« Ça m’a toujours choqué de rentrer dans un hypermarché et de voir un rayon de telle cuisine communautaire et de telle autre à côté. C’est comme ça que commence le communautarisme (...) Je comprends que la viande halal soit vendue dans des supermarchés [mais] pourquoi des rayons spécifiques ? » L’« avis personnel » exprimé par le ministre de l’Intérieur sur BFMTV le 20 octobre, a mis en émoi la grande distribution. Elle goûte peu d’être accusée par Gérald Darmanin de gagner de l’argent grâce au communautarisme et de manquer de patriotisme.
Pourquoi tant de virulence sur un marché aussi petit que celui des produits halal ? Le magazine spécialisé LSA l’estime, tous canaux de vente confondus, à 329 millions d’euros. En comparaison, le marché du bio, c’est 5,5 milliards. Mais le halal est en forte croissance : Nielsen estime que les ventes ont progressé de… 65 % en cinq ans. Des 4,6 % des foyers français qui consomment halal, la moitié ont des petits enfants. Il est légitime que la grande distribution ne les laisse pas de côté.
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Et là, pas un mot des écologistes canal officiel, autrement dit des “pastèques”, vert dehors rouge dedans. Ce qui choque profondément l’écologiste d’ultra-méga-droite que je suis. Ceci dit, s’intéresser à ceux qui contrôlent économiquement la filière halal en France peut aussi susciter des surprises pour le moins “choquantes”…
Halal est une méthode barbare, digne de cette “religion” qu’est l’islam. On égorge la bête sans l’étourdir et qui doit être conscient. Il n’y a que des musulmans dûment agréés qui ont le droit de le faire, après avoir orienté l’animal vers la Mecque et prononcé “Bismillah Rahim ouà Allah Akbar” . C’est dégoûtant, il y a du sang partout. Quant aux humains, on les égorge par derrière (pas sûr que ce soit halal, quoi que…)
Le halal c’est anti France !