Cenator : Pendant que les bureaucrates hors sol de Bruxelles essayent tous les moyens possibles de soumettre la Hongrie à l'invasion migratoire, Orban réfléchit à l’avenir de l’Europe – où va l'Europe ?
La question la plus fondamentale que nous devrions nous poser, c’est : quelle sera la place de l’Occident, des USA, de l’Europe, dans un monde multipolaire ?
C’est une question primordiale qu’Orban étudie et analyse plusieurs heures par jour. Dans son interview hebdomadaire du 4 septembre 2020 « Bonjour la Hongrie, (dès 23 minutes) », Orban a cité des données chiffrées pour expliquer que l’Europe est en grande difficulté.
L’Europe n’est pas capable de dire où elle sera dans dix ans.
En 2012, en cherchant des plans et prévisions des eurocrates de Bruxelles, Orban a trouvé dans leurs tiroirs une recherche concluant que la migration est une chose positive, nécessaire et souhaitable pour l'Europe.
Il a également vu les prévisions de l’Union Européenne selon lesquelles elle devrait reculer de 15 à 17% dans l'économie mondiale d’ici 2050.
Il y a quinze ans, 81% des investissements de l'économie mondiale provenaient de l'Occident et 18% de l'Orient.
Quinze ans plus tard, c'est presque l'inverse, 40% des investissements dans le monde viennent de l’Ouest et 58% de l'Orient.
Orban constate qu’en 2020 déjà, nous avons atteint le niveau de recul qui était prévu pour 2050, et cela avant la pandémie.
Tout s’accélère et Orban est conscient que le redressement de l’Europe ne viendra pas de la petite Hongrie, mais de grands pays. La Grande-Bretagne a estimé le cas de l'UE désespérant au point de la quitter. La réponse devrait venir de la France ou de l’Allemagne. La seule chose que la Hongrie puisse faire, c’est de continuer à progresser, à se dépasser.
Mais tous les pays de l’Est sont en progression et dans dix ans, ce ne sera pas l’Allemagne qui sera à la première place en Europe mais la Pologne.
La Hongrie est le pays d'Europe qui détient la première place pour la croissance économique.
C’est aussi le seul pays de l'Est qui compte moins de citoyens qui partent pour l’étranger que d’autres qui reviennent.
Par ailleurs, la natalité et le nombre des mariages sont en augmentation, les divorces en baisse, et la presse est diversifiée au point qu'elle devrait s'imposer comme modèle à ce sujet si un comparatif honnête était établi.
Mais nous n'entendons jamais rien de positif sur ce pays, et ce week-end, l'heure est de nouveau à un Orban-bashing, prétextant le manque de la liberté des médias. Comme preuve ? Un journaliste de gauche se plaint dans une vidéo (voir notre article ci-dessous).
Mais pourquoi, soudainement, la RTS, Le Temps et d'autres "joyaux" subventionnés de la bien-pensance remettent-ils une couche anti-Orban en synchro ? Eh bien, Bruxelles n'arrive toujours pas à refiler des migrants à la Hongrie malgré tous les chantages et pressions déjà exercés.
Et si Bruxelles se plaint de la Hongrie, le Temps se dépêche de dénoncer un prétendu manque de liberté des médias. Une liberté qui serait en péril en Hongrie… alors que la Suisse romande ne dispose d’aucune TV, d’aucune radio, d’aucune presse qui ne soit pas de gauche.
Médias suisses, nous vous vomissons !
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Quelques analyses sur la situation des médias en Hongrie:
Situation de la presse en Hongrie : une impitoyable guerre de tranchées. Deuxième partie
Situation de la presse en Hongrie : une impitoyable guerre de tranchées. Troisième partie
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Menaces sur la liberté de la presse
Emprisonnements en série, montée de la haine, accusations de fake news: le métier de journaliste est de plus en plus risqué.
Une tendance qui s'est accentuée avec la pandémie.
Décryptage avec trois journalistes qui exercent à Hongkong, en Algérie et en Hongrie.
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La Hongrie menace le plan de relance de l’UE à propos de l’État de droit
La Hongrie a refusé de donner son accord final au plan de relance de 750 milliards d'euros prévu par l'Union européenne face à la crise sanitaire du coronavirus selon des sources diplomatiques.
La Hongrie estime qu'il n'y a pas de garanties sur un mécanisme rattaché concernant l'Etat de droit. Le premier ministre hongrois Viktor Orban est de longue date en conflit avec Bruxelles à propos des contrepoids démocratiques, l'exécutif européen accusant le dirigeant nationaliste de nuire à l'indépendance de la justice, de la presse et de l'enseignement.
L'accord historique conclu par les Vingt-Sept en juillet requiert toujours l'aval du Parlement européen, de même que celui de nombreux parlements à travers le bloc.
Règle de droit en question
Un accès aux fonds européens devrait aussi dépendre du respect des principes démocratiques, et Viktor Orban veut désormais s'assurer avant de donner l'accord de la Hongrie que cela ne va pas lui porter préjudice, ont dit les sources.
Le ministère hongrois de la justice a fait savoir hier que l'accord de juillet était un tout et "qu'aucun de ses éléments ne saurait en être découplé ou retiré avant d'être arrêté ou modifié séparément des autres". "Rien n'est convenu avant que tout soit convenu", a-t-il ajouté.
reuters/br
Parlons de la diversité et indépendance de la presse en Suisse romande !
”… alors que la Suisse romande ne dispose d’aucune TV, d’aucune radio, d’aucune presse qui ne soit pas de gauche.”
Les journaux subventionnés, les journaux ”gratuits”, etc … nous formatent et lobotomisent le cerveau !
ça penche tellement à gôche que c’est une catastrophe dans l’équilibre des partis et malsain pour notre Démocratie !
Viktor Orban a raison. Il faut soigneusement étudier les dispositions prises par les eurocrates, car ce sont des voyous totalitaires et antinationaux. Il est bon qu’un vrai chef d’État protège son pays contre les manigances des européâstres. Quant à la politique d’invasion migratoire de la bande à Merkel-Macron, elle doit être combattue fermement, idem tous les délires “progressistes”.
Bien faire et laisser braire: bravo Orban!
57 pays autrefois chrétiens multi-culturels sont devenus terre d’islam mono-culturels, les chrétiens y ont été tués, volés, anéantis. Et l’UE (Ummah Economique?) ne voit rien venir!