Albert Coroz: Avec de grands moyens, la Gay Pride internationale a organisé un défilé dans une petite ville de Hongrie, Pécs, de 142'873 habitants.
Samedi passé, durant 8 heures, les manifestants ont bloqué les rues commerçantes. Un sondage préalable auprès des habitants avait montré que 65% étaient opposé à cette manifestation. Les commerçants n'ont pas pu travailler ce jour, l'accès pour les clients et les habitants était très difficile.
Les commerçants ont été priés à poser un autocollant "LGBT friendly", comme s'il y avait un quelconque problème dans cette ville pour servir les non-hétéros. Et cela a marché chez plusieurs.
Toute l'organisation LGBT hongroise est infiltrée et financée par les lobbys occidentaux. Dans un discours, les organisateurs ont annoncé qu'à l'avenir, il n'y aura pas une seule petite ville en Hongrie sans défilé LGBT. Les Hongrois devront faire face à des jours, des semaines, des mois LGBT. Et toute l'année électorale de 2022 va être une année de LGBT-Pride.
La loi hongroise, qui protège les enfants contre la propagande LGBT était violemment contestée par les manifestants.
Le but de tout ce cirque agressif est, dans un premier temps le renversement du gouvernement Orban, et plus généralement, la destruction du modèle familial traditionnel, dernier bastion de notre civilisation. C'est dans ce but que la jeunesse issue de la civilisation chrétienne est instrumentalisée, via la propagande de genres.
Inutile de dire que les homosexuels sont plus tolérés en Occident, en Hongrie, que dans n’importe quelle partie du globe, et de tous les temps.
La promotion de tout ce délire LGBT engendre de nouvelles pathologies chez des personnes fragiles, ce qui semble convenir aux progressistes, car une personne qui hystérise son identité, et vit dans une réalité parallèle est vulnérable, manipulable à merci.
Mais comment faire comprendre à ces personnes vulnérables et manipulées, qu'elles ne sont ni des originaux, ni des minorités héroïques résistants à l'oppression, mais des misérables pions, de la pitoyable "chair à canon" d'une guerre d'un nouveau genre.
Les jeunes interviewés répètent les mantras débiles de la propagande LGBT internationale, sans en comprendre l'enjeu civilisationnel, comme cela a aussi été le cas chez nous avec le "Mariage pour tous". Désormais, ces minorités, au nom de la tolérance, de l'égalité, revendiquent que leurs différences deviennent la norme.
Les interviews montrent des manifestants de Pécs plutôt insultants, haineux, envers les journalistes de la Droite, les accusations d'intolérance, de "fascisme", de "phobe" fusent contre tous ceux qui pensent différemment qu'eux.
Parmi les participants à cette manifestation se trouvent aussi des Suédois, des Américains, des Allemands, etc., venus défiler expressément dans cette petite bourgade, en apportant le matériel pour créer une ambiance festive, avec des centaines de drapeaux arc-en-ciel, des drapeaux Antifa, pacifiste ... et aussi celui de l’Union Européenne.
Un défilé de jeunes au cerveau lavé par la même propagande que chez nous et qui sont désormais majoritaire chez nous.
En Hongrie la jeunesse est encore moins stupide, mais jusqu'à quand?
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vidéo 2 en hongrois
https://www.youtube.com/watch?v=eWGfOZAPNzk
Jour, semaine, mois, année de la Pride?
26 sept. 2021
The Fair Right - Chaîne tv hongroise
Nous sommes fiers d'annoncer que la Hongrie rattrape l'Occident progressiste !
La Pride de la capitale ne suffit plus, la fine fleur des LGBTQ a également défilé à Pécs.
Gábor Megadja, rédacteur en chef de @Kontra, et Ábel @Bódi, qui ont étudié les images de la manifestation antigouvernementale déguisée en carnaval sexuel, ont été choqués de voir que le groupe arc-en-ciel ne faisait pas preuve de la tolérance qu'ils attendaient eux-mêmes à l'égard des journalistes qui les "provoquaient" par des questions.
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Vidéo en hongrois:
Dans la vidéo ci-dessus, la jeune femme interviewée au début se déclare comme un homme pansexuel.
Plus loin, le jeune homme déguisé en femme, et qui se prend pour une femme, explique qu'il s'habille en jupe sans problème, même au travail, et que personne ne l'embête en Hongrie, tout en se plaignant de l'intolérance des Hongrois envers les transgenres! Son amie obèse, qui vient le rejoindre en fin d'interview, se dit femme seulement biologiquement, bisexuelle et asexuelle, et porte un médaillon sataniste.
De nos jours, tout cela ne choque plus personne, mais si ce reportage avait été diffusé il y a seulement quarante ans, tout le monde l'aurait trouvé surréaliste, aurait douté de son authenticité.
John Cleese, Eric Idle, Monty Python : La vie de Brian (1979):
Stan: Je veux avoir des bébés.
Reg: Tu veux avoir des bébés ?!?!
Stan: C'est le droit de tout Homme d'avoir des enfants s'il le désire.
Reg: Mais ... tu ne peux pas avoir de bébés !
Stan: Ne m'opprime pas !
Reg: Je ne t'opprime pas, Stan. Tu n'as pas d'utérus ! Où est-ce que le fœtus va-t-il se loger ? Tu vas le garder dans une boîte ?
Les membres du «Front populaire de Judée" sont assis dans l'amphithéâtre. Stan vient d'annoncer qu'il veut être une femme et souhaite désormais être appelé "Loretta", et en expliquant pourquoi.
les gens sont trop gras !