7 octobre 2021, par
Au mois de septembre de cette année, ce que les médias appellent les tensions communautaires se manifestaient une fois de plus de la manière la plus brutale : maire agressé, bagarres des Kurdes contre les Africains, intervention des joyeux drilles de la LDNA (Ligue de défense noire africaine). Après les rixes entre Tchéchènes et Maghrébins, nos compatriotes ont pu apprécier les incomparables atouts de la diversité et de l’ensauvagement progressif de leur pays.
La crise sanitaire masque l’augmentation durable de la délinquance et en particulier les atteintes aux personnes
En 2020, c’est-à-dire l’année la plus récente pour le calcul des chiffres de l’insécurité, le nombre d’homicides reste relativement stable : 863 victimes contre 880 en 2019. Le nombre de coups et blessures sur les personnes n’augmente que très légèrement (+1%), pour 260 000 actes de violences commis, mais fait suite à une longue période de croissance soutenue en 2019 (+8%), 2018 (+8%) et 2017 (+4%). Dans les ménages, un quart seulement des victimes de violences physiques exercées par une personne extérieure ont, selon l’enquête CVS (Cadre de vie et sécurité), déposé plainte dans un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie. Si 85% des victimes de violences intrafamiliales sont des femmes, les deux tiers des blessures volontaires enregistrées en dehors du cadre familial sont commises sur des hommes.
Le nombre de violences sexuelles enregistrées en 2020 se monte à 55 000, un chiffre qui poursuit sa hausse (+3%), à peine freinée par la crise sanitaire et sans commune mesure avec celle des années 2019 (+12%) et 2018 (+19%). Le nombre de viols grimpe de 11% atteignant 24 800, une progression d’autant plus inquiétante qu’elle semble incoercible : + 13% en 2017, + 18% en 2018, + 19% en 2019... A noter que seule une victime de violences sexuelles sur six et 39 % des victimes de viols déposent plainte.
Les escroqueries augmentent très légèrement en 2020 (+1%) après une hausse très marquée en 2019 (+ 11%). Sur la période 2016-2018, seul un quart des ménages victimes d’escroquerie a déposé plainte.
Du fait de la crise sanitaire, un certain nombre d’indicateurs sont en très net recul en 2020 : les vols sans violence contre des personnes (-24 %), les cambriolages de logements (-20 %), les vols violents sans arme (-19 %), les vols d’accessoires sur véhicules (-18 %), les vols dans les véhicules (-17 %), les vols de véhicules (-13 %), les destructions et dégradations volontaires (-13 %) et les vols avec armes (-8 %).
Toutefois, comme l’expose le tableau suivant, il n’est guère que les vols attenant aux véhicules et les vols violents avec ou sans armes qui enregistrent une baisse notable ces trois dernières années :
La baisse globale pendant les deux épisodes de confinement de la population est particulièrement drastique pour les vols sans violence contre des personnes (-59 %) et les cambriolages de logements (-57 %). Dans le détail, elle est moins prononcée pour les violences sexuelles (-26 %), les escroqueries et abus de confiance (-22 %) et pour les coups et blessures volontaires sur personnes de 15 ans ou plus (-19 %).
L’impossibilité matérielle de commettre des crimes et délits pendant un confinement a donc artificiellement fait diminuer les chiffres d’une partie de la délinquance, baisse conjoncturelle qui masque l’augmentation durable de celle-ci au sein de la société française.
La surreprésentation des étrangers originaires d’Afrique dans les auteurs de faits de délinquance
En ce qui concerne les faits d’escroquerie d’abord, les étrangers en provenance d’Afrique mis en cause représentent 7% du total (dont 7% de mineurs), soit plus du double de leur proportion au sein de la population française.
En 2020, 12 900 personnes ont été interpellées par les forces de police pour des vols d’accessoires dans des véhicules, dont 26 % d’étrangers originaires de pays d’Afrique et 6% d’un autre pays européen. Les Africains sont donc 8 fois plus représentés dans ce type de délinquance et les étrangers européens deux fois (3 % de la population résidant en France possédant une nationalité d’un autre pays européen).
Pour les cambriolages, sur les 17 400 tentatives dénombrées, 23% sont le fait de personnes originaires d’un pays d’Afrique et 8% d’un pays européen ; une fois encore ceux-ci sont respectivement sept fois et deux fois et demi plus représentés dans ce type de délits.
Cet inventaire ne serait pas complet sans l’évocation des vols sans violence contre les personnes et des vols violents sans armes. Dans le premier cas, sur les 48 100 personnes mises en cause, les Africains arrivent toujours en tête et sont 7 fois plus représentés que la moyenne, contre plus de deux fois pour les étrangers européens (respectivement 22 et 7%). Dans le second cas, cette surreprésentation grimpe à 11 fois pour les Africains qui sont responsables de 33% des vols violents sans armes.
Étant donné l’absence de statistiques ethniques, l’observateur devra se contenter d’une étude peu fine des auteurs de crimes et délits par nationalité. Étude qui laisse pantois au regard des si fréquentes déclarations lénifiantes des autorités, justice, ministère de l’Intérieur, ainsi que des médias. Il y a quelques années encore, des sociologues osaient affirmer que l’insécurité n’existait pas …
Le côte-à-côte deviendra le face-à-face !!
Cette phrase n’est pas de moi mais d’un Ministre !
On s’approche du scénario catastrophe énoncé par feu Guillaume Faye dans son livre “Guerre civile raciale”.