L'étude commandée par la Commission sur la diversité de son personnel ouvre le débat au sein de l'UE.
" Non ". Bref, tranchant, cette réponse fut suivie d'un long silence, comme s'il n'y avait rien d'autre à ajouter. C’est ce que la commissaire à l’intérieur, la socio-démocrate suédoise Ylva Johansson, a déclaré le 10 septembre dernier, quand on lui a demandé si les minorités ethniques en avaient assez de place dans le personnel des institutions européennes. " Tous les citoyens européens doivent être représentés, nous devons être le reflet de la société", a-t-elle ajouté sous couvert d'autocritique après une longue pause.
Quelques jours après cette intervention, la Commission européenne a annoncé le 18 septembre qu'elle avait pris le taureau par les coins. Pour la première fois de son histoire, elle mène une enquête - facultative et anonyme - sur le profil ethnique de ses salariés. Des informations qui lui permettront de mettre en œuvre sa politique de recrutement et de fixer un objectif de représentation minimum.
A la recherche de solutions
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Bussy le 15 octobre 2020 à 18h03
Ce qui est marrant dans cette histoire , est que le “NON” vient d’une personne qui porte autour du cou le symbole de la misandrie ( féministe ultra qui déteste les hommes blancs).
il y a comme un os dans le potage.
J’ai regardé des photos des membres de la commission européenne, aucun noir, aucune femme voilée, que des blancs pure souche européenne !
Jusque-là, le métissage était pour le peuple, maintenant que ça se rapproche apparemment des élites, on va bien voir ce qui se passe…. je me marre déjà !