En pleine crise énergétique et migratoire, la RTS se soucie de notre compensation du CO₂ “néocolonialiste”

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Carla Montet: Horreur et damnation! La RTS relève que le New York Times a classé la Suisse parmi les néocolonialistes pour son exportation de CO2 ! La Suisse qui cherche à être exempte de péché!

Notre pays est sous l'emprise des courants de pensée des Démocrates US depuis des décennies, c'est pourquoi les critiques de leur part sont immédiatement prises en compte. Le Grand débat de la RTS s'empare aussitôt de ce "problème" dénoncé par le NYT, alors que nos industries n'arrivent déjà plus à faire face au prix de l'énergie.

La RTS veut faire croire que le NYT est une référence objective et sérieuse qui compte, alors que tout Américain qui se respecte évite ce journal, tant sa réputation est mauvaise et le monde entier sait qu'il est l'exemple même du journalisme de propagande progressiste.

Cependant, le problème n'est même pas ce qu'est le NYT, mais le fait qu'en Suisse romande, c'est le Service public qui fait majoritairement référence pour la population comme source d'information, et il ne présente QUE la vision du monde du camp progressiste, tout comme les quelques autres médias romands, sous l'emprise idéologique de la même pensée unique.

En Suisse, les médias et le monde académique devraient impérativement mener des débats libres sur des sujets dont ils ne parlent jamais:

1 Comprendre, et analyser comment nous sommes devenus des colonies du parti Démocrate des USA. Où va nous mener cette dépendance, et à qui profite cette distorsion?

2 Quels sont les effets du progressisme venu des USA sur notre pays, sur notre civilisation, économiquement, politiquement, culturellement parlant.

 

3 Pourquoi nos médias, le monde académique singent-ils l'idéologie progressiste des USA?
Quels sont les problèmes causés par cette contamination ?

 

4 Comment pourrions-nous décoloniser les esprits, le monde académique, journalistique, afin que l'idéologie progressiste puisse être librement débattue, contestée, voire combattue. Comment retrouver un débat démocratique véritablement pluraliste?

 

Qu'est-ce qui fait que le peuple suisse si ambitieux ait pourtant voté pour soumettre ses lois à celles de la CEDH, se retrouve en l'espace de 50 ans avec un taux de personnes d'origine étrangères record, se propose la première pour reconstruire l'Ukraine après la guerre, et s'impose les objectifs les plus sévères en matière de réduction d'émission de CO2 ?

Au Moyen Âge, il n'était pas question de contester l'existence même des sorcières, tout un monde "scientifique" cherchait à définir qui trafique avec le diable et comment punir correctement les coupables.
La chasse aux sorcières a fait 100 000 morts en Europe. Et c'est la Suisse qui détient le record du nombre de victimes, des femmes, des hommes et des enfants. L'histoire de cette persécution de masse montre que les racines de cette volonté suisse d'être un exemple pour tous remonte loin. et peut-être aussi de chercher la rédemption par la souffrance.

Actuellement, le comportement zélé de la Suisse avec "la science" du réchauffement climatique est similaire. La mise en question de ce dogme est aussi impensable qu'il était autrefois de nier l'existence des sorcières.

Dans notre exemple du débat RTS, tout tourne autour d'un faux problème, à savoir, sommes-nous suffisamment écoresponsables en nous ruinant pour nous décarboner, sommes-nous en accord avec nos objectifs en "renouvelables", ou en rachat d'indulgences de CO2 ?

Et tous nos apparatchiks en réchauffement climatique, professeurs, politiciens et spécialistes, qui ont bâti leur carrière sur ce mensonge, ont déjà dilapidé des fortunes pour imposer à nos industries et à la population l'obligation à se "décarboner", et puisent dans notre poche pour "verdir" le Pérou, le Ghana, le Sénégal, la Géorgie, le Vanuatu, Saint-Domingue, la Thaïlande, l'Ukraine, pour sauver la planète entière.

Mais comment un délire pareil a-t-il pu prendre racine dans les esprits? Comment notre service public peut-il se permettre de chauffer quotidiennement la population avec une propagande aussi cinglée?

