Evénements du Capitole. Le plus formidable exercice de censure jamais vu dans l’Histoire

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Evénements du Capitole. Le plus formidable exercice de censure jamais vu dans l’Histoire

 

Nous sommes entré dans une phase de l’Histoire où il n’a jamais été plus difficile au citoyen de se faire sa propre opinion. Les moyens à disposition des « versions officielles » semblent ne jamais avoir été aussi puissants. Quel écœurement après avoir vu les Merkel, Macron, Bachelet se ranger unanimement derrière les condamnations de ce qui s’est passé au Capitole, à croire que l’on assistait à la prise de parole d’un gouvernement mondial.

Non, ce qui s’est passé ce mercredi au Capitole n’était pas une insurrection, c’était une simple manifestation de colère, tout aussi impressionnante et dramatique qu’elle fut. Nous n’avons pas vu des chars se stationner autour des bâtiments officiels ni un appareil gouvernemental de transition prêt à prendre les commandes. Ce que l’on a vu c’est l’exact inverse, un coup d’Etat du parti Démocrate qui a pris le pouvoir en forçant le droit, par abus du droit, et auquel la partie du peuple dépossédée est venue montrer sa colère.

Dans nos sociétés occidentales avancées les coups d’Etat ne s’exercent plus en abusant de la force physique mais en abusant de la force juridique, et les Suisses en savent quelque chose avec l’inapplication de leur vote sur la migration. Ce sont les manipulations dans la sphère juridique et institutionnelle qui tiennent lieu d’abus de pouvoir, la force étant dissimulée sous les apparences du droit.

Et à l’abus du droit dans les institutions vient s’y ajouter son nécessaire corollaire qui est l’abus de l’information du public.

Avec l’affaire du Capitole nous venons d’assister à l’un des plus formidables exercices de censure de l’Histoire où la censure ne s’est pas réalisée par une interdiction de la parole mais par un ensevelissement de la vérité sous un flot de paroles fausses et officielles qui l’ont littéralement submergée jusqu’à la faire disparaître. Ce n’est plus une censure de la vérité par interdiction de la parole, c’est l’étouffement de la vérité au moyen d’une presse monopolistique qui a inondé les esprits des citoyens avec une narration inventée de toute pièce suivi d’une attaque en règle discréditant tous ceux qui oseraient le contester.

Face à un tel phénomène il ne reste que deux choses au citoyen, sa conscience critique et la vérité.

Et la vérité justement n’est pas celle que décrit la presse.

Tout le monde aura remarqué le glissement sémantique qui s’est opéré dans la narration à la faveur de cette journée du 6 janvier. Après la certification des votes par le Congrès, avec des députés Républicains qui ont retourné leurs vestes, le discours de la presse a enfoncé le clou de son récit mensonger sur la légalité du scrutin, l’air de dire « vous voyez, on vous l’avait bien dit, tout s’est déroulé de manière parfaitement légale, il n’y a jamais eu de fraudes ». Allant même jusqu’à raconter que le peuple du Capitole avait été berné par le président Trump qui aurait inventé de toute pièces de prétendues fraudes qui n’auraient en réalité jamais existé. Qu’il avait littéralement conduit ses supporters à vivre dans une fiction. Le sentiment de nausée nous empêche ici d’en dire plus.

Nous avons sous les yeux toute une réalité qui est réinventée par la narration de la presse.

Le problème de la vérité dans cette affaire n’est pas celui qu’il y ait eu ou non des bulletins illégaux, le problème c’est qu’on a refusé de le vérifier. C’est qu’on a tout fait pour l’empêcher.

N’importe quel citoyen à qui l’on présenterait le problème sous la forme casuistique de l’ancien droit romain le comprendrait. Tellus dit que Macrus a construit sur sa propriété, Macrus dit que c’est faux, que doit faire le juge ? Ici même un enfant est capable de comprendre que ce que doit faire le juge entre deux parties en désaccord c’est chercher la vérité, c’est-à-dire vérifier les faits, procéder à une vérification. Une vérification qui n’a pas été accordée à Trump et à ses supporters. Et alors seulement l’on peut poser la question de qui est vraiment coupable de ce qui s’est passé au Capitole.

Biden veut se présenter en sage et en rassembleur mais cet homme n’a aucune noblesse. Ce sont les gens de son parti qui à la faveur du COVID ont dans tous les Etats modifié illégalement les conditions du scrutin jusqu’à le rendre incertain. Si Biden Harris avaient eu la moindre noblesse, le moindre souci de protéger avant tout la démocratie et l’éthique alors ils auraient redemandé eux-mêmes que les bulletins contestés soient vérifiés.  Comme dans l’exemple ci-dessus n’importe quel propriétaire honnête et de bonne foi demanderait lui-même que soient vérifiées les limites de sa propriété. Pourquoi ne l’ont-ils pas fait ? Pourquoi tous leurs élus et tous leurs juges Démocrates ont tout fait pour s’y opposer ?

La question qui est au cœur du Capitole c’est celle-ci et pas une autre.

C’est la question de l’honnêteté et de la bonne foi et pas une autre. Si les vérifications demandées avaient eu lieu il n’y aurait jamais eu d’événement au Capitole. Personne ne serait mort.

Ceux qui sont responsables ce sont  ceux qui ont empêché ces vérifications. Et certainement pas ceux qui sont venus réclamer qu’on les respecte.

Ceux qui se déclarent choqués par ce qui s’est passé au Capitole et pas par ce qui s’est passé avant devraient avoir honte. Leur morale ne dépasse pas l’odeur de la fange.

