Forum des Médias - Ecologie: faut-il changer de vocabulaire?
RTS : Interview de Claude Ansermoz, rédacteur en chef de 24 heures, Catherine Frammery, journaliste au Temps et Julien Perrot, fondateur de La Salamandre.
Le chaos climatique s’installe. Faut-il adopter un vocabulaire plus adapté ? Doit-on encore laisser la parole aux climato-sceptiques ?
Cenator : La réponse des invités à cette dernière question est « Non » à l’unanimité.
Le 1er juillet, la capitale suisse des gauchistes va accueillir la Conférence mondiale des journalistes scientifiques, avec de nombreux exposés sur le climat et la biodiversité. Catherine Frammery du Temps explique que la BBC ne donne plus la parole aux climato-sceptiques, car leur point de vue est totalement idéologique, et vise à dénigrer ce qui est scientifiquement prouvé.
Résumé du "débat":
Claude Ansermoz de 24 heures : Faut-il encore laisser la parole aux climato-sceptiques ? Non, par contre Ansermoz accepte qu’on donne la parole à ceux qui contestent par exemple les voitures électriques ou l’efficacité des éoliennes. Mieux vaut parler de dérèglement climatique que de réchauffement, car s’il fait –15°C en hiver, les détracteurs diront qu’on exagère. Je suis engagé pour la cause du dérèglement depuis 2002. L’UDC utilise un langage violent, parle de talibans écologistes, d’hystérie climatique. Il faut éviter d’utiliser un vocabulaire tout aussi violent, car faut penser aux élections d’octobre et adopter un vocabulaire qui séduise la classe moyenne : il ne faut pas perdre de vue qu’en Suisse les élections sont gagnées par la classe moyenne.
Catherine Frammery, journaliste au Temps : Le journal The Guardian a recommandé à ses journalistes de ne plus parler de changement climatique ou de réchauffement mais de catastrophe climatique ou d’urgence climatique. Et le Guardian, ce n’est pas n’importe quoi. Tout ce qui arrive dans ce journal, arrivera forcement chez nous aussi. La grande majorité des scientifiques parlent d’effondrement.
La question climatique n’est plus une question d’environnement mais aussi une question politique et économique. Si ce que les scientifiques nous annoncent s’avère, alors c’est tout notre système qui va devoir changer. Aujourd’hui, on ne peut plus dire que selon certains il pleut, selon d’autres il ne pleut pas. Il faut aller voir soi-même par la fenêtre.
Julien Perrot, fondateur de La Salamandre : Il y a un large consensus scientifique que la Terre est ronde, comme il y a un large consensus scientifique concernant la catastrophe climatique en cours en Suisse et dans le monde, et l’effondrement de la biodiversité : les conditions climatiques qui permettent la vie sur Terre sont en train de s’effondrer, c’est factuel. On ne peut plus dire n’importe quoi, il faut même réduire au silence ceux qui veulent dire le contraire. C’est une crise sans précédent dans l’histoire de l’humanité. Celui qui ose nier le changement climatique est complètement à côté de la plaque. Si on veut assurer l’avenir de la presse, il faut résoudre ce drame du climat et de la biodiversité. Le drame, actuellement, c’est que notre système politique et notre système économique, et je pense notre cerveau aussi, sont calibrés pour répondre aux menaces sur le court terme. L’horizon se limite aux élections et au prochain rapport des actionnaires. Nous sommes en année électorale et Le Temps adopte un langage trop mou dans son grand dossier de cette semaine, consacré à la catastrophe climatique en cours. La science coûte très cher à notre société [pour prouver le réchauffement climatique anthropique].
Il ne s’agit pas de dire qu’on est écolo, mais que notre maison brûle. On ne peut pas donner la parole à ceux qui nient un large consensus scientifique. Les scientifiques sont unanimes sur ce défi majeur de notre société.
