Immigration et déni et hypocrisie de la gauche élargie et de ses verts pastèques.
Dr. med. Dominique Schwander, retraité
Le Pacte mondial pour les Migrations de Marrakech de plus de 40 pages, concoctées par un suisse (!) et un mexicain, est un diktat officiel des immigrants tant légaux que clandestins que l’ONU persiste à mettre en place. Ce pacte a fait évoluer les mots utilisés par les médias soumis; pour les illégaux, les médias sont passés du terme clandestin et illégal au terme sans-papiers/undocumented et de sans-papiers au terme migrant. Ne tenant pas compte de l’avis des citoyens des pays concernés, ONU et UE recourent à tout pour faciliter les flux migratoires de n’importe qui. Le gouvernement Trump s’est retiré dès 2017 de l’élaboration de ce texte contraire à sa politique d’immigration qui elle, comme il se doit en démocratie, tient compte de l’avis de ses citoyens. Ce Pacte mondial pour des « migrations sûres, ordonnées et régulières », (https://undocs.org/fr/A/CONF.231/3) n’est pas seulement immigrationniste, il menace la démocratie en abolissant, comme l’avait exigé l’affreux Soros dès 2015, la liberté de s’exprimer librement sur les problèmes de l’immigration: « Les États signataires s’emploient à lutter contre les récits trompeurs qui génèrent une perception négative des migrants, et à priver de subventions ou d’aides matérielles tous les médias qui promeuvent des formes de discrimination à l’égard des migrants.» Copier-coller de Soros et de la Stratégie de l’Action Islamique Culturelle à l’extérieur du Monde islamique publiée par l'Organisation islamique pour l’Education, les Sciences et la Culture (ISESCO), ce pacte de l’ONU affirme que « les réfugiés et les migrants ont les mêmes droits de l’homme et libertés fondamentales universelles » et souligne, comme Soros, les « bénéfices globaux de la migration », (https://www.isesco.org.ma/fr/wp-content/uploads/sites/2/2015/05/Strat%C3%A9gieExtVFLR1.pdf).
Le Pacte pour les réfugiés est un autre pacte mondial adopté discrètement par l’Assemblée générale de l’ONU le 17 décembre 2018. L’objectif était « mieux accueillir réfugiés et migrants » aux frais et au mépris des citoyens des pays d’accueil et de toute préférence nationale.
Enjeux de l’UE pour 2020-2050? Une Europe toujours plus élargie, multiculturelle, multiethnique, multiraciale, peuplée, africanisée, musulmane ce qui signifie, quoiqu’affirment tant d’élus et de médias, la disparition de nos civilisations, culture gréco-romaine, valeurs judéo-chrétiennes, démocraties occidentales et souverainetés nationales. Une Europe du halal, multiraciale et islamisée, voilà le futur paradis que veulent les technocrates de Bruxelles pour nous qu’ils n’écoutent pas et qui sommes exploités par des impôts confiscatoires.