Et nos médias ont si bien lessivé les cerveaux que seule une minorité a pu garder la capacité de penser par elle-même. Ainsi les bobards médiatiques sont assimilés sans résistance et la minorité qui pense autrement est simplement réduite au silence, ostracisée, et même brisée.

Il en va de même avec la politique migratoire progressiste qui détruit notre avenir, notre patrimoine, notre cohésion nationale et pousse au suicide notre civilisation. Et comme d'habitude, la Suisse, très sensible au qu'en-dira-t-on, veut être encore un exemple en matière d'accueil multiculturaliste pour la planète entière.

Par des moyens d'infiltration et de manipulation de masses très puissants, les USA ont subjugué l'Europe, la Suisse, ont colonisé son monde académique et médiatique. Et la Suisse romande encore plus à gauche est particulièrement réceptive aux modes d'outre-Atlantique.

Au lieu de propager quotidiennement le bobard climatique, il serait temps aussi de parler librement de la guerre que les USA ont provoquée en Ukraine, comment ils l'entretiennent, tout en ruinant du même coup tout notre continent et mettent en danger la démocratie.
Et dire qu'ils font tout cela, pour sauvegarder leur position dominante dans le monde et conserver l'hégémonie de leur dollar pourri.

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Ci-dessus, caricature du NYT
et ci-dessous, sa traduction

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Compensation des émissions de CO2: la Suisse se déresponsabilise-t-elle? Forum (18 minutes) autour du commerce du CO2

- Esther Coquoz, journaliste RTS,
- Franziska Meinherz, répondante de la Grève du climat,
- Philippe Thalmann, professeur d’économie et directeur du laboratoire d'économie urbaine et de l'environnement de l'EPFL,
- Gaëlle Fumeaux (GF), coresponsable de la Fondation Klik (Fondation pour la protection du climat et la compensation du CO2).

Lien vers le débat: https://www.rts.ch/audio-podcast/2022/audio/forum-presente-par-renaud-malik-et-esther-coquoz-25875344.html?id=25875338

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Résumé : Esther Coquoz, RTS: Samedi, la Suisse a signé un accord de compensation de CO2 avec le Ghana. La Confédération va promouvoir dans ce pays des techniques de production du riz qui dégagent peu de méthane. Les tonnes de CO2 économisées grâce à ce projet seront attribuées à la Suisse. Cette pratique a suscité la semaine dernière un article critique dans le New York Times, qui titrait « La Suisse compte sur les pays pauvres pour réduire les émissions de CO2 à sa place ».
La Suisse veut donc réduire de moitié ses émissions de CO2 d’ici 2030, mais 1/3 de cette réduction peut se faire par des projets à l’étranger. Est-ce que la Suisse se décharge de ses responsabilités comme le dit le NYT ?

Dame de la compensation CO2: La Suisse est le premier pays à avoir signé un accord de projet concret dans le cadre des accords de Paris. Mais ce n’est pas pour autant qu’on en fait moins en Suisse. Comme vous venez de le dire, c’est 3/4 des émissions qui doivent être réduits en Suisse.

Dame Grève du climat: 1/3 à l’étranger et 3/4 en Suisse, ça fait plus que 100%, ce qui m’étonnerait vu le peu d’ambition de la Suisse. La Suisse se dédouane quelque part de faire les transitions nécessaires à l’intérieur, en faisant porter la charge à des pays qui en plus sont de très faibles émetteurs.
Il y a donc une double critique. L’une, c’est le caractère un peu néocolonial de ce système, où la Suisse, au lieu d’entamer cette transition certes pas agréable, fait adapter les comportements à des gens dans des pays tiers. Et l’autre argument, c’est qu’il est carrément inefficace de vouloir faire les réductions nécessaires au niveau mondial dans les pays où il y a les plus faibles émissions.

Esther Coquoz: Est-ce que la Suisse ne devrait pas commencer par faire plus d’efforts de réduction chez elle ?

