre qu'on nomme deep state, ces pouvoirs qui font élever et détruire des empires.
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Le ministre hongrois des Affaires étrangères, Péter Szijjártó, a donné une conférence de presse le 12 juillet lors du sommet de l'OTAN à Vilnius. Il a souligné que du point de vue de la Hongrie, la Chine n'est pas l'ennemie de l'OTAN.
En franchissant le Rubicon, il aurait pu ajouter que la Russie n'est pas non plus leur ennemie, et peut-être même désigner qui sont les vrais ennemis de la Hongrie, de l'OTAN, ennemis contre lesquels cette organisation serait censée défendre ses membres.
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Extrait de la conférence de presse de Szijjártó:
L'OTAN n'est pas une organisation anti-Chine. Ses dirigeants s'entretiennent durant ce sommet avec leurs homologues d'Australie, de Corée du Sud, du Japon et de Nouvelle-Zélande. Les événements géopolitiques récents ont accru l'importance d'un renforcement de la coopération avec les partenaires du Pacifique.
Nous sommes tout à fait favorables à cette coopération, car le Japon et la Corée du Sud sont nos partenaires stratégiques, nous entretenons des relations politiques étroites et les deux pays investissent beaucoup en Hongrie. Cependant, de notre point de vue, il est au moins aussi important que l'OTAN n'adopte pas une attitude anti-chinoise. Il faut donc préciser que l'OTAN n'est pas une organisation anti-chinoise, qu'elle n'a pas été créée contre la Chine, que son fonctionnement actuel n'est pas dirigé contre la Chine et que nous ne considérons pas la Chine comme un risque, un adversaire ou un ennemi.
Nous pensons nous-mêmes que la coopération avec la Chine, tout comme la coopération avec la Corée du Sud et le Japon, offre d'immenses possibilités et de grandes chances.
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Arrive-t-il que le parlement soit consulté sur ces affaires ou c’est superflu ? https://t.co/82QJS5lvdu
— Régis Le Sommier (@LeSommierRgis) July 11, 2023
est-ce que l’OTAN à bien conscience de ceci ???
si oui…alors là …
https://covertactionmagazine.com/fr/2022/07/20/%C3%A0-quel-point-le-pr%C3%A9sident-ukrainien-volodymyr-zelensky-est-il-corrompu/
bis repetita !!! et pourquoi maintenant ?…
https://twitter.com/TribunePop2022/status/1678999728472637441