Les indicateurs conjoncturels de fécondité permettent comparer les taux fécondité par groupes sociaux. Ils permettent des analyses sur les années récentes à la différence de la descendance finale (nombre moyen d’enfants mis au monde par une génération de femmes au cours de leur vie, qui nécessite d’attendre qu’elles aient dépassé 50 ans).
En 2016, l’ICF des immigrées est de 2,72 enfants par femme et celui des non immigrées de 1,79 enfant par femme, soit un écart de 0,93 enfant par femme.
L’ICF total des femmes, immigrées ou non, est de 1,91 enfant par femme.
Sans les immigrées, le niveau de la fécondité en France en 2016 serait donc inférieur de 0,12 enfant par femme (1,91 moins 1,79). Le surcroît de fécondité des femmes immigrées mesuré d’après l’ICF se lit aussi au travers de la part des naissances de mères immigrées dans l’ensemble des naissances en France (19 % en 2019), qui est plus élevée que la part des femmes immigrées parmi la population féminine de 15 à 50 ans (12 %, cette proportion variant de 4 % à 16 % selon les âges).
NB : pour l’insee, un immigré est une personne résidant en France, née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance.
Source : INSEE
via Fdesouche
Rien de vraiment surprenant , qu’une femmes immigrée fassent plus d’enfants qu’une native ,d’abord, elle est venue pour avoir des papiers d’identité français et des allocations familiales plus la suite des aides .. comme le regroupement, elle pourra alors, faire venir des parents , d’ailleurs ,la plupart des femmes immigrées sont enceintes pour bénéficier des lois du pays d’arrivée , comme par exemple “le droit du sol” ,à Mayotte les migrantes administratives débarquent en masse pour faire” légalement “des petits de nationalité française .. en Méditerranée les stratagèmes sont identiques..
Comme par hasard, ce sont les personnes qui n’ont JAMAIS travaillé qui ont le plus d’enfants …
c’est normal ils ont tellement de temps libre, il faut bien s’occuper ….