Parmi les personnes qui ont soutenu Trump, il serait plus rapide de dresser la liste de celles qui n'ont pas encore été poursuivies que le contraire.
Les Démocrates ont tout mis en œuvre pour que les élections de novembre se déroulent autour du thème de l'avortement, mais les sondages montrent que l'inflation inquiète davantage les Américains. Parallèlement, les 40 milliards d'aide à l’Ukraine irritent l'opinion publique.
En plus, l'échec de Biden à faire plier le prince Al Saoud afin qu'il augmente la production de pétrole va peser sur la décision finale des électeurs.
Les Démocrates agitent aussi le vieux hochet "Trump pire que tout", accompagné du narratif inversé "Trump et ses alliés ont pris part à des activités criminelles dans le but de renverser Biden et son gouvernement démocratiquement élu", ou le petit dernier: "Trump a menti sous serment", espérant que la majorité des électeurs soient suffisamment abrutis pour intérioriser les injonctions.
La haine de Trump dans les médias a atteint de telles proportions que beaucoup d'électeurs américains ont développé un réflexe de Pavlov: rien qu'en entendant son nom, ils ont une réaction de rejet.
La mentalité américaine fait que les gens ne se préoccupent pas tellement des guerres que leur pays mène, tant que leurs proches ne sont pas envoyés au combat et que leur niveau de vie n'en souffre pas. "La vie des Noirs compte", ont beuglé les foules durant des mois en battant le pavé. Pour ces mêmes, la vie des Russes, des Ukrainiens et celle des Européens, c'est le cadet de leurs soucis.
L'Europe fait face à une crise économique majeure, à l'invasion migratoire, qui amènera en plus le terrorisme, mais l'islamisation de l'Europe reste la conséquence la plus grave de notre soumission aux atlantistes.
Et comme si cela ne suffisait pas, le risque existe que la guerre déborde sur l'Europe occidentale.
En effet, la Russie a déclaré que l'Europe fait partie des belligérants et que la guerre risque à présent de s’étendra sur son territoire:
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RTS info: La commission d'enquête sur le Capitole cite Donald Trump à comparaître
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Voici les méthodes du camp Démocrate pour gagner les élections du Midterm
Une peine de six mois de prison a été requise lundi 17 octobre à l'encontre de l'ex-conseiller de Donald Trump, Steve Bannon, qui a été reconnu coupable en juillet d'entrave à l'enquête sur l'assaut du Capitole. Un juge doit prononcer vendredi à Washington la peine contre cet homme de 68 ans, figure du populisme de droite aux États-Unis.
À l'approche de l'échéance, les procureurs ont épinglé «la défiance, la mauvaise foi et le mépris» manifesté par Steve Bannon dès son assignation par la commission de la Chambre des représentants qui enquête sur l'attaque du 6 janvier 2021.
L'un des artisans de la victoire de Trump
Pour avoir conservé cette attitude jusqu'au bout, «il devrait être condamné à 6 mois de prison - le maximum du barème des peines - et à une amende de 200.000 dollars», ajoutent-ils dans un document joint à la procédure. Steve Bannon est considéré comme l'un des artisans de la victoire de Donald Trump de 2016. Même après avoir été écarté de la Maison Blanche en août 2017, il était resté proche du président et avait échangé avec lui la veille de l'attaque contre le siège du Congrès.
Pour connaître la nature de leurs discussions, la commission d'enquête parlementaire chargée de faire la lumière sur le rôle de Donald Trump dans ce coup de force avait assigné Steve Bannon à témoigner et à produire des documents. Il avait refusé, invoquant le droit des présidents à garder certaines conversations secrètes, ce qui lui avait valu d'être inculpé d'«entrave» au travail du Congrès.
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Lors de son procès devant un tribunal fédéral de Washington en juillet, il n'a produit aucun témoin et n'a pas pris la parole. Les jurés l'ont déclaré coupable après moins de trois heures de délibérations.
Il est par ailleurs poursuivi pour fraude par la justice new-yorkaise dans le cadre d'une enquête sur une levée de fonds pour construire un mur entre les États-Unis et le Mexique, l'une des principales promesses de campagne de Donald Trump.
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Et on nous bassine les oreilles que les USA sont la plus ”grande démocratie” du monde …
Un république bananière tout au plus et dirigé par une marionnette sénile !