Robert Spencer sur l’alliance entre la gauche et l’islam

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Vidéo : Robert Spencer au Week-end pour la Restauration, au sujet de l’alliance entre la gauche et l'islam

(vidéo en anglais 21:12 + texte) - lien vers la vidéo rumble

14 novembre 2021

Merci beaucoup, Mike, pour cette généreuse introduction. C'est vrai, je dois avouer que je suis un extrémiste violent, c'est officiel maintenant. Et pourtant, au cours de toutes ces années, dans des dizaines de milliers de messages sur Jihad Watch, dans des milliers d'articles, dans 23 livres, je n'ai jamais appelé, approuvé ni préconisé la moindre action violente.

Et quand nous avons demandé à des avocats d’écrire au Forum mondial Internet pour la lutte contre le terrorisme, dont Mike a parlé, pour dire: "Ce sont des accusations absurdes, vous devez vous rétracter", ils ont répondu : "Pas du tout. Regardez sur Jihad Watch, vous verrez ‘Des musulmans tuent 6 personnes’, ‘Les djihadistes égorgent’…". Ben oui, c'est parce que nous rapportons les activités du djihad. D'accord, l'idée du Forum n'était pas que nous approuvions cette violence, mais que le simple fait d'en parler est une violence en soi, car ils disent que cela déshumanise les musulmans.

Peut-être, mais ce n'est pas moi qui les déshumanise, ce sont les djihadistes qui le font. Mais leur idée, c'est que parler de ces choses va conduire à des violences de la part de la droite. Car c'est un thème de plus en plus commun à la gauche que lorsque les conservateurs disent quelque chose qui diffère du narratif de la lkkgauche, c'est de la violence: les mots conservateurs égalent la violence. En même temps, la véritable violence des groupes de gauche comme les Antifa et Black Lives Matter n'est pas de la violence, c'est de l'agitation patriotique par les enfants spirituels de ceux qui ont fait le débarquement en Normandie, et c'est sérieusement ce qui est dit sur les Antifa.

Donc l'agenda est très clair. L'idée ultime est de stigmatiser, de marginaliser, de réduire au silence et de criminaliser tout discours qui s'écarte de leur programme. Et ne vous méprenez pas, ça ne va pas s'arrêter à moi. S'ils peuvent me traiter d'extrémiste violent, votre tour viendra aussi, jusqu'à ce que les seules voix qui puissent être entendues sur la place publique soient celles de la gauche. Le paradoxe, c'est que c’est arrivé à un moment où je me disais de plus en plus que cela faisait 25 ans que j'aboyais contre le mauvais arbre. […] Cela fait 25 ans maintenant que j'alerte sur la menace du djihad. Et maintenant, il s'avère que la gauche et les ennemis intérieurs sont une menace encore bien plus grande et plus imminente. […]

Mais en fait, tout va de pair et on sait depuis longtemps que les djihadistes n'auraient jamais pu avancer aussi loin s'ils n'avaient pas reçu l'aide et la coopération de la gauche aux États-Unis et en Europe occidentale. Et ce n'est pas un hasard. La gauche, vous le savez, est maintenant embarquée dans un sinistre programme totalitaire. C'est parfaitement clair.

Quand Merrick Garland, le procureur général des États-Unis, envoie le FBI dans les réunions des commissions scolaires soi-disant parce qu’elles sont menacés, alors qu'en fait, il n'y a pas eu une seule menace contre elles, c'est juste que les gens sont en désaccord avec la théorie critique de la race et les [trans] et tout cet agenda qu'ils imposent dans les écoles publiques, et les parents sont en colère et à juste titre. Ils vont aux réunions des commissions scolaires parce qu'ils sont en colère et maintenant ils sont des terroristes intérieurs.

C'est la même chose avec l'affaire du 6 janvier. Nous avons vu les vidéos maintenant: c'est la police du Capitole qui a ouvert les portes du bâtiment. Ils ont invité ces gens, ils se sont promenés en prenant des photos et maintenant ce sont des terroristes nationaux. Et ils ont été mis à l'isolement pendant des mois. C'est un scandale national, mais l'agenda est très clair. Ils veulent faire du soutien à l'ancien président et de l'opposition au programme du nouveau gouvernement un délit pénal. C'est de cela qu'il s'agit.

Maintenant, imaginez que vous êtes vous-même un autoritaire mondialiste, internationaliste et socialiste, comme les gens qui dirigent le pays en ce moment; et vous regardez le monde en vous disant que ce que voulez faire, c'est maximiser les bénéfices pour notre propre petit cercle d'oligarques, contrôler entièrement le discours public, éliminer toute dissidence de la société. Dès lors, dans le domaine de la religion, où trouver une religion qui se prête à l'autoritarisme, n'a pas de tradition démocratique et décourage la mise en question et la dissidence? De quelle religion s'agit-il?