Dame compensation du CO2: D’abord, on ne fait pas moins en Suisse parce qu’on fait plus à l’étranger. On élève les ambitions des deux côtés. Ensuite, une tonne de CO2 de réduction sur cette planète a le même impact quel que soit le pays.
C’est pour ça qu’on ne parle pas de n’importe quels projets, mais de projets qu’on fait selon les lignes directrices des accords de Paris. L’article 6.2 précise les conditions dans lesquelles ce projet aura lieu et surtout selon lesquelles les réductions seront vérifiées. C’est un mécanisme relativement robuste. Il y a un cadre qui a été défini encore plus précisément à Glasgow l’année dernière et qui évite les dérives.

Esther Coquoz: Est-ce que ce sont des projets qui seraient non prioritaires pour le pays donné ? Expliquez-nous !

Dame de la compensation CO2: Avec les accords de Paris, chaque pays possède une NDC, Nationally Determined Contribution, un objectif, un carnet de route de sa politique climatique. Le pays définit secteur par secteur les mesures qu’il souhaite prendre. C’est un document officiel public remis aux Nations Unies. Donc les projets que par exemple la Suisse va faire ne sont que des projets qui viennent s’ajouter aux engagements déclarés du pays.

Esther Coquoz: Avant cet accord avec le Ghana, Ignazio Cassis a signé un autre accord bilatéral en vue d’aboutir ensuite à des accords de compensation, c’était aussi à la COP27, il y a 5 jours, et selon le président de la Confédération, la Suisse ne doit pas agir seulement sur son sol :

Ignazio Cassis
(extrait d’interview) : Il faut faire les deux en même temps. Ces accords jettent les bases pour qu’on puisse réduire le CO2 à l’extérieur de la Suisse. J’ai signé aujourd’hui le neuvième, il y en a encore trois qui sont en préparation. Le jour où ces accords deviendront opérationnels, l’impact de la diminution de la Suisse sera important.

Prof d’économie et de l'environnement EPFL: Absolument, la Suisse est pionnière. Elle a été la première à tenter de clarifier les exigences de l’accord de Paris. Elle a joué un peu le Winkelried et avec ça elle s’attire les critiques. En même temps, elle le fait beaucoup par intérêt, parce que ça lui permet d’atteindre son objectif de réduction à moindre coût. (sic!!!)

Prof d’économie et de l'environnement EPFL: Ce chiffre comprend tous les gaz à effet de serre, mais il est exprimé dans une unité commune. Moins 50% par rapport à 1990 signifierait descendre à 27 millions de tonnes. Donc on devrait encore descendre de 16 millions de tonnes. La proposition du Conseil fédéral au Parlement, c’est de faire une vraie réduction de 7 millions, plus 9 millions compensés à l’étranger. Donc c’est vrai que pour la période qui nous reste ce sont principalement des réductions à l’étranger.
Ça, ce n’est pas correct, parce que la science dit : chaque pays doit diminuer de 50%. Donc : réductions à l’étranger, très bien, mais il faut que ce soit un plus, c’est-à-dire pour aller au-delà des 50%. Le projet au Ghana est un peu différent : il n’est pas dans le bilan de la Suisse, c’est l’Administration fédérale qui va réduire ses émissions de 50% d’ici à 2030, ses propres émissions, mais pour ce qui reste comme émissions, elle veut les compenser par des projets comme celui-là.

Esther Coquoz: Donc ce projet va forcément contribuer à réduire les émissions de CO2 sur la planète ?

Prof d’économie et de l'environnement EPFL: Oui, parce que le Ghana n’avait pas l’intention, ou ne l’avait pas exprimée, de réaliser un projet de ce type dans le domaine de l’agriculture, il avait pris des engagements dans d’autres secteurs. Ici il s’agit de réduire les émissions de méthane dans l’agriculture.

Esther Coquoz: Les émissions de CO2 ne connaissent pas les frontières. La Suisse en produit chez elle, mais aussi à l’étranger, indirectement, avec les produits qu’elle importe ou les matières premières qu’elle utilise. Il y a donc une certaine logique à compenser à l’étranger ?