Les compagnies pétrolières dépensent des milliards pour semer le doute dans l’esprit des gens sur la catastrophe climatique.
Source (audio 18:50) : https://www.rts.ch/play/radio/forum/audio/forum-des-medias-ecologie-faut-il-changer-de-vocabulaire?id=10525588
Bonjour, je suis étudiante en psychologie à l’Université de Nîmes, et j’élabore un travail de recherche sur les perceptions de la science.
Vos réponses seraient très précieuses à mon projet d’études.
Je vous partage le lien de mon étude ici : https://psychology.eu.qualtrics.com/…/fo…/SV_2trzM7CxmFrjAi1
En cette période de confinement, où nous devons tous être solidaires, je vous demande 10 minutes de votre temps, et vous remercie d’avance à l’attention que vous porterez à ce questionnaire.
Depuis que j’ai pris conscience du réchauffement climatique, je garde la fenêtre ouverte quand je climatise mon salon, histoire de faire ma part du refroidissement climatique.
Le gros problème,c’est que tout ces scientifiques pro-rechauffement, a chaque fois qu’on leur demande de réfuter les thèses des “climato-sceptique” réagissent violement sans poser aucun argument scientifique pour démentir les thèses anti-rechauffement. Cette état de fais ne fais qu’amener de l’eau à notre moulin anti réchauffement. Et c’est là bien la preuve que ce consensus sur le réchauffement climatique c’est que du flanc. Et qui plus est toujours plus de scientifiques s’oppose à cette théorie fumeuse du co2 qui réchauffe la planète. Et n’oublions un point important dans tout ça le co2 permet au végétaux de vivre et produire de l’oxygène, ça s’appelle la photosynthèse! Les vrai problème environnementaux sont le glyphosate, la pollution du plastique dans l’océan, les déchets nucléaires et bien d’autre souci de pollution des sol et des eau par de grande industrie dont je n’ait pas besoin de citer les nom. Que dire de plus à part que tout cela prouve bien la dégénérescence mentale des populations de moutons!
Il n’y a pas lieu de changer de vocabulaire, mais d’apprendre aux gens à lire les rapports et les études scientifiques et à les interpréter correctement plutôt que de suivre les médias alarmistes. Il ya une grande différence entre une constation interrogative et le fait de se jeter gratuitement dans une campagne polémique surtout quand des intérêts politico économiques se cachent derrière ces campagnes. Rien ne permet, au vu des études, de rendre les activités humaines responsables de l’évolution climatique planétaire actuelle. Ce qui ne veut pas dire que les études des activités humaines ne soient pas à considérer et à suivre, mais les extrapolations des politiciens “écologiques” sont des campagnes politiques et rien d’autre!
Et bien… Dans pas si longtemps, ils iront jusqu’à demander des sacrifices humains pour apaiser les dieux du climat. Ces gens ont la même mentalité que ceux qui brûlaient des femmes parce que leur sorcellerie avait amené les valeurs de chaleurs et la lèpre… En hiver, bien plus de gens meurent de froid que de la chaleur en été. Mais là ils se la ferment tous, jamais ils ne pourront admettre que l’humanité dépend de l’énergie pour vivre, et ils auraient sûrement un blocage cérébrale en tentant d’expliquer que la nourriture des plantes et les flatulences des vaches ne font monter les températures qu’en été… Le co2 est là, toute l’année, mais le réchauffement on le ressent que lorsque la Terre est la plus proche du soleil. C’est dingue, on dirait que les anciennes théories de la NASA sur le soleil pourraient être justes.
Le problème est que ces journalistes soit-disant scientifiques et autres “experts” ne savent même pas ce que signifie hypothèse scientifique! Ce ne sont des ignares passeurs de copies menteurs et manipulateurs, pas des journalistes ou des experts scientifiques.
Selon C. Ansermoz :
”L’UDC utilise un langage violent”
FAUX, tous les partis de gôche utilisent un langage violent !
