Nous avons déjà parlé de cette agression ici.
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Cenator : Nous imaginons le désarroi de ces victimes qui n’osent pas porter plainte ou se ravisent au dernier moment parce qu’elles n’osent pas donner les caractéristiques de la racaille :
« dans sa plainte, la jeune femme expliquait avoir été agressée par des hommes afin de lancer les policiers sur une fausse piste, par crainte des représailles. »
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Voici une histoire véridique qui date de 15 ans. Un gymnasien blond, qui avait beaucoup de succès auprès des filles, a poliment décliné les avances d’une fille bosniaque.
Plus tard, lorsqu’il s’est retrouvé dans une boîte de nuit, il a été repéré par la Bosniaque qu’il avait éconduite auparavant. Accompagnée de son chevalier servant issu de sa communauté, elle lui a demandé de casser la figure au blond, sous prétexte qu’il lui avait « mal parlé » auparavant. Requête exécutée, 3 semaines d’arrêt de maladie, traumatismes crânien et oculaire, points de sutures, dents cassées.
La famille a ensuite été mise à rude épreuve, car le fils, soutenu dans son choix par sa mère, n’a pas voulu porter plainte, par peur de représailles, tandis que le père estimait qu’il devait demander justice coûte que coûte.
Jusqu’à cette agression, cette famille fonctionnait parfaitement bien. Les parents travaillaient, il n’y avait pas de mésentente familiale, pas de problème psychique apparent.
Aucune plainte ne sera déposée, mais la famille explosera. La mère et le fils étaient persuadés que le père n’aimait pas son fils puisqu’il lui demandait de s’exposer aux représailles, et le père s’est senti discrédité dans la manière dont il voulait élever son fils.
Le père a perdu son travail, il s’est renfermé, plus de communication, séparation, divorce.
Les deux enfants, quinze ans plus tard, malgré leurs efforts pour s’en sortir durant toutes ces années, ont encore besoin de l’aide de l’AI. Les rentes sont octroyées pour une grave psychose chronique pour l’un et une accumulation de symptômes névrotiques pour l’autre.
Combien de personnes – de culture chrétienne - n’osent pas porter plainte par peur de représailles dans un tel contexte civilisationnel ? Comment se fait-il qu’en Suisse, dans les faits divers, nous n’entendons pour ainsi dire jamais de certaines affaires de viol ? Pensez-vous que la Suisse, aussi densément enrichie que ses voisins, n’a pas des problèmes similaires ?
Ne faudrait-il pas rendre obligatoire la publication de l’origine et de la photo des agresseurs ?
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Dans la journée du 27 janvier, une jeune Biterroise a été violemment agressée et humiliée par trois autres jeunes femmes issues de la communauté gitane. En partie filmée, cette longue agression a fait rapidement l'objet d'une enquête policière qui a permis la détention provisoire des trois auteurs. Mais les contours des exactions commises, lors de la séquestration notamment, restent à déterminer.
Les différentes séquences vidéo ont rapidement fait le tour des réseaux sociaux. L’extrême violence de l’humiliation, infligée par trois autres jeunes femmes dans les rues de Béziers, à une autre jeune femme, en plein après-midi, avait de quoi interloquer. Tant pour les insultes et coups qui étaient infligés que pour le geste des trois agresseurs qui, non contentes de commettre de tels actes, se sont plu à filmer la scène à l’aide d’un téléphone portable.
« On est en train de passer d’un sentiment d’impunité à un sentiment de fierté », déplore un responsable local du syndicat de police Alliance, qui suit de près l’affaire.
Ce « sentiment de fierté » aura au moins permis au grand public, puis à la police, de prendre connaissance de l’affaire dès le weekend du 30 et 31 janvier, soit quelques jours seulement après les faits, qui remontent en réalité au 27 janvier dernier.
Ce jour-là, vers 17h30, une jeune Biterroise de 18 ans sort à peine de la maison de quartier Martin-Luther-King, où elle travaille dans le cadre de sa mission de service civique, et s’apprête à rejoindre une station de bus située à plusieurs centaines de mètres, place de Gaulle, lorsqu’elle croise la route de trois jeunes femmes gitanes âgées de 13, 15 et 19 ans, qui s’en prennent à elle sans raison apparente, et même « de façon purement gratuite » comme l’indique le procureur de la République du tribunal judiciaire de Béziers.