Dame Grève du climat: Si on regarde les émissions domestiques, celles de la population et de l’industrie suisses, la Suisse a 0,1 % des émissions mondiales. Mais si on tient compte aussi des multinationales et du secteur de la finance suisse, on contribue à hauteur de 2 à 3 % aux émissions mondiales.
C’est entre autres ce que dénonce la campagne Debt for Climate, Dette pour le climat, les grèves pour le climat au Sud global : non seulement les pays du Nord ont une dette historique parce qu’ils ont émis plus tôt du CO2 au cours de l’histoire, mais encore aujourd’hui ils émettent par le biais de leurs multinationales et de leur finance sur le compte des pays du Sud global et aux dépens de l’environnement local.
Donc il faudrait deux mesures : 1° que les pays du Nord annulent les dettes du Sud global, et 2° qu’ils contribuent à financer les adaptations au changement climatique déjà en cours dans les pays du Sud. La Suisse fait cela en partie, mais au lieu de financer des projets de compensation, il faudrait financer d’abord des projets d’adaptation.

Esther Coquoz: Le président de Bolivie, dans l’article du New York Times, parlait de « capitalisme du CO2 ». Est-ce que c’est une attitude néocoloniale, on paie et on peut se dédouaner ?

Dame de la compensation CO2: Dans « colonisation », il y a une notion très forte de dépendance, d’exploitation, et ici on parle d’un accord entre deux pays qui décident d’agir conjointement. Ce n’est pas une démarche de domination, le terme de colonialisme est à bannir dans ce cas-là. C'est important de faire les adaptations, pour réparer les dommages causés, mais si aujourd’hui on n’investit pas dans la réduction, on va continuer à accélérer ce changement climatique.

Esther Coquoz: Sur la question des pays développés qui devraient réduire leurs émissions dans un pourcentage plus élevé que d’autres pays, parce qu’ils ont pollué plus, que répond l’économiste que vous êtes ?

Prof d’économie et de l'environnement EPFL: Au début (Kyoto), on n’attendait même pas des pays émergents qu’ils réduisent leurs émissions. Dorénavant, tout le monde doit participer, c’est trop tard, on ne peut pas stabiliser le réchauffement si certains pays sont dispensés de faire des efforts, et notre rôle c’est de les aider. L’important, c’est qu’on les aide sur des projets complexes, coûteux. [...] On le fait avec des exigences élevées, ...

Esther Coquoz: Donc il y a quand même un effet contre-productif à cette pratique de faire un peu du « shopping » des compensations de CO2, c’est votre expression que vous avez utilisée sur notre antenne l’année dernière ?

Prof d’économie et de l'environnement EPFL: Oui, c’est un peu dangereux pour ces pays.

Dame de la compensation CO2: Il y a une contrainte de budget réelle, tout simplement parce que le peuple suisse a dit non le 13 juin 2021. Après, est-ce que c’est seulement les projets les plus chers qu’on devrait soutenir ou aussi ceux où il y a un transfert de savoir, d’innovation ? Cela peut aussi avoir un intérêt pour ces pays. Dans les projets qu’on finance, il y a souvent une partie d’infrastructure, et même si la Suisse achète ses réductions de CO2 jusqu’en2030, l’infrastructure va rester.

Esther Coquoz: Comment vous expliquez ces critiques qui viennent de l’étranger, comme cet article du New York Times contre ce que fait la Suisse ?

Dame de la compensation CO2: C’est sûr que la Suisse a un objectif ambitieux avec ce –50% en 2030. C’est elle-même qui l’a choisi.

Dame Grève du climat: En Suisse, la voiture neuve moyenne achetée est 1/3 plus polluante que la moyenne européenne ; la moitié des voitures neuves importées sont des SUV, donc grosses et polluantes. La Suisse pourrait très facilement prendre des mesures pour décarboniser la mobilité à l’intérieur ; la mobilité est le secteur en Suisse où les émissions augmentent toujours. Mais au lieu de faire ça, la Suisse préfère planter du riz plus durable au Ghana et mettre des fours plus durables au Pérou. Les Péruviens n’ont pas forcément envie de changer de fours, mon voisin n’a pas forcément envie de changer de voiture, mais pourquoi la personne péruvienne devrait changer de four alors que mon voisin peut continuer à conduire son SUV ? C’est carrément une volonté assez néocoloniale. On a fait porter les changements de comportement aux pays qui ont le moins contribué et sont les plus exposés.

