L'invitée fil rouge: Pamela Ohene Nyako
Historienne, afro-féministe et fondatrice de la plateforme littéraire Afrolitt dédiée à la littérature noire, Pamela Ohene Nyako est assistante-doctorante à lʹUniversité de Genève.
Entre expérience chamanique, goût pour la cuisine, reconnexion à la nature, spiritualité, expression par le dessin, passion pour le hip-hop et désir dʹécriture, notre invitée a bien des choses à nous révéler. Par Philippe Girard.
Autre émission sur le sujet : Le "racisme anti-Blancs", ça existe vraiment?
Le lien vers l'émission : https://www.rts.ch/info/monde/12208738-podcast-le-racisme-antiblancs-ca-existe-vraiment.html
"Pour le moment, dans les société occidentales, le "racisme anti-Blancs", n'existe pas...
Nous dit la même "afro-féministe" Pamela Ohene Nyako.
Ndlr. Mais voyons, ça n'existe pas, c'est totalement impossible, pour ce discours diversitaire, diviseur et culpabilisateur, et, comme comme aux USA, il permet maintenant de faire carrière à l'Université dans de nombreux pays.
Encore un sujet politiquement correct bon pour les journalistes de gauche et que les médias se plaisent à mettre en scène et à répéter à souhait sous les angles les plus divers.
Mais à quand une émission sur les études sérieuses et de référence qui montrent que le racisme anti-Blancs est bien une réalité, même de plus en plus présente, encouragé et attisé par des groupements militants extrémistes? Cela n'est pas le cas seulement en Afrique du Sud et aux USA.
La rédaction, 6.08.2021
Le racisme anti -blanc existe malheureusement Chère Madame et je trouve cela très triste ,et le pire est de le nier !!!
Cela équivaut à dire que dans les sociétés africaines, le racisme anti-noir n’existe pas, que les japonais ne sont pas racistes envers les japonais, les arabes envers les arabes, etc. Mais cette assistante-doctorante doit considérer la logique occidentale de nature raciste…
Inversion typique de l’idéologie des communaités afro-indigénistes-identitaires-victimaires! Cette jeune dame n’a fait que tenir des propos racisant le Suisse blanc! Son discours brodé sur un tout-ménage communautaire indigéniste, culpabilise d’office les cultures occcidentales séculaires blanches-chrétiennes.
Le comble dans la posture de cette jeune aux parents de cultures mixtes, et son listing d’exemples en soutien de ses revendications communaitaire-identitaire-afro-indigéniste victimaire:
d’une, elle vient s’affirmer “Suissesse à part entière” car née de mère Suisse (qui a vécu au Ghana où elle a connu son père) et a toujours vécu en Suisse; or elle a “découvert être victime de racisme anti-blanc des Suisses au quotidien” car métisse – “ce que les Suisses sont incapables de comprendre, car blancs”,
et dans la foulée, la dame explique avoir voulu le passeport du pays de son père et obtenu la nationalité Ghanéenne “pour profiter de la double-nationalité” en Afrique.
La logique des identitaires surfant sur le victimaire des minorités suit sa propre stratégie: “Papa, maman ne m’aime pas! Faut la tuer!” (ou vice-versa pour le mâle, évidemment).
La TSR se paye des audiances bon marché en surfant sur les besoins identitaires de minorités, aujourd’hui sur la mode indigéniste venue d’Amérique du sud, en passant par les gauchistes, politiciens “insoumis” et autres universitaires Français
migrés en surnombre vs le % de Suisses employés, ces opportunistes avides d’un salaire CH, envahisseurs dans nos unis comme à la TSR, et nos cantons.
Et là, je désigne une invasion salariale étrangère dominante qui supplante et détruit nos cultures locales et nationales – on est loin du racisme anti-blanc des Suisses que cette jeune universitaire cherche à débusquer, pour stigmatiser.