C’est lors de cette agression que l’une des jeunes femmes sort un téléphone portable et filme plusieurs séquences… qui se retrouveront plus tard sur les réseaux sociaux et qui ne sont en réalité qu’une fraction du calvaire subi par la jeune femme, puisque cette agression débutée dans la rue et qui s’achèvera chez l’une des agresseurs aura duré environ une heure.
La terrible agression d'une jeune fille de 18 ans à #Béziers est effroyable : coups, insultes et humiliations.
Cette agression n'est que l'arbre qui cache la forêt. Notre pays devient, un peu plus chaque jour, le terrain de jeu des barbares ! RÉTABLIR l'ordre et la paix, VITE ! pic.twitter.com/4PEwpGhHQk
— Jean-Lin Lacapelle (@jllacapelle) February 3, 2021
« Dès que j’ai pris connaissance de ces images sidérantes, j’ai immédiatement contacté la commissaire pour lui faire part de ces actes », explique Robert Ménard, le maire de Béziers, qui a eu vent de l’affaire comme tout le monde, durant le weekend. C’est grâce à ce coup de téléphone salutaire du maire que la police découvre la vidéo et fait alors le lien entre une plainte déposée quelques jours plus tôt par la même jeune femme et les faits constatés dans la vidéo. A cette nuance près que dans sa plainte, la jeune femme expliquait avoir été agressée par des hommes afin de lancer les policiers sur une fausse piste, par crainte des représailles.
Autre découverte de la police : le téléphone qui a permis de filmer la scène avait en réalité été dérobé la veille, « avec violence », selon le procureur, à une jeune femme de 14 ans.
Autant de raisons qui ont poussé la police à agir rapidement afin d’interpeller les trois jeunes femmes identifiables dans la vidéo. Le lundi 2 février, deux des trois agresseurs étaient arrêtées, tandis que la troisième, cachée pendant deux jours par ses proches, selon les informations de France Bleu, était arrêtée deux jours plus tard, le mercredi matin.
« Je tiens à saluer l'excellent travail de la police de Béziers qui a pu très rapidement faire avancer l'enquête », insiste Robert Ménard, qui suit aussi l’affaire de près et attend beaucoup du travail d’investigation
Suite réservée aux abonnés: https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/societe/cette-agression-ultra-violente-et-filmee-qui-emeut-les-habitants-de-beziers-128229
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voir aussi: Béziers : Gwendoline, 18 ans, agressée en pleine rue, puis séquestrée. 3 suspectes en détention. “Les faits sont bien plus graves que vous ne pouvez l’imaginer” (MàJ)
https://www.fdesouche.com/2021/02/04/beziers-une-jeune-fille-agressee-video/
Concernant votre anecdote, j’ai été en contact avec le père d’une fille violée dans un train régional, par une racaille protégée par la gauche, un demandeur d’asile. La fille a été traumatisée, elle a dû prendre une tri thérapie préventive que l’assurance n’a pas remboursé, les parents ont dû prendre un ruineux avocat pendant que la racaille s’en faisait payer 2 par le contribuable. La fille a eu besoin d’un psychiatre, l’assurance refusant de payer tant qu’un verdict n’était pas rendu. La famille honnête mais modeste s’est retrouvée acculée à la ruine. Il faut savoir que ce genre d’affaire c’est 8 ans de procédures judiciaires avec tous les recours que le baveux n’oubliera pas de lancer vu que c’est le contribuable qui paie. Moi j’expliquerai les choses à ma fille, je proposerai de régler cela extrêmement rapidement. Celui qui s’en prend à mes gosses je suis prêt à payer le prix qu’il faut à la « justice ». Parce que payer 50’000 balles d’avocat, se prendre 8 ans de merde sur la tronche pour aboutir à une condamnation de 3 ans de la racaille – sorti après 12/18 mois – non merci.
En décembre 2000, j’ai été agressée dans un mini car postal par un cap-verdien habitant officiellement Lausanne mais vivant à Vouvry pour les besoins de son activité professionnelle essentielle: vente de drogue. Il m’a frappée à l’oreille droite avec la laisse de son pitt bull, ce qui m’a rendue presque sourde de ce côté puisque c’est l’oreille interne qui a été touchée. Le chauffeur du car, un grand balaise, n’a “rien entendu” et tous les policiers que j’ai appelés m’ont dissuadée de porter plainte, sous prétexte que suite à un procès, la richesse pour la Suisse, très connue, ne me “louperait pas”. Cette ordure était le meilleur ami d’un autre cap-verdien tué à Vevey par un Serbe. Rien que du beau monde!!!