Dans un livre publié fin février, Sabine Brutto raconte son épopée de six ans pour récupérer ses deux fils retenus de force en Tunisie. Elle dédicace chez Payot le 11 mai.
Situation d’enlèvement d’enfant classique, décrite dans 24 heures des 16-17.03.2019, article d’Yves Merz.
Résumé Cenator : En l’an 2000, la Française Sabine Brutto rencontre le beau Rachide durant ses vacances à Djerba. Elle avait 18 ans, et c’est le grand amour. Premier fils en 2003, mariage en 2005, deuxième fils en 2006. Rachide est absent lors de la dernière naissance, Madame trouve qu’il a changé et demande le divorce.
En 2009, Sabine amène ses fils en Tunisie et le père les enlève. Sabine ameute terre et ciel, jusqu’à François Hollande, pour les récupérer. Finalement, une personne du renseignement en Suisse obtient, en 2015, le retour des deux garçons chez leur mère, à Prangins.
[...] « Sabine Brutto exerce la profession de médiateur et de consultante en communication de crise au sein de MB associés, basée à Nyon et à Genève. Elle envisage de créer une association pour aider les parents à qui a enlevé un enfant. »
[...]
« L’an dernier, la Suisse a enregistré plus d’une centaine d’enfants enlevés par leurs parents. Un record. Ce chiffre n’a cessé d’augmenter durant les dix dernières années. »
Source : https://www.24heures.ch/vaud-regions/la-cote/Le-combat-d-une-mere-a-qui-on-a-enleve-ses-enfants/story/22403476 (abonnés)
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L’enlèvement des enfants par un mari musulman est un phénomène qui touche chaque pays à forte immigration musulmane. C’est un peu comme les attentats : pas d’amalgame, mais la majorité des enlèvements sont perpétrés par les pères musulmans.
Au fur et à mesure que la population musulmane augmente en Europe, le nombre des enlèvements se multiplie. Auparavant, le Service Social International s’occupait de ce genre de cas, en collaboration avec le CICR ; actuellement plusieurs associations subventionnées et services sociaux se partagent le « gâteau ». Mais pas de panique, il y a de la place pour tout le monde, le besoin est loin de tarir. Sabine Brutto l’a bien compris, elle en fait sa carrière actuellement. Ainsi, elle va continuer à coûter à la collectivité, en plus de l’argent qu’elle a déjà touché en matière d’aide et de subventions en Suisse, puis la collectivité paiera le trou de cotisations de ses avoirs de vieillesse.
Bref, la facture sera présentée, comme toujours, aux contribuables.
Et avec la multiplication des cas, la saignée des contribuables ira en s’aggravant, jusqu’à ce que mort s’ensuive.
@ Alberto Da Giussano: bien dit! Je pense la même chose que vous.
J’en ai RIEN À FOUTRE DE CETTE PAB !
ET SURTOUT QUE LES PETITS MÉTÈQUES QU’ELLE A MALHEUREUSEMENT COMMIS RESTE ”AU PAYS” AVEC LEUR PÈRE LÉGITIME QUI POUR LE COUP VAUT ASSURÉMENT BIEN MIEUX QUE CETTE ”COUNASSE” !