Dimanche 12 mars 2023, la RTS a diffusé un reportage - émission "Sur les Docs" - sur la souffrance des femmes noires découlant du racisme des Blancs en Suisse. Ces femmes bobos, intellectuelles wokisées, avocate, journaliste,... ayant des préoccupations hors sol, comme des soucis de coiffure, ont en commun un sentiment de révolte gorgé de ressentiment envers leur pays d'accueil, la Suisse prétendument raciste.
Les immigrés venant d'Afrique ont non seulement amené leur posture victimaire, mais également des mentalités très différentes des nôtres... comme dans l'exemple afro-danois ci-dessous.
Et si ces femmes africaines wokes du reportage, ayant comme fonds de commerce de dénoncer un prétendu racisme systémique et le déni du passé colonial de la Suisse, allaient plutôt pratiquer la sororité en Afrique et s'occuper d'abord des injustices régnant sur leur continent d'origine ?
Car produire des films aux frais des contribuables, puis les faire diffuser également aux frais des contribuables, en vue de gagner le prix de la compétition Internationale du FIFDH (Festival du film et forum international sur les droits humains), n'a rien de glorieux.
Par contre, défendre les petites filles qui sont mariées de force par leurs pères serait nettement plus utile.
Ces femmes du film documentaire "Je suis noires", "Suissesses, aux origines africaines", feraient mieux de délaisser leur vie facile de petites bourgeoises aux activités subventionnées pour sauver les filles de l'excision, de l'exploitation sexuelle ou de la mise en esclavage, ou encore pour combattre le maraboutisme encore si vivant en Afrique.
Puis se rappeler que nous n'avons forcé personne à venir en Suisse. L'écrasante majorité des immigrés d'origine africaine ont affronté volontairement vents et marées pour venir vivre chez les Blancs, afin d'y bénéficier d'aides, et d'un niveau de vie paradisiaque comparé à celui d'un habitant lambda en Afrique.
La Suisse n'a nul besoin de femmes africaines donneuses de leçons; par contre, Mesdames, l'immensité de l'Afrique vous attend pour y amener votre grand sens de la justice!
Voilà où vous pourriez vous rendre utiles, et cela sans qu'il soit nécessaire de quémander des subventions aux méchants Blancs!
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Robert Spencer, 1.03.2023
Comme nous l'avons souligné à maintes reprises, les femmes sont pratiquement considérées comme une marchandise sous la loi islamique, et le récit qui suit en est un exemple révélateur. Lorsque la fillette a refusé le mariage arrangé, son père s'est mis à la traiter comme une infidèle, dont il est permis de faire une esclave sexuelle selon le Coran (4:3, 4:24, 23:1-6, 33:50 et 70:30).
L'explication en est qu'elle s'est rendue mécréante en lui désobéissant et en refusant ses ordres.
"Et il ne convient pas à un croyant ou à une croyante, lorsque Allah et son messager ont réglé une affaire, de revendiquer un droit de regard sur cette affaire ; et quiconque est rebelle à Allah et à son messager s'égare dans un fourvoiement évident." (Coran 33:36)
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"Attempt to force 12-year-old into marriage with 75-year-old", traduit de "12-årig forsøgt tvunget til ægteskab med 75-årig", par Jens Anton Havskov, Ekstra Bladet, 27 février 2023
Leur père leur avait présenté cela comme des vacances d'été attrayantes et exotiques de quatre semaines au Kenya et en Somalie.
Mais en réalité, selon l'acte d'accusation, cela s'est révélé être un cauchemar de quatre ans et demi pour deux enfants du quartier de Vollsmose à Odense, un garçon de neuf ans et sa sœur de douze ans.
Mardi 7 mars, le procès s'ouvrira contre leur père, 44 ans, accusé d'une longue série d'atrocités contre deux de ses propres enfants, qu'il a emmenés en "rééducation" islamique avec l'intervention de membres africains de sa famille.
Vendus comme une marchandise
La fille, en particulier, a été, de juin 2017 à décembre 2021, alors qu'ils se trouvaient loin de leur environnement familier au Danemark contre leur gré, la cible innocente de plusieurs formes d'atrocités et de brutalité.
Par exemple, elle a été plusieurs fois exhibée et vendue comme une marchandise - une esclave sexuelle - sur des marchés au Kenya et en Somalie.
Elle a également été excisée, malgré une résistance farouche. Cette intervention cruelle aurait été effectuée, par sa propre grand-mère avec un groupe d'autres femmes de la même ville que celle où les enfants avaient été enlevés.
Elle a également été violée à plusieurs reprises, par des hommes qui payaient son père pour cela.
Brutalisés jour après jour
Pendant la longue période d'enlèvement en Afrique, la jeune fille mineure, qui est née, a grandi et a vécu toute sa vie à Odense, a également fait l'objet d'une tentative de mariage forcé avec un homme d'environ 75 ans.
Cependant, elle a opposé une résistance telle que le mariage n'a pas eu lieu.
Selon l'acte d'accusation, elle a ensuite été vendue à un homme d'une quarantaine d'années.
Selon la déclaration de la jeune fille à la police, il l'a soumise à des viols répétés pendant qu'elle était sous sa garde.
Selon l'acte d'accusation détaillé, la jeune fille et son jeune frère ont été exposés quasi quotidiennement à d'autres formes de violence physique, de la part de leur père, de membres de leur famille et de plusieurs maîtres coraniques différents, alors qu'ils séjournaient contre leur gré alternativement dans ces deux pays africains où ils n'avaient jamais mis les pieds auparavant.
Fouettés avec une corde
Coups de poing sur la tête et le corps, coups de fouet avec une corde et une ceinture, coups de planche, de sandale ou de bâton étaient paraît-il monnaie courante, tant de la part de leur propre père que de la part de maîtres coraniques changeants qui étaient envoyés au domicile des enfants pour les "rééduquer".
L'accusé, âgé de 44 ans et citoyen danois d'origine somalienne, a été arrêté le 24 janvier 2022 et présenté le lendemain au tribunal d'Odense lors d'une audience constitutionnelle à huis clos.
Il est en détention depuis lors.
L'homme, qui, à un moment de la procédure, est retourné lui-même au Danemark en laissant les enfants à des membres de sa famille, plaide non coupable.
Chauffeur à Odense
Selon les informations d'Ekstra Bladet, l'homme a gagné sa vie en tant que chauffeur commercial, aussi bien dans les années précédant l'enlèvement qu'après son retour au Danemark.
Depuis leur retour, les deux enfants ont été placés en famille d'accueil.
Treize jours ont été réservés pour le procès avec jury, le verdict étant attendu pour fin avril ou début mai.
Traduction abrégée, commentaire : Carla Montet
Voir aussi: En Somalie, le parlement discute d'un projet de loi visant à aligner l'âge légal du mariage sur celui de la puberté, parfois 9 ou 10 ans, pour les filles (2020)
Et vous, qu'en pensez vous ?