Avec le départ de David Hiler, la chute de Michèle Künzler et les lourdes pertes au Grand Conseil, tous les espoirs gouvernementaux des Verts reposent sur Antonio Hodgers. Il s’exprime sur les difficultés de son parti, leurs causes et leurs conséquences. Il trouve aussi que le canton n’a pas les moyens de financer la politique de sécurité prônée par Pierre Maudet.
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Encore un Pierrot-la-Lune qu’à rien foutu et qui pique à la dernière le programme des “ultras honnis”. Ces réactions continuellement après-coup montrent bien la récup de ces partis (tiens ça le fait aussi av. 1 minuscule) qui oeuvrent soi-disant pr le bien de l’humanité -dont tt le monde ne fait pas partie, quoi qu’ils en disent.
C’est très mignon cette empathie, aussi soudaine qu’inattendue, de l’arrogant Hodgers pour contrebalancer la royale déculottée des verts.