Suède – Un Éthiopien, atteint du VIH, a été condamné en 2005 à des soins psychiatriques puis à une expulsion pour avoir violé une femme suédoise. Parce que l’homme savait qu’il était porteur du VIH, le viol était considéré comme extrêmement grave. Son expulsion a finalement été suspendue pour des « raisons humanitaires » – même s’il veut lui-même retourner dans son pays d’origine.
Le migrant est détenu depuis 15 ans à l’unité médico-légale de soins de Sundsvall. En 2005, peu de temps après son arrivée en Suède, il a agressé et violé une femme à Karlstad. L’homme savait qu’il était infecté par le VIH, ce qui a entraîné une sanction plus sévère.
(…) Les autorités éthiopiennes souhaitent qu’il rentre dans son pays et ont eu des contacts avec le gouvernement suédois à ce sujet.
(…) « Nous espérons que le gouvernement suédois lui permettra de rentrer. Il veut rentrer chez lui dans sa famille », explique un diplomate à l’ambassade.
(…) Cependant, il y a un problème: le gouvernement suédois dit non au retour. Selon le jugement, l’homme doit être expulsé après avoir purgé sa peine, mais les soins qu’il reçoit en Suède coûtent cher, et à l’heure actuelle, il ne peut pas être renvoyé chez lui en Éthiopie pour des raisons humanitaires.
Selon le ministère de la Justice, cela est dû au fait que la situation juridique en Éthiopie n’est pas claire. On dit qu’il est difficile de savoir ce qui lui arrivera dans son pays et s’il pourra recevoir des soins continus.
Via Fdesouche
La soi-disant justice … elle ne brille plus depuis longtemps !
Elle doit appliquer les lois en vigueur et arrêter de tergiverser !
‘[I]l ne peut pas être renvoyé chez lui en Éthiopie pour des raisons humanitaires… Selon le ministère de la Justice, cela est dû au fait que la situation juridique en Éthiopie n’est pas claire. On dit qu’il est difficile de savoir ce qui lui arrivera dans son pays et s’il pourra recevoir des soins continus.’
C’est plutôt la justice en Suède qui n’est pas clair comment elle pèse les faits. L’Éthiopie est un pays sur mais ils refusent le revois tandis que la victime est complètement mis a l’écart dans cette décision.