Commençons par une anecdote, très révélatrice de la ville de Lausanne, ville à quatre milliards de dettes, gouvernée par la Gauche sans partage depuis des décennies. La préoccupation principale de ses dirigeants est d'être un exemple mondial pour ses objectifs climatique et une ville sanctuaire pour les migrants.
Au pied du Grand-Pont en travaux, à la jonction entre la place de l'Europe et la rue Centrale, un mendiant bedonnant dans la cinquantaine. Il fait partie d’un clan très professionnel en matière de mendicité agressive, mendiant debout, barrant la route aux passants à des endroits stratégiques.
Notre quinquagénaire gagne sa vie grâce à une astuce de pro. Assis par terre, il place sa coupelle à oboles au milieu du chemin, alors que le passage sous les échafaudages est un vrai goulot d’étranglement, où passe non-stop une foule compacte. Nous avons observé depuis des mois son manège très élaboré: l'homme pousse sa sébile pleine de pièces de monnaies au milieu du passage lorsqu’il débusque une personne qui a l’air suffisamment « victime » pour la renverser, afin de la culpabiliser d'avoir renversé sa misérable récolte.
Le coupable, qui croit avoir offensé un misérable mendiant, et propre en ordre sur lui, se met à l’aider à ramasser les sous, pendant que le mendiant indigné, le culpabilise en l'enguirlandant, tout en courant ramasser ses sous. A la fin, il se tourne vers sa victime et lui demande de l’argent. Ce dernier, après s’être offert en spectacle en grattant à quatre pattes à repêcher les centimes entre les jambes des passants, sort rapidement son porte-monnaie, se confondant en excuses, et lui file un billet pour disparaître au plus vite.
Nous avons passé devant la scène, en sortant du métro et en reprenant le métro, à 15 minutes d’intervalle, le temps de chercher une commande à la librairie. Deux victimes en 15 minutes. Lorsque nous sommes arrivés sur les lieux sur le chemin du retour, un Asiatique était déjà en train de lui filer son billet. Nous avons expliqué qu’il était victime d’une astuce, que cela se passe ainsi toute la journée. Deux jeunes filles qui passaient derrière nous se sont arrêtées pour nous dire que l’une d’elles s’était fait déjà avoir, ajoutant que le mendiant avait même renversé volontairement sa sébile pleine.
Il s’agit ici d’une mendicité à l’astuce, à l’instar des faux sourds qui accostent les passants avec un pseudo-langage des signes. Ces derniers sont spécialisés pour demander de signer « une pétition en faveur des jeunes sourds », sur une formulaire ad-hoc, muni d'un logo CICR, OMS, Pro-Infirmis, avant de faire passer le crédule à la caisse. Leurs proies se sentent coupables de ne rien comprendre, signent la "pétition" et paient.
Cette ville gangrénée par la gauche est probablement la ville au MONDE qui dépense le plus d'argent de ses contribuables pour les clandestins, faisant "pompe aspirante" de toute une population d’opportunistes qui ont compris le bon filon, faisant des milliers de kilomètres en voiture pour y arriver. Des villages entiers arrivent avec Mercedes et caravanes, leurs esclaves s'habillent misérablement pour joncher les trottoirs de Lausanne, harcèlent les passants, et ça rapporte. Nourris, logés aux frais des contribuables, bénéficiant de soins médicaux gratuits, ils sont soutenus par une pléthore d’organisations et de fonctionnaires, également tous entretenus par les contribuables.
Actuellement, dans nos médias, une Xème campagne d’hystérie des sociaux est diffusé pour sauver les SDF de Lausanne.
Le 2 juin, les journaux ont fait leurs manchettes d'une prétendue nécessité d’un Papyrus lausannois, opération de régularisation des sans-papiers, en prétextant la pénurie de main-d’œuvre dans la restauration/hôtellerie.
Un article de 24 heures du 2 juin célèbre les 20 ans de lutte du collectif vaudois de soutien aux SDF. Le collectif exige une "régularisation en masse".
Des personnes en situation précaire condamnées à la rue. Claude Calame déplore que les autorités lausannoises et vaudoises n’offrent pas de solution aux besoins des sans-abri.
extrait: À la veille du 1er mai, un collectif de soutien aux sans-logis installait dans l’enceinte du Palais de Beaulieu un campement provisoire. Il était destiné à recevoir la bonne centaine de personnes rejetée à la rue [...]
Le Courrier du 3 juin publie: Les travailleurs et travailleuses sociales dénoncent un manque de moyens chronique et s'inquiètent d'une baisse de la qualité des prestations offertes à la population. Les institutions sociales sont exsangues.
Le seul hic de ces bobards, c’est que les mendiants, qui constituent une partie des SDF, viennent d’un pays membre de l’UE, et par conséquent, pourraient aller travailler dans les secteurs où il y a un manque. Dans leur pays, et dans les pays environnants, il y a un manque de main-d’œuvre endémique dans l’agriculture. Seulement, cueillir les fraises paie moins et fatigue plus que de s’asseoir par terre à Lausanne.
Le fait que ces mendiants fassent partie d’un réseau de traite humaine qui les utilise (le chef du clan) n'est pas notre problème, c’est l’esprit de la Gauche qui veut imposer partout sa notion de justice. Notons que la Gauche défend la cause de la mendicité bien que ce soit en totale contradiction avec la dignité humaine de passer ses journées à tendre la main au lieu de faire quelque chose de constructif. Et, comme d'habitude, nos progressistes s’asseyent sur la dignité humaine lorsqu’il s’agit d’instrumentaliser une minorité pour leur cause.
Nos médias font actuellement un battage autour du campement, appelé « 43m2 », qui s’est installé devant le bâtiment de la Haute École de travail social et de la santé de Lausanne (HETSL). Cette forme de ZAD milite pour dénoncer la pénurie de structures pour SDF.
