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1. Ce qu’il faut faire c’est démantler les ONG qui transportent les migrants ainsi que les associations qui les aident en Europe. Leurs biens doivent être saisis et leurs membres arrêtés. Tant qu’ils opèrent en toute liberté, les migrants continueront à venir.

2. Si l’on cherche et l’on parvient à se faire le portrait de ceux qui gouvernent en compagnie de leurs collaborateurs le monde d’aujourd’hui, on peut comprendre ce qui nous arrive et ANTICIPER. Tant que l’on n’acceptera pas de voir la réalité, nous irons droit vers notre asservissement et probablement vers notre disparition.

   Beaucoup d’entre nous pensent que les migrants avaient l’intention de venir, que cette volonté était bien présente dans leur tête, quitte à ruiner leur famille.

   C’est oublier qu’il y avait des planificateurs qui se préparaient à créer des réseaux d’ONG pour convaincre les africains de venir. Tout en préparant les ONG européennes spécialisées dans l’accueil à accomplir leur travail de charité business. En cela SOROS fût le grand maître en la matière.

   Mais il était prévu de ne pas leur “mâcher” ou faciliter totalement la traversée, de façon à ce qu’ils vivent sur leur parcours “le martyre du randonneur égaré” et ensuite du voyageur qui navigue au péril de sa vie et qui peut “grâce à un hasard programmé” être sauvé des eaux par des bateaux très hospitaliers qui encore et comme par hasard sont équipés de tout ce qu’il faut médicalement pour la remise en forme, mais pas trop quand-même.

   Car il est important de faire croire à l’occident qu’on lui envoie “les plus déshérités de la terre”.
   Alors que la majorité d’entre eux ont versé des sommes folles aux passeurs.

   Cette crise de la migration ne suffisant pas pour convaincre l’occidental qu’elle est nécessaire, il était bon aussi de le mettre dans une situation “similaire”, de celui qui est abandonné par son état, livré à lui-même vivant un désarroi proche de celui d’un africain face à son tyran abuseur du peuple.

   Nous avons eu l’abuseur du peuple dans la personne de Mr Macron, qui a fait tout aussi bien dans ses réponses aux gilets jaunes que le faisait un tyran Africain.

   Nous avons vécu l’abandon de Mr Macron, face au coronavirus, gérant la situation comme l’aurait fait un tyran africain utilisant, mensonges, couvre-feu et autres stratégies . Notre couvre-feu permanent a été le confinement.

   Quand ce confinement sera terminé, la sortie sera douloureuse, car les gens inconscients seront nombreux à ne pas porter de masques, pendant que le confinement aura “produit” encore des porteurs sains. Une vague de contamination déferlera et l’abuseur du peuple recommandera à nouveau le confinement.

   LE SCENARIO FINAL sera de découvrir notre CHUTE économique et les millions de chômeurs que cela aura créé. Des émeutes commenceront à se mettre en place et la dictature de fer se transformera en dictature d’acier.

   Tant que nous ne comprendrons que ceux qui nous dirigent n’aiment ni le peuple, ni l’humain,, nous serons encore victimes de leurs plans. Quand on a eu aux manettes du FMI un “mangeur compulsif de chair féminine qui d’ailleurs a été effroyablement mis à terre par les siens en nous offrant le scénario de sa chute d’une brutalité inouie, une sorte de guillotine virtuelle, on est en droit en effet de penser que ce ne sont plus des êtres humains qui gouvernent cette planète..

   Les peuples n’ont pas d’autre choix que d’aller déposer plainte au Pénal International. A chaque peuple de trouver ses représentants et sa défense juridique.

3. Quand les services de renseignement ont averti nos services de renseignements du risque d’épidémie, en décembre seuls les gouvernants qui connaissent leurs voisins chinois les ont crus: Taiwan en tête. Même les Israéliens ne l’ont pas cru!

4. Espère que la Suisse ne suivra pas le mouvement, car voici ce qui se passe… (un excellent blog à visiter également)

   🔊 UN BLOG SANS CONCESSION – et vos commentaires sont les bienvenus dans celui-ci –
   par Jean-Dominique Michel, MSc athropologie médicale et expert en santé publique, GENÈVE

   🇨🇭 … Au fond, l’équation est plutôt simple:

   HONG KONG : 7,5 millions d’habitants, 4 morts.
   SUISSE : 8,5 millions d’habitants, 1’327 morts.

   On essaye de nous faire croire que nous avons fait tout juste et que si nous avions fait autre chose, les choses auraient été bien pires.

   Alors que les best practices en épidémiologie infectieuse recommandent exactement l’inverse de ce que nous avons fait (copiant en un peu moins grave les très mauvaises décisions sanitaires françaises).

   Je veux bien croire que ce qu’on nous dit est vrai. Mais cela vaut peut-être quand même la peine de se poser la question et d’y réfléchir.

   Nombreux sont je crois les citoyennes et les citoyens comme moi habités de sentiments compliqués face à la situation actuelle.

   La mauvaise foi et l’incohérence de certains discours officiels, la violence de certaines mesures, la destruction en cours des forces vives du pays (au premier chef les indépendants et les PME), les délires pseudoscientifiques d’une certaine médecine, l’autisme des responsables politiques couplé à la psychorigidité de leurs services mettent notre confiance mais aussi notre sens de la justice et de l’équité à rude épreuve.

   D’aucuns s’étonnent de mon activisme, ou encore m’adressent le reproche de devenir “acerbe et quelque peu prétentieux”. Ou se demandent quel combat personnel je livre. Je les remercie : rien n’est plus essentiel que de nous remettre en question et veiller à éviter certains travers.

   Pourtant, je me fais aussi l’impression d’un veilleur qui découvrant un départ de feu sonne l’alerte et qui se heurte à l’incompréhension pas toujours bienveillante des autres. “Pourquoi nous fatigue-t-il avec sa lubie de vouloir nous faire croire que la maison est en feu ?!” “Quelle intention cachée a-t-il derrière la tête pour inventer des incendies qui n’existent pas ?!”

   En fait, notre maison brûle depuis longtemps. Le philosophe Michel Serres, avec qui j’ai eu le privilège de m’entretenir avant sa mort (il avait un sens anthropologique de première classe), répétait avec conviction que ce que nous vivons n’est pas une crise mais un changement de monde.

   Nous avons construit bon an mal an un monde non dépourvu de certaines qualités, mais fondamentalement inique et crapuleux (…)

   http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/04/18/covid-de-la-musique-avant-toute-chose-305929.html