Une immigration trop nombreuse et ne s’intégrant pas pose problème. Au lieu de l’enrichissement multiculturel et économique promis, par les conflits, les divisions, l’inculture, les incivilités, la violence, le harcèlement sexuel, le viol, le chômage et la pollution qu’elle apporte, cette immigration dangereuse détruit l’identité nationale et les ressources nationales. Si on respecte la différence de l’autre, respectons aussi et surtout protégeons et cultivons la nôtre. L’intégration d’étrangers, pour être bénéfique et réussie, se doit d’être très peu nombreuse, soit homéopathique, très progressive, partagée, consensuelle et respectueuse des mœurs, des coutumes, de l’histoire, de la manière de vivre et des lois du pays qui accueille. Accueilli dans un pays, on n’exige pas, on se doit d’accepter la langue, les lois, les traditions, les moeurs et les valeurs de ce pays d’accueil. Dans le cas contraire, on part chercher un autre pays d’accueil ou on retourne mettre de l’ordre dans son pays d’origine. L’immigration doit aussi correspondre à un besoin économique du pays d’accueil et être choisie. Seule une immigration choisie ou une immigration de talents, comme formulée par les Chinois est acceptable pour un Etat-nation souverain. Migrer dans un Etat-nation souverain n’est pas un droit de l’homme. Le non-respect de ces quelques évidences, provoque xénophobie, racisme et rejet de l’autre; ce qui est devenu manifeste et observable dans tous les pays occidentaux qui ont accueilli, ces dernières années, de bien trop nombreux immigrants d’autres cultures. L’UE, sa Führerin Merkel en tête, a commis un suicide avec sa politique en matière d’immigration de masse. Mentant aux peuples tout comme la gauche américaine, l’UE a même fait des recommandations pour instaurer une discrimination positive, soit l’engagement prioritaire de non-blancs dans les médias en particulier télévisés, ce qui est une intolérable forme de racisme anti-blanc, lequel contribue à ce que les autochtones deviennent racistes et ne tolèrent plus. Parce qu’elle est incompatible avec nos lois, inchangeable et indérogeable, l’islam-idéologie ne pourra jamais être conforme à nos valeurs, fondements sociaux et lois. Le multiculturalisme et le multiracialisme doivent être remis en question; c’est aux immigrants, à l’islam et à eux seuls de s’adapter en s’intégrant afin d’être compatibles avec nos règles et nos lois. En UE, les médias persistent à désinformer en faisant croire aux citoyens-contribuables que l’africanisation et l’islamisation de notre patrie ne posent aucun problème alors qu’en Hongrie souveraine et préoccupée par son peuple, les ONG sont interdites de s’approcher à moins de huit kilomètres de la frontière et la loi du 20 juin 2018 permet au Ministre de l’intérieur d’interdire toute ONG active dans le domaine de l’immigration considérée comme un « risque à la sûreté nationale ». Cette loi permet aussi d’imposer une taxe de 25 % sur les dons venant de l’étranger destinés aux ONG qui soutiennent les « réfugiés » en Hongrie. Quel élu a encore le droit d’affirmer dans nos médias que dans 30 à 40 ans la Suisse tout comme la France ne sera pas un pays musulman mais un paradis multiculturel du vivre ensemble? Aucun étranger n’a le droit de s’ingérer dans notre pays souverain et de définir pour nous ce qu’est notre identité suisse. La tolérance, c’est facile pour la majorité de nos élus mais qu’ils fassent respecter nos règles et nos lois parait autrement plus difficile. Comment vivre heureux, en sécurité et en paix en Suisse si nos valeurs démocratiques sont bafouées chaque jour par des communautés minoritaires qui refusent de les respecter et s’activent à les changer, dont l’une est une fervente admiratrice de son messager modèle Mahomet, du contenu de son coran et de ses hadiths et qui n’hésite pas à tuer pour nous imposer sa loi et la manière de vivre de son ersatz de religion qu’est l’islam-idéologie? C’est un fait que tous les musulmans ne sont pas des terroristes ou de fervents djihadistes hard, mais il est certain que la quasi-totalité des terroristes actuels sont des musulmans.
Ceux qui ne me croient pas devraient lire le dernier livre de Jean-Yves Le Gallou: L’Invasion de l’Europe – Les chiffres du Grand Remplacement : la preuve par les faits. Edition Via Romana. 2020. (https://www.polemia.com/linvasion-de-leurope-les-chiffres-du-grand-remplacement-la-preuve-par-les-faits/?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=la_lettre_de_polemia&utm_term=2020-12-07)
Dédié aux panthères grises
sages de leur expérience.
