Sylvia Revello, 15 juillet 2019
A Genève, le sort des migrants mineurs inquiète
Le collectif Perce-Frontières dénonce les conditions d’accueil des mineurs non accompagnés à Genève. Le Département de l’instruction publique promet un nouveau lieu d’hébergement et un encadrement journalier dès septembre.
Logement inadapté, formation inexistante, encadrement lacunaire: le collectif Perce-Frontières dénonce la prise en charge des mineurs non accompagnés (MNA) à Genève. Pour la plupart originaires du Maghreb et par conséquent non candidats à l’asile, ces jeunes migrants au parcours chaotique seraient plus d’une trentaine à vivre avec une aide d’urgence de 300 francs par mois, livrés à eux-mêmes et sans perspectives. [...]
La plupart de ces ONG sont desormais a classer dans les grandes associations criminelles !
“Pour la plupart originaires du Maghreb, et par conséquent non candidats à l’asile “.
J’aimerais donc savoir en vertu de quoi les contribuables genevois devraient loger, former, et encadrer ces jeunes gens. Si la Suisse doit accueillir et entretenir tous les jeunes venant d’ailleurs, ce ne sera pas tenable : le système social va s’effondrer. Que nous propose Sylvia Revello qui titre : “A Genève le sort des migrants mineurs inquiètes”?
Moi j’aurais titré : “le sort de Genève inquiète, car l’afflux de gens n’ayant pas droit à l’asile met à mal le système social et les finances publiques”.
Le titre choisi démontrant l’orientation politique d’un journal, on constate que Le Temps est devenu un journal pro immigration de masse.
300-. par mois ok ,petite question il y également la caisse maladie qui est payé non ?
Pour se loger ? Il ne paye rien non ? Les frais de dentiste ?La liste est longue non ? Il faut DONC dire la vérité OK. et détailler avec précision…..
Quoique, ces “mineurs non accompagnés” sont, pour la plupart, de faux mineurs dont on ne peut ni ne veut contrôler l’âge réel.
De plus, ils sont, pour beaucoup, quand même accompagnés, mais de loin et en cachette.
C’est ainsi un excellent subterfuge pour contourner les faibles lois sur l’immigration en Suisse et en Europe, avec la complicité de certains politiciens et ONG.