"Des gens comme ça devraient être castrés!»

Danièle* est la première victime de Fabrice A. La Française de 45 ans a vécu l’enfer en 1999. Et ces derniers jours, ses horribles souffrances sont remontées à la surface!

«Samedi, alors que je faisais des courses avec mon ami, j’ai reçu un coup de fil de la police qui m’a demandé de quitter mon domicile quelques jours car mon violeur était en cavale. Ça m’a mis un sacré coup.

D’autant que j’avais toujours gardé au fond de moi cette peur que ce tordu essaierait de me retrouver une fois sorti de prison.»

Incapable d'assurer votre protection, la police vous demande de bien vouloir fuir.

La jeune femme revient sur son calvaire:

"«J'ai senti que ma peur l'excitait.» Menottée, puis violée sous la menace d'un couteau dans une forêt, la jeune femme, qui craint pour sa vie, tente de dédramatiser les actes subis. Elle lu demande même de lui retrouver une boucle d'oreille. Malgré l'horreur des actes perpétrés, Fabrice A. s'exécute «comme un toutou», précise Danièle.

Avant de quitter sa victime, le violeur lui affirme à plusieurs reprises qu'elle ne sera jamais crue. Une sorte de prémonition? Lors de son premier procès, Fabrice A. n'écope que de dix-huit mois de prison avec sursis, avant que le procureur ne fasse appel."

Une bête fauve, excité par la peur de ses proies, mais un psychopathe dont la société ne doit pas désespérer au point de l'envoyer faire du poney en compagnie d'une jeune femme au profil type de ses victimes favorites.

Coïncidence, au moment des faits, cette première victime avait à peu près l'âge d'Adeline

Plus