Ce collectif qui s’est mis en place est une sorte de stage, avec « travaux pratiques » sur la pelouse de l'école; les élèves peuvent y exercer leur futur métier de militants de gauche, avec l’aide des professionnels de l’SDFisme.
Ces derniers ont d’abord installé 20 SDF, puis, à présent, ils sont 60 personnes à loger au campement.
Les journaux évoquent parmi eux un Tchétchène qui parle sept langues, cuisine sur place ses repas, comme la majorité des campeurs, et dit apprécier l’infrastructure, et goûte d’y jouer au ping-pong. Un autre exemple cité parmi les 60 occupants, est un Valaisan qui a arrêté de travailler car il « n’en avait plus envie ». Les journalistes n’évoquent jamais la présence de trafiquants africains parmi les occupants du « 43m2 », même s'ils sont probablement bien plus nombreux que les Valaisans qui ne veulent plus travailler ou les Tchétchènes qui parlent sept langues…
Les journaux romands, comme il n’y avait actuellement pas d'autre ZAD à se mettre sous la dent, se sont rués, sans nuance, sur l’affaire des « 43m2 ». Notons que sans la propagande de gauche, nos journalistes se verraient contraints de publier des pages blanches chaque jour.
Le directeur de l’école, Alessandro Pelizzari, est déchiré, son école n'est pas adaptée à cela, bien qu’il ait déjà mis à la disposition des SDF sa cour, des locaux pour une permanence médicale et des douches pour les nouveaux habitants. Ses élèves sont déjà drillés à chaque heure d’enseignement en faveur des causes de la Gauche. La HETSL vient même de créer un Observatoire de la précarité, alors comment ne pas offrir le jardin à ces saintes causes ?
Il faut donc renforcer encore et encore les dispositifs pour accueillir les SDF, les 250 places d’hébergement d’urgence ne suffiraient pas. Et jamais rien ne suffira car l'utopie de ces cinglés fonctionne comme une pompe aspirante à parasites. Lors de la distribution de nourriture post-covid, le nombre des bénéficiaires n'a cessé d'augmenter, non pas uniquement parce qu'il y avait davantage de nécessiteux, comme le croient nos bobos, mais parce que, pour bien des gens, tout ce qui est gratos est bon à prendre.
Concernant la pénurie de structures « d’urgence » pour SDF : Lausanne vient d’inaugurer un immense complexe hôtelier, avec cuisine, restaurant pour SDF, où les SDF ont leur studio (voir l'image ci-dessus); la ville avait déjà mis à la disposition des SDF l’ancienne Auberge de jeunesse sous-gare.
Le CHUV dispose d'un service ad hoc pour « population vulnérable », avec spécialisations. En plus, à leur disposition, coiffure, pédicure, soupe populaire, points d'eau, ramassage des restes des boulangeries pour les leur distribuer, distribution de vêtements remis en état et lavés, et autres joyeusetés que l’armada des « sociaux » met à disposition des "marginaux".
Tout cela est en développement exponentiel depuis quarante ans, et coûte les yeux de la tête, sans oublier les professeurs qui enseignent les doctrines de l'État-providence, qui font leur carrière et leur recherche dans le vaste domaine de "l'assistanat scientifique", ainsi que les spécialistes du social qui y travaillent à tous les niveaux, tous créateurs non pas de richesses mais d’appauvrissement et d’endettement pour les générations à venir.
Notre civilisation court à sa perte; avec la guerre en Ukraine, le train sans frein a quitté la dernière ligne droite avant de dévaler la pente.
Nous sommes devant un choix: se lever et faire le nécessaire pour éradiquer par tous les moyens le marxisme sous toutes ses formes, ou en crever.
Carla Montet
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” … la ville de Lausanne, ville à quatre milliards (4’000 millions) de dettes, gouvernée par la Gauche sans partage depuis des décennies .”
4’000 millions de dettes pour env. 140’0000 habitants dont les 2/3 ne paient PAS d’impôts !!
Cette ville devrait être sous tutelle depuis des lustres !
Le décor est planté, les acteurs sont en place, le rideau se lève ….
”La préoccupation principale de ses dirigeants (de la ville de Lausanne) est d’être un exemple mondial pour ses objectifs climatique et une ville sanctuaire pour les migrants”
La Suisse représente en gros un millième (1/1’000) de la population mondiale. Si par magie, toutes les émissions de CO2 seraient supprimées, cela correspondrait à un pet dans l’eau, donc absolument négligeable. C’est pourtant ce qui est exigé de taxis 300-400 véhicules qui doivent passer à l’électricité décarbonée … 120g CO2/kWh ce n’est PAS de l’énergie décarbone !
”Cette ville gangrénée par la gauche (Lausanne) est probablement la ville au MONDE qui dépense le plus d’argent de ses contribuables pour les clandestins”
Merci à la péréquation financière qui oblige toutes les communes du canton de Vaud à passer à la caisse !
”Les institutions sociales sont exsangues”
C’est une situation ”normale” puisque l’appel d’air provoqué par ces inconscient ne peut que tourner à la catastrophe financière !
”les spécialistes du social qui y travaillent à tous les niveaux, tous créateurs non pas de richesses mais d’appauvrissement et d’endettement pour les générations à venir.”
Pour que le système fonctionne il faut créer de la richesse et la richesse ne vient pas du néant, il faut bosser et se lever tôt pour pouvoir nourrir sa famille !!
Aujourd’hui il suffit de taper à la porte du social et surtout ne RIEN faire de sa journée … glander un peu, beaucoup ….
Les chômeurs subissent les aléas de l’économie. Les structures misent en place devraient répondre aux fluctuations à venir.