Suède : la Commission d’éthique veut faire poursuivre une professeure pour ses statistiques ethniques sur les viols

Une professeure suédoise accusée d'avoir conduit une nouvelle recherche illégale sur les immigrants

La médecin et professeure Kristina Sundquist, de l'université de Lund, est soupçonnée de nouveaux cas de recherche illégale sur les immigrants. C'est ce qui ressort de documents que Samnytt a pu consulter.

Une des allégations concerne une étude sur les viols commis à l'intérieur des maisons ou à l'extérieuri, publiée l'année dernière. L'étude montre, entre autres, que les immigrés ont commis la majorité des viols, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur, entre 2009 et 2015. La surreprésentation des immigrés est en outre plus importante pour les viols commis à l’extérieur.

Le but premier de la chercheuse n'était pas de rechercher l'origine ethnique des violeurs. L'étude fait intervenir au contraire un grand nombre de variables, telles que le niveau d'éducation, les antécédents criminels, la toxicomanie, etc. Elle examine les différences et les ressemblances  entre les violeurs qui agissent à l'intérieur et ceux qui commettent leur crime en plein air. Cette publication rappelle l'étude précédente pour laquelle Kristina Sundquist avait déjà été notifiée d'une suspicion d'illégalité.

La Commission d'appel pour le contrôle éthique estime que la récente étude sur le viol est également "contraire à l'éthique" et que Kristina Sundquist n'avait pas de permis d'éthique pour cette étude. Par conséquent, elle souhaite que Kristina Sundquist, en sa qualité de professeure responsable, soit poursuivie.

Les démarches pour cela étaient auparavant menées par la juge Ann-Christine Lindeblad, mais depuis que Lindeblad s'est fait prendre pour vol à l'étalage (!), elle a été contrainte de quitter la Commission.

La nouvelle demande de poursuite porte donc la signature de sa remplaçante, Carina Gunnarsson. Mme Gunnarsson était auparavant directrice générale de l'Institut de médiation, mais elle dû quitter son poste après que le Médiateur lui ait reproché d'être partisane dans un conflit du travail.

La Commission d'appel pour le contrôle éthique demande que Kristina Sundquist soit poursuivie aussi pour cinq autres études qui, selon elle, ont été menées illégalement. Quatre de ces études portent sur des maladies et des syndromes tels que l'ostéoporose, les calculs rénaux, les troubles de l'attention et le cancer du sein chez les immigrants.

La cinquième étude porte sur les responsables de la violence meurtrière en Suède. Il en ressort que 43 % des violences mortelles en Suède entre 2000 et 2015 ont été commises par des immigrés.

Sourcer : Samnytt via Jihad Watch

Résumé Albert Coroz

Un commentaire

  1. Posté par André le

    A quand des études similaires en Suisse?
    Qui a peur de voir de voir la réalité exposée publiquement?

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