De retour du dernier sommet de Bruxelles, le président du Conseil italien Enrico Letta a une nouvelle fois mis en garde contre la montée des populismes un peu partout en Europe. Au pouvoir depuis le printemps dernier, le numéro un italien s'inquiète de voir la progression des partis extrémistes dans toutes les élections nationales et redoute que le noueau Parlement de Strasbourg, qui sera élu l'an prochain, soit le plus anti-européiste que l'Europe ait jamais connu. Par le correspondant de RTSinfo à Rome, Eric Joszef.
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Letta est l’un des principaux responsables de la montée du “populisme” en Europe. D’abord, en désignant comme ministre de l’intégration une Congolaise prônant la naturalisation à tout-va de ceux qui mettent le pied en Europe. Ensuite, en appelant non seulement à une “solidarité” entre membres de l’UE pour la répartition des migrants de toutes provenance et de toutes conditions mais en plus pour en sécuriser l’accueil et en augmenter le volume! Il est vrai que contrairement à ce qu’il prétend, son pays accueille en fait proportionnellement moins de clandestins que ses voisins, puisque les migrants ne cherchent pas à s’y installer mais se contentent de la traverser vers des destinations plus attrayantes économiquement et socialement.
Il voulait dire du déclin du socialisme. A qui la faute si un parlement plus anti-européiste se forme? La démocratie n’est rien de bien pour l’Europe de Bruxelle.
Lorsque on prône le bradage de nos racines, de nos valeurs et que l’on croise la délinquance à chaque coins de rues; on ne peut qu’exprimer un profond dégoût sur la façon dont le peuple est représenté.
La technique du gavage au pilon du déni de réalité à touché le fond.
Le retour de bâton des peuples en colère consécutif a une overdose de socialisme … par là la monnaie.
Le multiculturalisme c’est bien, la sauvegarde de nos valeurs c’est mieux.
Pourquoi ces nouveaux partis voient-ils le jour et trouvent-ils le succès ?
Parce qu’ils écoutent les citoyens et reformulent leurs craintes et colères, alors que les partis traditionnels se sont en grande partie déconnectés de leur base et ne l’entendent plus.