Surpopulation mondiale, déni et hypocrisie de la gauche élargie et de ses verts pastèques
Dr. med. Dominique Schwander, retraité
La population mondiale a été multipliée par 10 en 250 ans. De 2000 à 2020, en moins d’une génération, la population mondiale a augmenté de plus d’un milliard. Le déni de cette surpopulation est une grave inconscience collective qui n’inquiète ni les organismes mondiaux, ni les idiots utiles, ni les écolos, ni tant d’élus. Pire, les économistes de gauche persistent à associer natalité et prospérité. Ils oublient la destruction de la nature et qu’il faudrait aussi avoir les capacités de créer des emplois en proportion. De plus, il y a en Europe, le continent avec la plus forte densité de population, trop d’étrangers dont nous n’avons pas besoin, ce qui augmente notre urbanisation, porte atteinte à nos infrastructures, nos transports, nous apporte le chômage, la délinquance, la violence, etc., sans oublier le déficit de nos régimes sociaux et de notre budget national, la promiscuité de plus en plus intolérable dans les villes et les transports publiques, le bétonnage, la destruction de la nature et la faim. 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde, soit 1 personne sur 9. En Afrique subsaharienne, championne de la natalité et du chômage, une personne sur quatre est sous-alimentée. Bien sûr, notre population mondiale de 8 milliards a moins faim que la population mondiale bien plus faible de jadis. Mais cela s’est fait au détriment de notre planète par une surproduction agricole mondiale à base de produits chimiques, de pesticides, d’herbicides, de cultures et d’élevages intensifs, de l’exploitation trop intensive de la pêche compromettant les ressources de la mer, de la pénurie d’eau potable manifeste déjà dans de nombreuses régions.
Démonstration est faite de la corrélation entre surpopulation, immigration, chômage, destruction de la nature et des ressources naturelles de notre planète. La surpopulation est à l’origine de beaucoup de nos problèmes et de nos calamités présents et futurs. Il apparaît de plus en plus clairement que la viabilité de notre civilisation et de la terre à long terme nécessite bien plus qu’une stabilisation urgente du nombre d’habitants. Elles ont besoin d’un processus de diminution drastique de la population mondiale couplée à une réduction considérable de notre consommation des ressources naturelles. Le seul espoir de l’humanité de survivre bien et en sécurité, est de ne pas continuer sa folle expansion démographique.
Le dividende démographique, tant adulé par les économistes de gauche et des oligarques mondialistes manipulateurs serait une accélération temporaire de la croissance économique et de la population qui résulterait d’une baisse rapide de la fécondité d’un pays, d’une pyramide des âges avec un grande proportion de jeunes adultes grâce à de nombreux immigrés pas au chômage et relativement peu d’enfants et de retraités. Comme tout schéma à la Ponzi, ce dividende démographique est un piège si l’on ne prend pas conscience qu’il ne peut être que très passager. Assurer le maintien d’un système de retraite sans capitalisation personnelle et une sécurité sociale en déficit financier année après année mais de qualité est une mission impossible. Nous sommes ici confrontés au fameux mécanisme de Ponzi, appliqué au système de retraite. Un tel système ne fonctionne que par une fuite en avant perpétuelle; pour assurer l’équilibre budgétaire on mise improprement sur le fait que toute génération de contribuables d’ordre N + 1 devrait être numériquement supérieure à la génération de retraités d’ordre N et avoir tous un travail bien rémunéré et pas de chômage, ce qui est illusoire surtout avec des immigrants en masse. Du reste, ce mythe de l’immigration en grand nombre pour payer nos retraites n’a jamais été démontré. Plus d’emplois correctement rémunérés et meilleure retraite grâce à une immigration en masse sont deux fausses affirmations de la gauche et d’oligarques mondialistes. L’accueil de nombreux migrants en grande majorité peu qualifiés, souvent même analphabètes, ne correspond à aucun besoin économique, surtout lorsque l’on prend acte de délocalisations de nos usines productrices vers l’Asie, la robotisation, l’accroissement du chômage, la baisse du pouvoir d’achat, la surpopulation et ses conséquences dans toutes les grandes villes et la destruction des ressources et la nature. Aucune étude n’a démontré un impact positif de l’immigration sur le financement des caisses de retraite. Il ne s’agit que d’affirmations sans aucun chiffre. Les économistes et les élus de gauche fervents des bénéfices économiques de l’immigration s’en tiennent à des supputations futures, à court terme évidemment, en ne tenant pas compte des coûts immédiats et futurs de l’immigration, qui sont eux très concrets et énormes. Les nombreux pays, africains, l’Inde, le Pakistan, etc, où la natalité est très et trop élevée n’ont qu’une alternative: soit ils ne font rien pour diminuer la natalité et l’avenir le plus sombre les attend sur le plan économique, écologique, nutritionnel et humain, soit ils choisissent une stricte politique de planification familiale et mettent rapidement en place des mesures contraignantes comme l’ont fait les Chinois.
