Notre lecteur, J.-P. H : “L’endoctrinement gauchiste commence de plus en plus tôt dans les écoles”.
SPECTACLE.
Notre lecteur : J.-P. H. Source Arcinfo,11.10.2020
Le chœur et l’orchestre du lycée Blaise-Cendrars, à La Chaux-de-Fonds, proposeront un spectacle entre concert et performance théâtrale, autour de la question de la désobéissance.
Sur le flyer du prochain concert-spectacle du chœur et de l’orchestre du lycée Blaise-Cendrars, à La Chaux-de-Fonds, figurent les «parapluies de Hong Kong», ceux avec lesquels les manifestants se sont protégés des gaz lacrymogènes lors des manifestations de 2014. Le ton est donc donné d’entrée de jeu: «Soulèvement», qui sera présenté aux anciens abattoirs de La Chaux-de-Fonds du 12 au 15 février par 200 lycéens, n’a rien d’un gentil petit spectacle pour écoliers bien sages.
Pour cette nouvelle création, qu’il a écrite, composée, orchestrée et mise en espace, François Cattin est parti des récentes grèves pour le climat. Pour autant, «Soulèvement» n’est pas un spectacle sur les grèves pour le climat, ni même sur le climat, prévient l’enseignant et musicien. «Je suis parti de ce geste: pourquoi on fait la grève, qu’est-ce qu’on fait là? En plus, ce sont beaucoup des lycéens qui sont descendus dans la rue.»
A quatre mètres du sol
Pas de climat donc, mais un geste. Et une question: «Pourquoi on se soulève? C’est valable dans le cadre de la société, mais aussi dans la famille ou à l’école. On a tous ces questionnements: pourquoi je fais toujours le même métier? Pourquoi est-ce que je suis d’accord de payer mes impôts? A quel moment on n’accepte plus?», soulève François Cattin. «En musique, on est souvent dans une dimension abstraite. Là, je voulais quelque chose de plus concret, de plus compréhensible.»
Le spectacle, qui tient autant de la performance théâtrale que du concert, se divise en trois parties. «Au début, une voix dit: ‘Asseyez-vous’. Cette partie est statique, avec une question: comment je vais partir de cette chaise?» Dans la deuxième partie, les élèves quittent la chaise, «le spectacle se soulève contre lui-même, il échappe à son directeur». Enfin, dans la troisième partie, a lieu un nouveau soulèvement, au sens premier du terme: «Les élèves vont se retrouver à quatre mètres du sol, au-dessus des adultes.» Comment? François Cattin ne le dévoilera pas, histoire de préserver le suspense.
Directeur du chœur et de l’orchestre, François Cattin ne montera pas sur scène pour ce spectacle
Interviews des élèves
Alors que François Cattin accompagne généralement ses élèves au piano lors des concerts, il ne le fera pas cette fois-ci. Ni lui, ni aucun autre professeur ne monteront sur scène. «Ce spectacle ne supporte pas d’adulte», explique le musicien. En revanche, une bande-son particulièrement élaborée soutiendra le spectacle. On y trouvera de la musique bien sûr, mais aussi divers montages sonores ainsi que des interviews, dont certaines ont été réalisées par François Cattin auprès d’élèves du lycée. «J’ai essayé de prendre beaucoup de matière qui venait d’eux.» Des projections vidéo viendront encore s’ajouter au spectacle.
Pour préparer «Soulèvement», François Cattin a beaucoup lu, des livres de philosophie surtout. Il cite Georges Didi-Huberman: «Dans ‘désobéir’, il y a ‘désir’». Il reconnaît qu’il y a une sorte de paradoxe dans ce spectacle autour de la désobéissance: «Je suis prof, je leur dis quoi faire… C’est pour ça qu’il fallait, dans ce spectacle, que je disparaisse.»
Anciens abattoirs de La Chaux-de-Fonds, du mercredi 12 au vendredi 14 février à 20h15 et le samedi 15 février à 18h et 21h. Répétition générale publique et gratuite le mardi 11 février à 20h.
Quant au Grand Matraquage contre l’initiative de l’UDC pour un contrôle de la Grande Invasion, ça démarre fort : Karine Keller Suter sur la RSR (Forum et les flash infos horaires), S. Sommarruga sur la TSR (Infrarouge spécial).
Malheureusement les problèmes en Europe sont si graves et une bonne partie de ses dirigeants si corrompus autant qu’incompétent que la désobeissance passive soit peu éfficace.
«Dans ‘désobéir’, il y a ‘désir’»
Oui, un désir pour de la vraie liberté ou l’on est pas sous l’emprise de cette dictature de Gauche qui nous dit comment nous soumettre librement à son incompétence.
“Directeur du chœur et de l’orchestre, François Cattin ne montera pas sur scène pour ce spectacle”
Quelle abnégation! Quel sacrifice! M. Cattin met l’intérêt de la cause avant le sien personnel. On reconnait bien la grandeur d’âme des gauchistes
”On a tous ces questionnements: pourquoi je fais toujours le même métier? Pourquoi est-ce que je suis d’accord de payer mes impôts? A quel moment on n’accepte plus?», soulève François Cattin”
M. Catin se pose de bien drôle de questions … Il faudrait se poser les questions suivantes :
– Est-ce l’enseignement d’aujourd’hui prépare les ados pour affronter le monde de demain ?
– Est-ce que le temps perdu des vendredis pour la grève du climat n’aurait pas été plus utile aux ados en abordant les thèmes de la météo, climatologie, thermodynamique, etc … étudier c’est ouvrir des portes
– D’où provient son salaire à cet enseignant ? De MES impôts !
– Étudier la solidarité et le respect dans notre société du XXIème siècle
– etc …
Très intéressant !
Heu… peut-être pas dans le sens voulu par le professeur !
En effet, dans l’exemple des impôts qu’il cite… “Pourquoi est-ce que je suis d’accord de payer mes impôts? A quel moment on n’accepte plus?»”, la question va tôt ou tard se poser crûment et c’est les jeunes de bonne volonté et bien instruits qui se la poseront, étant de plus en plus stressés au travail, payant de plus en plus d’impôts tout en constatant qu’il y a de plus en plus de gens venus d’ailleurs, qui ne font rien mais vivent bien, squattent les terrasses de cafés, n’ont jamais cotisé à rien, n’ont jamais travaillé ou fait que des petits boulots sans valeur.
Et oui, tôt tard il y aura du soulèvement dans l’air !
Ou alors, les jeunes partiront sous d’autres cieux, par exemple un nombre énorme de jeunes Français prévoient de quitter la France… parce que chez eux, les terrasses de cafés sont déjà bien remplies, sans femmes faut le dire.