Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

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Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpitaux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100 000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

« Tous » ? Pas sûr, à voir ce qui remonte déjà des banlieues et de certains quartiers. Qui pense que le confinement va être respecté dans ces endroits ? Mercredi 18 mars en soirée, une fois n’est pas coutume, les médias officiels montraient des images de quartiers parisiens dont les populations ne respectent rien. Ce sont les mêmes que d’habitude : les territoires perdus de la République, où la sécession évoquée par François Hollande puis par l’ancien ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, le jour de sa démission, est déjà effective.

Quels quartiers ? La Goutte-d’Or, Château Rouge, Barbès à Paris. Une épicerie pillée à Trappes aussi. Les images de Paris montrent l’absence d’Européens blancs, la dominante de populations d’Afrique noire ou musulmane, sauf les policiers qui tentent de convaincre les gens de « rentrer chez eux ». Personne n’obtempère. Pourquoi ? Ces gens, quoi qu’en disent les idéologues, ne sont pas Français. Ils se fichent donc des directives de la République et sont en cela habitués depuis l’école où, jeunes, ils n’écoutaient pas les enseignants.

Le même jour, à Lyon, dans le quartier de la Guillotière, à 19 heures, une quarantaine de dealers « issus de la diversité » accomplissaient leur « devoir » : la vente de drogues. Dans la même ville, des vendeurs de masques volés ont été observés mardi et mercredi. Ce n’est que le début, ainsi que le montrent des images du syndicat Synergie-Officiers : deux voitures des forces de l’ordre interviennent dans un quartier, les « jeunes » refusent d’obtempérer en insultant les policiers qui n’arrivent pas à les convaincre. En somme, c’est à eux qu’est intimé l’ordre de « rentrer chez eux ». Les policiers ont ainsi été obligés de repartir, penauds.

Pendant ce temps, à Elbeuf, le même genre de population organisait mardi soir un barbecue géant impliquant une cinquantaine de personnes. Une de ces fêtes habituelles sur les toits de cités aux populations uniquement musulmanes et issues d’Afrique du Nord, ce qui est déjà illégal. La police est intervenue et la situation a dégénéré, avec des attaques au mortier. Il a fallu une heure de combats pour que la situation s’apaise, sans que les « jeunes » rentrent chez eux. La réalité : ces gens ne se voient pas comme Français et pensent que le virus ne les concerne pas. Nul doute que leurs malades se précipiteront cependant vers des hôpitaux dont le manque de moyens est aussi lié à leur mode de vie d’assistés. •

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5 commentaires

  1. Posté par Sertorius le

    ‘La police est intervenue et la situation a dégénéré, avec des attaques au mortier.’

    Aujourd’hui c’est au mortier mais, comme se dévelopent les choses dans les quartiers sensibles, demain ça sera un RPG qu’ils utiliserons contre la police.

  2. Posté par antoine le

    ” …les « jeunes » refusent d’obtempérer en insultant les policiers qui n’arrivent pas à les convaincre. En somme, c’est à eux qu’est intimé l’ordre de « rentrer chez eux ». Les policiers ont ainsi été obligés de repartir, penauds.”
    Une fois la loi martiale établie, il n’y aura plus que les armes à feu pour faire ENFIN respecter l’ordre et les lois en vigueur. D’ici là M. Micron aura demandé l’asile politique en Antarctique …
    ” … les merdias officiels (aux ordres) montraient des images de quartiers parisiens dont les populations ne respectent rien. Ce sont les mêmes que d’habitude : les territoires perdus de la République”, les quartiers perdus ou les ZUS – Zones Urbaines Sensibles !
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_urbaine_sensible
    ”ces gens (”jeunes”)ne se voient PAS comme Français et pensent que le virus ne les concerne pas”.
    Le coronavirus n’étant pas raciste, il y en aura pour tout le monde !!
    Ce seront les premiers qui encombreront les urgences et gueuleront pour avoir des soins gratuits et tout de suite … Il faudra mettre l’armée dans les entrées des hôpitaux !

  3. Posté par Bussy le

    Ces gens ne se voient pas comme Français, c’est une chose, mais il y a aussi un gros problème de QI, un QI au ras des pâquerettes ne permettant pas d’appréhender correctement une situation.
    Par contre, lors d’une prochaine pandémie et qu’il manquera de nourriture, on verra qu’un QI très bas n’empêche pas de s’approprier sauvagement de quoi manger, et nos élites bien pensantes raffinées en feront aussi les frais…. et les virus étant planétaires, difficile de se tirer ailleurs….

  4. Posté par Nicolas le

    La solution existe: Banlieue 13, avec un scénario légèrement remanié sur la fin.

  5. Posté par poulbot le

    Que l’on les laisses ce “débrouillé” tout seul pour ce soigné puisqu’ils se pensent invulnérable .

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