Je suis convaincu que les politiques écologiques de la gauche élargie et de ses verts pastèques sont parfaitement vaines et coûteuses pour les contribuables. Ces politiques ne sont qu’un pansement sur une jambe de bois, tant qu’elles n’ont pas comme premier objectif le souci et la volonté de maîtriser d’urgence puis de réduire strictement la croissance démographique. Malgré des chiffres alarmants, aucune politique de limitation des naissances n’a été mises aux agendas des couteuses écolo-COP (Conférences des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques CCNUCC) tant adulées par leurs milliers de participants et les verts pastèques européens qui ont tant de peine à comprendre comment notre planète terre tourne en ellipse autour du soleil, tourne sur elle-même, se penche, etc. La surpopulation reste-t-elle un sujet trop sensible pour des gouvernants, trop soumis au judaïsme, au christianisme et surtout à l’islam-idéologie, qui tous persistent, contre tout bon sens, à encourager le natalisme?
Il n’y a de démocratie que si la liberté d’expression est réelle et si l’on respecte la diversité des opinions, ce que condamne le Pacte mondial pour les migrations de Marrakech de l’ONU. Sans diversité des idées et libre expression, c’est la démocrature puis le despotisme et la dictature, ce qui est le cas lorsque médias et élus sont dans le déni et ignorent les risques de la surpopulation et de l’immigration envahissantes.
Il est urgent de restaurer la résilience des écosystèmes, de maitriser l’urbanisation, les politiques agricoles, la pêche, la pollution, etc, et surtout la démographie humaine. Faisons l’effort d’une réduction de la population mondiale d’au moins un tiers des 9 à 10 milliards d’individus prévisibles pour la seconde moitié de ce XXI ème siècle à une population future plus raisonnable de moins de 6 milliards, dès le XXII ème siècle; ainsi seulement difficultés, problèmes et calamités actuels, tout particulièrement écologiques pourront être vraiment maîtrisés puis corrigés, cela sans saigner le contribuable.
Dédié aux panthères grises
sages de leur expérience.
C’est un excellent article. La surpopulation est un fléau qu’il convient d’éradiquer au plus vite pour que notre proche avenir ne soit pas à l’image du célèbre tableau “le radeau de la Méduse” de Gericault. Cela rejoint les mots de la love story “les corps indécents” : “Tôt ou tard, d’une manière ou d’une autre, l’Humanité sera confrontée au problème global de sa survie ” La surpopulation précipite les choses comme expliqué dans ce récit. La pandémie actuelle pourrait bien servir de signal d’alarme au moins, dans un premier temps, pour réveiller les consciences….
À Antoine : Ce que personne n’ose aborder, c’est tout simplement le fait que les huit milliards d’habitants actuels de notre planète sont presque tous devenus des grands consommateurs de d’aliments, de biens d’équipements, de mobilité et de télécommunication – au point que dans 25 ans… le pétrole et la pétrochime pourront tirer leur révérence. Vous n’êtes pas obligé de me croire, mais sans pétrochimie, adieu les gros tracteurs, avec engrais pétrochimiques, traitement phytosanitaires, supermarchés, avions, bagnoles à gogo, etc. Sans aucun doute, vaut-il mieux rêver, c’est tellement et infiniment plus agréable.
Merci M. Schwander pour cette démonstration que la surpopulation mondiale est la source de nos maux !
Toute la gauche politique (PS, Verts de gris, Verts pastèques, etc …) sont convaincus que leur dogme est LA référence et qu’ils sont le parti du Bien … !!
A mon humble avis, des forces titanesques supranationales sont en action pour NOUS museler et NOUS soumettre (du genre à nous mettre en cage sans barreau !)
M. s0r0s tirent des ficelles et arrose les ONG ou autres associations ”humanitaires” dans le but final de nous nuire, de nous anéantir.
Seule une pandémie mondiale ferait diminuer le nombre de Terriens de 9-10 milliards à 6 milliards !
Le coronavirus serait peut-être une première tentative pour tester les point faible de ce prototype de virus.
Qui vivra verra, les catastrophes à venir réduiront peut-être l’arrogance de la gent humaine …