Michel Piccand, 8 janvier 2021

 

 

P.S.

Les événements de cette élection devraient être spécialement retenus par les citoyens de notre pays. Ils ne sont pas sans ressemblances avec ce qui s’est passé et se passe encore en Suisse. Le mode opératoire y est identique, c’est celui de l’abus du droit par certains partis au pouvoir qui forcent la souveraineté du peuple, abus de droits ensuite dissimulés ou embellis par une presse qui manipule l’opinion publique.

Les Suisses doivent absolument en prendre conscience. Nous avons pour nous l’avantage de pouvoir modifier notre Constitution et ainsi s’impose désormais l’évidence – au vu de ce qui se passe dans le monde et dans notre pays – nous devons la renforcer.

Une Constitution plus forte doit être mise en place pour renforcer la protection de notre droit à la souveraineté, de notre droit à l’application de nos lois, de notre droit à ne pas être manipulé politiquement ni par des partis politiques, ni par la presse, ni par des juges. Le temps presse et il ne nous attend pas.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

9 commentaires

  1. Posté par Loïc le

    « Ce que l’on a vu c’est l’exact inverse, un coup d’Etat du parti Démocrate qui a pris le pouvoir en forçant le droit, par abus du droit »

    Bonjour, je suggère d’argumenter car sinon on pourrait prendre cela pour de l’abus de mauvaise foi.

    On dirait que rien ne vous va : soit les gens qui n’ont pas vos opinions abusent du droit, soit ils le respecte pas.

    Pour en revenir à l’assaut du capitole, différents éléments sont sortis depuis la parution de votre papier. Il s’avère qu’une partie des contestataires avaient des projets assez macabres. Mais comme ce sont les médias mainstream qui le disent, c’est sans doute une fake news n’est-ce pas ?

  2. Posté par aldo le

    Rictus alcoolicus chronicus

  3. Posté par Poilagratter le

    Qactus.fr….ça chauffe à Washington, à Rome ( vidéo : plus de 15 fourgons noirs Mercedes feux clignotants suivies de 6 voitures de Police et leur ” bison futé ” indique le centre ville..interdit….Vatican….) , black-out à la frontière du Québec, ã Berlin, au paskistan,….pelosi ….les preuves de sa Haute Trahison sur son portable….

  4. Posté par michel piccand le

    @ Rictus
    Je vous remercie infiniment pour votre commentaire et surtout de me lire, ce qui me permet d’apprécier toute l’utilité de mes efforts.
    Il est assez singulier qu’une “constitution forte” exprime pour vous une représentation totalitaire.
    Saviez-vous que ni le régime nazi ni le régime fasciste italien n’ont jamais eu de Constitution ? Tout simplement parce qu’un régime totalitaire n’en a pas besoin ! parce que ses lois dérivent directement de l’idéologie au pouvoir. Pour votre gouverne une constitution est l’exact inverse du totalitarisme puisqu’un de ses buts est d’arranger une entente et un équilibre entre des partis opposés. Je vous laisse donc mesurer la valeur de votre propos.
    Le comble pourrait-on dire, c’est que le renforcement de notre constitution a justement pour but de ne plus jamais voir dans notre pays ce qui s’est passé lorsque la gauche alliée au PLR a court-circuité notre constitution pour appliquer directement la loi selon leur idéologie commune proeuropéenne, ils ont comme dans un régime totalitaire imposés directement leur convictions politiques dans la loi en jetant la Constitution et la volonté générale à la poubelle. Si vous pensez alors que notre constitution n’a pas besoin d’être renforcée et que vous êtes dans le camp des démocrates il serait sans doute bon que vous méditiez alors sur vos perceptions très très “idéologiques” … !

  5. Posté par antoine le

    Rendez-vous compte de la ”chance” extraordinaire que nous avons eue :
    La création en DIRECTE de la République Bananière des États Désunis !
    Je ne pensais pas de mon vivant être le témoin de cette infamie …
    Honte aux juges et à la justice qui ne veut PAS ouvrir les yeux sur des faits RÉELS !

  6. Posté par Nicolas le

    Il faut espérer toujours davantage d’espaces hors censure.
    https://par.pw/download/

  7. Posté par Dominique le

    Tous les mondialistes et les gauchos que se soit Biden, Macron, Merkel, Sommaruga ou Berset… sont comme cul et chemise, qu’il s’agisse de faire la guerre à Trump, d’enlever la souveraineté au peuple suisse, de prendre le pouvoir, de s’ingérer dans une nation étrangère souveraine, de faire des fraudes électorales, d’acheter des votes, d’inappliquer un vote du peuple suisse, de réinventer la vérité à la Hitler-stalino-Mao ou même de combattre un virus.
    J’espère comme Monsieur Piccand que d’avanta ge de Suisses feront des parallèles entre tous ses abus de droit de la gauche et de ses complices mondialistes.

  8. Posté par François BLANC le

    Staline effaçait ses opposants des photos et les envoyait au Goulag ou en HP
    .Mme OBAMA exige de les faire disparaître des réseaux sociaux et Mme PELOSI fait un caprice pour obtenir un empeachement pour les 10 jours à venir
    Donc cela confirme ce que disait Kroutchev en 1936 “le premier des progressismes et le marxisme de Staline”
    Conclusions: remplacer facebook, twitter et youtube par VK et Odyssée, et les médias classiques par les médias alternatifs comme les Observateurs Suisses, Epoch Times, NTD…

  9. Posté par Rictus le

    “Une Constitution plus forte”, dites-vous. Du genre “ein Volk, ein Reich, ein Blocher” par exemple ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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