”hystérie climatique” est utilisée par les réchauffagiste !
https://www.polemia.com/hysterie-caniculaire-dictature-climatique/
Message de Sceptique
Sceptique le 8 mai 2019 à 13 h 32 min
”Je trouve les argument de Hubert Giot et Hervé Delétraz très convainquants. Leur rationalité, comparée à l’hystérie des réchauffistes, permet de mieux comprendre ce qui se passe si on considère l’aspect politique de la question.
On assiste actuellement à une tentative de créer artificiellement une panique, en faisant croire que la planète est sur le point de prendre feu, pour que tout le monde vote “vert” aux prochaines élections. En effet, les partis verts sont les larbins les plus zélés du mondialisme. L’objectif est de justifier des mesures d’urgence, dictatoriales et de prendre ces mesures au plan mondial. Il s’agit donc de justifier l’établissement d’un gouvernement mondial. C’est un plan oligarchique qui était présent déjà au temps du club de Rome. Maintenant ils passent la vitesse supérieure. (Excellent résumé !)
– la variabilité de la météo et du climat (chaos au sens de M .Lorentz)
https://blogs.letemps.ch/dorota-retelska/2019/05/06/il-neige-cest-la-faute-du-rechauffement-climatique/
Magouilles du GIEC/IPCC
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/09/23/crise-climatique-les-incroyables-magouilles-de-lipcc/
”faut penser aux élections d’octobre et adopter un vocabulaire qui séduise la classe moyenne : il ne faut pas perdre de vue qu’en Suisse les élections sont gagnées par la classe moyenne.”
La gôche dans toute sa splendeur pour amadouer les électeurs !
Les problèmes sont bien là…mais pas de fausses solutions progressistes ou mondialistes.Prôner les valeurs conservatrices de modération, de localisme, de responsabilité individuelle, de proximité, de démocratie
https://www.leblogueduql.org/2009/11/climategate-un-autre-point-de-vue.html
Certains “scientifiques” du GIEC dissimulent, de manière concertée, des données scientifiques allant à l’encontre de leur FOI en un changement climatique extraordinaire (le climat change continuellement depuis toujours).
« […] Le monde du réchauffement climatique révélé au grand jour
Les courriels qui font la lumière sur une tentative de dissimuler la vérité sur le climat. […]»
« […] Nous disposons toutefois maintenant de centaines de messages qui donnent clairement l’impression que des climatologues renommés ont cherché de manière concertée et coordonnée à adapter les données pour qu’elles correspondent à leurs conclusions, tout en essayant de faire taire et de discréditer leurs critiques. […]»
Affirmation des journaleux à la solde du mondialisme :
”On ne peut pas donner la parole à ceux qui nient un large consensus scientifique” !
”On ne peut plus dire n’importe quoi, il faut même réduire au silence ceux qui veulent dire le contraire” !
1) Il n’y a JAMAIS eu de consensus scientifique concernant le réchauffement climatique !
2) Vouloir museler les opinions autre que les opinions ”officielles” de ceux qui détiennent la vérité, cela se nomme la DICTATURE qui applique la CENSURE !
https://www.contrepoints.org/2014/06/14/168805-le-mythe-des-97-de-consensus-sur-le-changement-climatique
https://www.climato-realistes.fr/consensus-climatique-origine-97-pour-cent-des-scientifiques/
Et les mensonges d’Al Gore :
https://www.alterinfo.net/La-justice-britannique-juge-le-film-d-Al-Gore-erreurs-alarmisme-et-exagerations_a12273.html
https://lesobservateurs.ch/2019/03/23/meme-le-fondateur-de-greenpeace-denonce-lescroquerie-du-climat/
Si tous ces braves gens que se préoccupent de vocabulaire ne mettent pas la diminution drastique de la surpopulation mondiale au premier plan des actions à prendre, ils font dans la mesurette et font donc partie du problème !