Et il me semble que ce n'est pas un hasard. […] Le 11 septembre a été la meilleure chose qui soit arrivée au djihadisme mondial, car ensuite les groupes de défense de l'islam, qui étaient déjà bien implantés et influents aux États-Unis et en Europe occidentale, ont pu promouvoir le récit selon lequel le grand problème était l'islamophobie.

George W. Bush l'a dit le 17 septembre 2001; 6 jours après le 11 septembre. Il est allé dans une mosquée de Washington D.C., il s’est tenu aux côtés de Nihad Awad, du Conseil sur les relations américano-islamiques (CAIR), lié au Hamas, et [Abdul Rahman al-Amoudi], du Conseil musulman américain (AMC), qui purge actuellement une peine de 23 ans de prison pour avoir financé Al-Qaïida. Et il a dit "L'islam, c’est la paix". Non seulement ça, mais en plus il s'est longuement étendu sur le prétendu fait que des musulmans innocents ont été victimes [d’actes islamophobes] aux États-Unis dans les six jours qui ont suivi le 11 septembre.

Il a affirmé, sans la moindre preuve - et cela s'est ensuite révélé faux - que des femmes en hijab ont été harcelées, qu'on leur arrachait leur hijab et que des personnes innocentes recevaient des menaces. Rien de tout cela n'était vrai, mais l'essentiel de son discours ce jour-là a consisté à dire que nous devions veiller à être gentils avec les musulmans et comprendre que c’étaient au fond eux les vraies victimes des événements du 11 septembre.

C'est devenu une politique publique américaine: l'islamophobie est un problème si important, la haine et la peur irrationnelles de musulmans innocents est un problème tellement grave que nous devons veiller à ce que les musulmans soient représentés au gouvernement. Nous devons veiller à ce que nos efforts de lutte contre le terrorisme ne débouchent pas sur l'islamophobie – ce qui revient à dire que nous ne pouvons pas lutter contre le terrorisme, parce qu’il ne faut pas s'attaquet aux racines idéologiques du problème, car cela offense les musulmans, puisque tout cela est ancré dans la religion. Et nous ne pouvons pas mener d'efforts antiterroristes qui confrontent réellement les groupes influents déjà bien ancrés dans la structure du pouvoir à Washington. Ainsi, pendant toutes ces années, le pays s’est concentré sur la lutte contre l'islamophobie.

En 2011, en fait, l'administration Obama a éliminé toute mention de l'islam et du djihad dans les efforts de lutte antiterroriste. Et il a mis en place un programme appelé CVE, Countering Violent Extremism. […] Mais qui sont les extrémistes violents? Une fois que vous avez supprimé toute mention de l'islam et du djihad dans le contre-terrorisme, vous devez bien trouver des extrémistes violents. […] Alors qui sont-ils ? Eh bien c'est nous.

Et donc vous avez les élites autoritaires mondialistes socialistes internationalistes qui promeuvent l'idée de l'islam en Occident parce que l'islam… Mahomet est censé avoir dit: "Obéissez à votre chef même si c'est un Éthiopien avec une tête comme un raisin sec." Oui, c'est une vraie citation. Et l’aspect raciste mis à part, l'idée est qu'il faut faire tout ce que le dirigeant veut, même si c'est absurde au point d'avoir un Éthiopien comme dirigeant. Et le Coran, sourate 5, verset 101, dit : "Ne posez pas de questions": poser des questions a conduit certains à perdre leur foi. Donc vous ne posez pas de question, vous allez juste de l'avant, vous acceptez tout.

Pas besoin d'une religion parfaite, si vous êtes un dirigeant autoritaire qui veut éliminer la dissidence politique et la criminaliser. C'est juste celle que vous voulez encourager. Et qu'ont-ils fait aux États-Unis ? La construction de mosquées ? La population musulmane est montée en flèche aux États-Unis depuis 2001. Et toute remise en question de l'entreprise de migration massive et tout examen minutieux des efforts de lutte antiterrorisre sont stigmatisés comme islamophobes. Tout se combine donc parfaitement. Vous avez une augmentation massive des musulmans aux États-Unis et, bien sûr, ils veulent déstabiliser et affaiblir la société américaine et, en fin de compte, provoquer sa chute, afin qu'un État autoritaire puisse être institué ; et puis ils ont une population de gens à qui on a appris à être dociles et à accepter ce que les dirigeants veulent quoi qu'il arrive.

