Une troisième jeune femme assise à leurs côtés les a ensuite imitées.
Leurs cris ont retenti pendant une vingtaine de secondes avant qu'on ne les sorte du salon bleu. À l'extérieur du salon, dans le corridor, elles ont continué de crier pendant que plusieurs agents essayaient de leur faire enfiler un veston et de les maîtriser.
Vers 14h30, la page Facebook des Femens a été mise à jour. On a écrit ce message sur le mur : «Crucifix datant de la grande noirceur, souvenir douloureux, spécialement pour les femmes. Ce renouvellement du pacte entre l'Église et l'État n'est en rien un patrimoine à honorer. Non à un gouvernement qui accepte la présence religieuse en son sein! Oui à la laïcité de l'État!»
On trouve sur la page Facebook des photos des trois jeunes femmes vues à l'Assemblée nationale. On voit entre autres une photo d'une Femen devant la statue de Maurice Duplessis. Elle brandit une pancarte sur laquelle on peut lire : «JE SUIS MORT, MAIS MON CRUCIFIX ME REMPLACE!».
Suite (avec vidéo, sensibles s'abstenir, la qualité baisse dangereusement à mesure qu'on s'éloigne de l'Ukraine...)
Allô!
Qu’on croit ou non au ”crucifix” il n’en demeure pas moins que la VULGARITÉ n’a sa place à NULLE PART! On dirait une bande de ”primitives exaltées”……personnellement, je ne trouve RIEN de positif à la vulgarité…sauf que ça attire la ”vulgarité”….pas ”crédibles” ces ”ascendantes” du singe!
Miche