Ndlr: La Finlande a reçu des fonds européens pour construire une clôture de 200 km entre son pays et la Russie. Depuis le début de la guerre, 8 personnes venant de la Russie ont franchi illégalement cette frontière.
La Hongrie avait été dévastée par une invasion de centaines de milliers de migrants en 2015, avant qu'elle ne décide d'ériger des clôtures. Depuis lors, elle réclame vainement la participation de l'UE à cette dépense de 160 millions euros !
À cette époque, la Hongrie avait été traitée de fasciste, de raciste et vilipendée durant des années pour sa politique migratoire.
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L’Europe change de discours : La clôture de la frontière hongroise, tant décriée, devient un exemple pour tous…
Depuis des mois, les prévisions à long terme annoncent des vents forts en Europe, et le flux persistant du nord qui a longtemps affecté le continent a été lentement remplacé par des courants du sud et de l’est, avec des rafales occasionnelles, mais puissantes, de l’ouest. Cette situation devrait perdurer jusqu’aux élections du Parlement européen au milieu de l’année prochaine et aux négociations de pouvoir qui s’ensuivront.
Le changement de direction des vents vient d’être confirmé par le « météorologue en chef », Manfred Weber, chef du groupe parlementaire du Parti populaire européen. L’homme politique allemand, qui a un sens aigu des changements en cours, a récemment déclaré :
« S’il n’y a pas d’autre moyen de stopper l’immigration clandestine, nous devons être prêts à construire des clôtures ».
Cela n’a pas toujours été le cas, puisqu’il y a huit ans, il prenait position au nom de la « Willkommenskultur » promulguée par Angela Merkel et était tellement anti-frontières qu’il invoquait même « Mutti » (le surnom allemand de la « mère » Merkel) et s’adressait directement à Donald Trump dans un message sur Twitter en 2017 en déclarant : « Nous ne construisons pas de murs, nous voulons construire des ponts. »
Weber a toutefois été déçu par « Mutti » car, bien qu’étant le meilleur candidat du Parti populaire aux dernières élections du Parlement européen, il n’a pas pu se présenter parce que Viktor Orbán et Emmanuel Macron, qu’il a souvent critiqués, ont trouvé quelqu’un d’autre de plus apte à diriger la Commission européenne.
Bien que Ursula von der Leyen, alors couronnée, ait depuis lors déçu, et que les affaires de corruption ne soient pas loin de son esprit, la procédure d’il y a quatre ans pourrait être instructive pour elle : Elle est arrivée en première position en tant que quasi-inconnue face à Weber, qui semblait être le vainqueur assuré. Cette semaine, il a fait pression sur la coalition du Parti populaire européen pour qu’elle l’inclue comme candidat principal l’année prochaine, mais il ne suffit pas qu’il soit acceptable dans son pays, car l’Europe semble en avoir assez de voir l’Allemagne dicter l’ordre du jour. L’Italie de Meloni a déjà fait savoir qu’elle souhaitait limiter l’immigration, et le président français Emmanuel Macron s’est montré encore plus spectaculaire dans son opposition à la ligne allemande ces dernières semaines.
Parfois critique à l’égard du premier ministre hongrois lui-même, Macron a compris qu’il n’avait rien à perdre, puisque la constitution française stipule qu’il ne peut pas être président une troisième fois et que, jusqu’à présent, on ne se souvient de lui que pour ses manifestations de gilets jaunes et de réforme des retraites, qui ne sont guère marquantes pour sa place dans l’histoire de l’Europe.
Pour tenter de donner une image plus positive, il a adopté un ton inhabituellement amical à l’égard de la Chine, avant de déclarer que l’Europe devait veiller à ses propres intérêts et que ses dirigeants devaient œuvrer à la création d’une autonomie. La ministre allemande des affaires étrangères, Annalena Baerbock, a été la plus bruyante dans ses protestations ; elle n’a pas reconnu les vents changeants et a déclaré qu’il n’y avait pas de place pour de telles dissensions au sein de l’UE. Macron, cependant, ne se laisse pas si facilement influencer et va maintenant plus loin, en joignant ses forces à celles des Chinois pour amener les parties coincées dans le bourbier de la guerre entre la Russie et l’Ukraine à la table des négociations cette année, d’après Bloomberg.
Tout cela en une semaine :
- Les clôtures frontalières,
- la protection des intérêts européens et un cessez-le-feu pour éviter l’escalade de la guerre ne sont plus le travail du diable,
- et après Meloni, Weber et Macron ont maintenant soutenu Viktor Orbán.
Si cela se poursuit, en mai prochain, le courant dominant sera derrière le premier ministre hongrois, qui était auparavant rejeté par l’élite européenne comme anti-humain, autoritaire et pro-Poutine.
Traduction de Remix News par Aube Digitale
L'Allemagne réclame encore 1,2 millions de migrants en 2021: https://www.tagesschau.de/wirtschaft/konjunktur/arbeitskraefte-mittelstand-einwanderer-mangel-101.html
mais pas besoin de construire des clôtures il faut remettre des Frontières et reconnaître que le Mondialisme est un échec total et donc des frontières des Gardes frontière en nombre suffisant bref l’Europe des Nations mettra fin au problème pas besoin de construire des clôtures vu que les Frontières bien gardées feront office de clôture