Il n’y a jamais eu de problèmes de la part des musulmans contre l’Union soviétique dans toutes ces républiques soviétiques, le Kazakhstan, le Tadjikistan, le Kirghizstan. Ils n'avaient aucun problème à accepter le leadership autoritaire. Et une de ces personnes, qui est née au Kazakhstan, a étudié à Moscou et a écrit sa thèse sur la théorie économique de Karl Marx, a maintenant été nominée par Joe Biden pour le poste de Contrôleuse de la monnai, chargé de réguler le système bancaire aux États-Unis. Et cette personne, Saule Omarova, a dit… elle est sur une vidéo disant qu'ils veulent travailler à éliminer les comptes bancaires privés: et tous les comptes bancaires privés seront fermés et toute la monnaie sera contrôlée par la Fed. Et alors vous recevrez juste l'argent auquel ils pensent que vous avez droit et pas plus. Eh bien, c'est évidemment comme ça que fonctionne un système marxiste. Et elle va travailler à l'OCC. Elle a été nominée, et vu l'état du parti Républicain, elle a de bonnes chances d'être confirmée. [Ndt. En fait, sa nomination a été retirée à sa demande le 7 décembre 2021. Le poste est maintenant occupé par Michael J. Hsu.]

Il y a aussi les migrants afghans, les réfugiés. On nous a dit: nous devons prendre soin de ces réfugiés afghans qui nous ont aidés. Ils étaient nos interprètes et ils ont aidé l'armée américaine pendant que nous étions en Afghanistan. D'accord. Donc 124'000 Afghans viennent aux États-Unis; ils sont déjà là ou ils sont en route. Et encore, 124'000, c'est le chiffre qu'ils ont admis.

Parlons un peu d'eux. Juste avant de quitter l'Afghanistan, nous avons abandonné la base aérienne de Bagram. Le désastre qu'a été le retrait d'Afghanistan aurait pu être évité si nous avions gardé la base aérienne, et si nous y avions rassemblé toutes les personnes que nous devions faire sortir, pendant que les militaires étaient encore là en force, et si nous les avions fait sortir d’abord, puis fait sortir les militaires. Je ne suis pas un militaire, je peux le comprendre. Ce n'est pas sorcier.

Mais nous avons abandonné la base aérienne de Bagram, et il y avait là une prison pleine de gars de l’État islamique et d'Al-Qaïda. Et donc les talibans sont arrivés peu après et ils ont ouvert les portes de la prison. Puis peu de temps après, il y avait de longues files d'attente à l'aéroport de Kaboul, où les gens essayaient de sortir du pays, de monter dans les avions américains. Et qui pensez-vous est monté dans les avions américains? Vous allez me dire: eh bien, les interprètes et les gens que nous connaissions. Eh bien non: en fait, Alejandro Mayorkas, le secrétaire du ministère de la Sécurité intérieure, a admis que la plupart des interprètes et des demandeurs de visa d'immigrant spécial ne sont pas montés dans ces avions. Et pendant ce temps, il y avait une grande ruée pour monter dans les avions.

Alors imaginez que vous êtes de l’ÉI ou d’Al-Qaïda, que vous êtes impitoyable, violent, fort et que vous avez été entraîné comme terroriste: ne sera-t-il pas facile pour vous de vous retrouver en tête de file et de monter dans les avions ? Et si vous avez des doutes, considérez ceci. Il n'y a pas longtemps, le congressiste Darrell Issa s'est rendu à la base aérienne d'Al Udeid, au Qatar, parce qu'il y a un camp [Sethlia] juste à côté, où un grand nombre de réfugiés sont contrôlés avant d'être amenés aux États-Unis. Et ils n'ont pas voulu le laisser entrer dans le camp. Que se passe-t-il donc là-bas, qu'ils ne veulent pas qu'il voie ?

Ensuite, au cours de ses discussions avec les responsables militaires de la base d'Al Udeid, ceux-ci lui ont dit que 12'000 Afghans avaient déjà été amenés aux États-Unis depuis cet endroit, sans avoir aucune pièce d'identité. Donc, vous avez l'administration de Biden qui nous dit que ces personnes ont toutes été contrôlées, qu’il n’y a pas de quoi s’inquiéter. Et en même temps, ils ne connaissent pas leur identité. Comment voulez-vous contrôler quelqu'un dont vous ne savez même pas qui il est ? L'idée est qu'ils les contrôlent d’après des listes de membres connus de groupes terroristes djihadistes, mais ces personnes n'ont aucune pièce d'identité. En plus, il y a eu une explosion du marché des faux papiers d'identité en Afghanistan vers la fin. Donc nous n'avons aucune idée de qui sont ces gens et néanmoins ils sont amenés ici.

