Roucas: « On pardonne à Bertrand Cantat, pas à moi ! »

Dans une interview vidéo accordée au site web du groupe de presse Nice-Matin, l’humoriste Jean Roucas réaffirme son soutien au Front National et Marine Le Pen. Il se dit victime du boycott d’une « gauche caviar », qui pardonne plus « facilement à Cantat qu’à [lui] ».

"Ce qui m'a choqué et qui me choque encore, c'est qu'on m'interdise de travailler, parce que j'ai affiché mes sympathies politiques", nous a-t-il confié au cours d'une interview, en présence de l'avocat et député FN Gilbert Collard.

Faisant ensuite référence à Bertrand Cantat "qui vient de sortir un album et va probablement refaire une tournée", Jean Roucas confesse s’être aperçu, "avec effroi, que la gauche caviar qui tient les rênes du métier du spectacle pardonne plus facilement à un type qui a massacré sa femme à coups de poings qu'à moi qui ai eu tort de dire mes sympathies."

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Et si Bertrand Cantat avait nié la Shoah ?*

Un commentaire

  1. Posté par Le pragmatique le

    Mais c’est pas le siècle de la multiculturalité et de la diversité ?
    La gauche aurait-elle introduit un principe d’imparité ? J’invite J Roucas a saisir le cour des droits de l’homme à la sous-Kommandantur de Strasbourg. C’est devenu aussi courant que les gardes à vue et mises en examen.

    Mais allo quoi

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