Franz-Olivier Giesbert est indigné par les vraies-fausses confessions du meurtrier Bertrand Cantat. Tout ça pour vendre son album ! Les bornes sont dépassées.
"Indécence, ignominie, on ne trouve pas les mots. La dignité aurait imposé le silence mais, apparemment, Bertrand Cantat ne l'a pas retrouvée après son crime de 2003. Depuis qu'il a battu Marie Trintignant à mort (dix-neuf coups, dont quatre au visage, selon les médecins légistes), il geint à longueur de temps. Il faudrait qu'on le plaigne et il y en a pour tomber dans le panneau. Ce n'est pas là une histoire de pardon ou de rédemption, non, c'est l'histoire d'un assassin narcissique, as de l'auto-apitoiement, qui a toujours été dans le camp du bien et qui continue à s'aimer, sous le regard énamouré de ses fans.
[...] Nous n'irons pas jusqu'à dire qu'il vaut mieux faire partie de la gauche alternative quand on a massacré sa femme, mais force est de constater que Bertrand Cantat bénéficie d'une incroyable mansuétude. C'est normal. Il a la carte, comme on dit. La carte des bien-pensants. La carte de ceux à qui il faudrait toujours tout pardonner, même l'indécente instrumentalisation de cette tragédie."
C’est un crimes passionnel et non intentionnel les gens savent pas faire la différence. ,,,…,..,et cela peut arriver à tous le monde il a payer il a le droit maintenant de exercer son métier bertrand jectaime le futur est devant toi