Et une fois arrivés aux États-Unis, ils ont quitté les bases. À Fort McCoy, dans le Wisconsin, 700 Afghans sont déjà partis. Ils s'en vont et les responsables militaires disent qu'ils ne peuvent rien y faire, que ce n'est pas illégal. On ne peut pas les retenir, ce ne sont pas des prisonniers. Donc ils sont partis, personne ne sait où ils sont. Et il est très probable que certains d'entre eux soient des djihadistes.

Pensez-vous que les gens de Biden soient si stupides qu'ils n'ont rien vu venir et ont laissé faire? Peut-être. Mais je crois plutôt qu'ils voulaient que cela arrive, car ce qu'ils veulent faire, c'est déstabiliser la société américaine. Les attentats djihadistes contribuent à ce but, car ils terrorisent la population et ensuite la population terrorisée demande au gouvernement de la protéger. Et le gouvernement répondra alors : "Bien sûr, nous vous protégerons, mais pour cela vous devrez renoncer à certaines de vos libertés civiles." Et nous revoilà au programme de la gauche.

Et donc ils ont fait venir tous ces réfugiés afghans ici. Ils leur donnent… je vois des histoires étonnantes… À Kansas City, ils obtiennent des appartements entièrement meublés ; à Dallas, ces appartements entièrement meublés ont en plus des réfrigérateurs remplis. Ils ont tout compris. Et pourtant, certaines de ces personnes, c'est pratiquement certain, sont des terroristes du djihad. Vous pouvez me dire: ces Afghans ne sont pas tous des talibans. C'est vrai, certains sont de l’ÉI.

Quoi qu'il en soit, ces gens viennent d'une société qui est un foyer d'activité djihadiste depuis des décennies. D'une société où les femmes sont des inférieures, où les femmes qui ne sont pas voilées sont considérées comme des postituées, où battre les femmes désobéissantes est considéré comme acceptable. Des réfugiés afghans ont déjà été arrêtés pour maltraitance d'enfants, pour abus sexuels sur des enfants, pour violences conjugales. Ce qu'aucun des articles à ce sujet n'a relevé, et c'est très regrettable, c'est que très probablement aucun de ces hommes qui ont été arrêtés n'avait la moindre conscience de faire quelque chose de mal, car ce qu'ils ont fait est tout à fait acceptable dans la culture et la société afghanes, et tout cela est basé sur l'islam.

L'islam enseigne - Coran, sourate 33 verset 59 - qu'une femme doit se voiler, afin de ne pas être importunée. Cela sous-entend que si vous n'êtes pas voilée, vous êtes en quelque sorte un gibier autorisé. Et c'est ainsi que les migrants musulmans se comportent en Europe depuis des années maintenant, et que ces types se comportent ici. Pour eux, le prophète Mahomet avec son épouse-enfant est l'exemple pour toute conduite humaine. Donc le gars vient ici et il voit une fillette qui lui plaît, il ne pense pas qu'il y ait du mal à ça. C'est ce qui se passe en Afghanistan. Il va donc y avoir une énorme perturbation culturelle et sociétale due à ces réfugiés.

Et tout cela – c’est ce que je voulais vous expliquer aujourd’hui – fait partie du plan global de la gauche pour déstabiliser et affaiblir la société américaine, afin qu'ils puissent réaliser l'agenda autoritaire qu'ils ont en tête. J’arrive au bout du temps qui m’est imparti, mais je peux simplement dire que les deux derniers intervenants ont parlé avec beaucoup de pertinence de la nécessité pour nous tous de devenir activistes ou d'intensifier notre action. Il n'est pas encore trop tard pour sauver la république, mais tout dépend de nous. Et nous devons tous agir, sans attendre que d'autres le fassent. Merci beaucoup.

Source: https://www.jihadwatch.org/2021/12/video-robert-spencer-at-restoration-weekend-on-the-leftist-islamic-alliance

Traduction libre Albert Coroz

 

Un commentaire

  1. Posté par pierre frankenhauser le

    Les coupeurs de langues (les gauchistes) protègent les coupeurs de têtes (les islamistes). Pour les gauchiasses, le terrorisme islamiste n’est qu’une réponse à “l’impérialisme occidental” ou exprime la révolte des victimes – qui seraient uniquement musulmanes – de la “mondialisation capitaliste” .

Et vous, qu'en pensez vous ?

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