Esther Coquoz: La Suisse recule au classement mondial de la protection du climat, chiffre tombé aujourd’hui, en pleine COP27:
La Suisse recule de 7 places à l’indice de performance sur le changement climatique. Dans ce contexte, s’afficher en train d’acheter des compensations d’émissions dans des pays en développement, ça fait tache ?

Esther Coquoz: Les climatologues sont très critiques sur les compensations à l’étranger. La Suisse n’est pas forcément bonne élève pour la protection du climat : Franziska Meinherz (grève du climat) évoquait le parc automobile suisse. La Suisse manque d’ambition ?

La réponse du prof d’économie et de l'environnement EPFL:  L’inquiétude du New York Times, les critiques à la Suisse, ce n’est pas uniquement sur ce que fait la Suisse, c’est surtout qu’elle donne une sorte de modèle, qu’elle facilitera pour d’autres pays peut-être moins ambitieux d’aller acheter des réductions à l’étranger et d’encore moins réduire chez eux.
La Suisse peut avoir une influence sur le climat si elle montre de bonnes solutions et si elle aide aussi les autres à réduire leurs émissions. Mais si elle montre de mauvaises solutions et aide les autres à moins réduire leurs émissions, on se sera tiré dans le pied.

 

 

4 commentaires

  1. Posté par Valdimir le

    Ce que j’adore avec cette “compensation de co2” c’est que le co2 est de toute façon produit… mais une douzaine de guignols bien assis devant leur bureau ont réussi à déterminer que planter quelques arbres, généralement dans des pays pauvres, ça rendait nulle la production de ce co2. Des mathématiques tirées du q. Et comme il faut bien mettre en relation ceux qui produisent des gaz et ceux qui plantent des arbres, ils ont créé un “marché” de vent. Des types de font des millions parce que les guignols du haut ont déterminé un prix pour ce “marché”. FTX, à côté, c’était un business légitime. C’est hallucinant que cette arnaque dure aussi longtemps.

  2. Posté par antoine le

    Dame Grève du climat: ”la Suisse, au lieu d’entamer cette transition certes pas agréable …”
    Pas agréable surtout pour le porte-monnaie !
    La pénurie, voulue et orchestrée pour nos gouvernements incompétents a fait explosé les prix des énergies !
    Qui peut se payer 60% d’augmentation des coûts d’électricité ? Les riches !
    Qui peut se payer 100% d’augmentations des prix des pellets ou du bois ? Les riches !
    Qui peut se payer 20-30% d’augmentation sur les produits courants ? Les riches !
    Qui s’enrichissent ? Les riches !
    Si vous consommer que de l’énergie certifiée ”verte” votre budget EXPLOSE littéralement !
    https://www.courtage-energies.com/prix-energie-verte/

  3. Posté par antoine le

    La RTSocialiste serait-elle inculte à ce point ?
    ”La RTS veut faire croire que le NYT est une référence objective et sérieuse qui compte, alors que tout Américain qui se respecte évite ce journal, tant sa réputation est mauvaise et le monde entier sait qu’il est l’exemple même du journalisme de propagande progressiste.”
    Lorsqu’on va au fond du problème, il ne s’agit que de PROPAGANDE en faveur des islamo-gôchistes (ex-communistes néo-marxistes).
    COP26 Glasgow 2021 :
    ” Il y a un cadre qui a été défini encore plus précisément à Glasgow l’année dernière et qui évite les dérives.”
    Elle ”oublie” de préciser qu’à la fin de cette mascarade, il a été autorisé à la Chine et à l’Inde d’augmenter la production de charbon et d’augmenter le nombre de centrale à charbon …
    https://www.24heures.ch/a-glasgow-on-pense-deja-a-la-suite-143138043330
    Donc réduire les émissions de CO2 en Europe et en Suisse de 20-30% et qu’en Asie les pays sont autorisés a AUGMENTER leurs émissions de 30-50% cela n’a AUCUN sens !
    Depuis qu’il y a des ”COP” les émissions de CO2 ne font qu’augmenter … cherchez l’erreur !
    Une courbe intéressante à dessiner serait l’augmentation du CO2 par rapport à la population mondiale (8 milliards d’habitants !)

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