C’est ce jeudi que devait être connue la décision de clôture ou non de l’instruction dans l’affaire de Traoré, ce délinquant mort dans le commissariat de Beaumont-sur-Oise, en juillet 2016. Un juge d’instruction, la mairesse, quatre gendarmes, ont été menacés, salis, dans cette affaire. Saccages et nuits d’émeutes s’étaient multipliés. Et dans le monde entier avait été répandue l’idée que la police française était raciste, tueuse d’immigrés. Retour sur cette infox géante au profit des lobbies immigrationnistes.
Le 19 juillet 2016, des gendarmes procèdent à un contrôle d’identité. Ils s’intéressent à un dénommé Bagui Traoré, recherché pour extorsion de fonds avec violences. Son casier judiciaire est long comme le bras. Ce jour-là, il est accompagné de son frère Adama, bien connu de la police, mais pour des délits moins graves. La famille Traoré est une sympathique famille malienne, composée du père, de ses quatre femmes, et de leurs dix-sept enfants.
Curieusement, Bagui se laisse contrôler tandis qu’Adama prend la fuite. Les gendarmes le poursuivent et l’interceptent. Il est conduit au commissariat de Beaumont-sur-Oise, fait un malaise, et meurt.
La mort d’un homme est toujours un évènement dramatique. Mais celle de Traoré va être instrumentalisée par une alliance de tout ce que la France compte de soi-disant antiracistes et d’intellectuels, de politiciens et d’artistes de gauche.
Le procureur de Pontoise, trois policiers, ceux qui avaient maîtrisé le fuyard, une gendarme, accusée d’avoir commis des faux en écriture pour protéger ses collègues, la mairesse de Beaumont, furent pris pour cible, au figuré et parfois au sens propre.
Emballement politico-médiatique
En fait, expertises et contre-expertises médicales ont montré qu’Adama Traoré souffrait d’une maladie génétique, la drépanocytose. En outre, il avait consommé du cannabis. Sa fuite, l’effort en découlant, avaient entraîné une asphyxie. Les gendarmes ont correctement géré sa perte de connaissance, avant d’appeler les pompiers.
Une triste affaire, qui n’aurait jamais dû provoquer un tel emballement politico-médiatique, accompagné de véritables émeutes. Mais la famille Traoré, s’appuyant sur un comité de ces « progressistes » chers au président Macron, a lancé les accusations les plus folles, imaginant un complot de gendarmes, de magistrats et d’élus
Le Val-d’Oise a de ce fait connu de nombreuses nuits d’émeutes. En novembre 2016, une séance du conseil municipal sera même attaquée. Par la suite, l’un des frères Traoré sera condamné en 2017 pour avoir passé à tabac un jeune homme qui avait porté plainte pour viol contre Adama, pendant un séjour en prison. Ce même frère sera condamné à trois ans de prison en 2018 pour incendie d’un bus. Un autre frère de Traoré, après des menaces de mort à l’encontre du maire, sera condamné à quatre mois de prison ferme. Un troisième frère sera convaincu de menaces de mort à l’encontre de gendarmes. Et le fameux Bagui, qui était avec Adama le 19 juillet 2016, sera accusé d’avoir ouvert le feu sur des gendarmes, et emprisonné. Enfin toute la famille ou presque sera mise en examen pour trafic de cannabis.
Mélenchon et Ruffin, Benoît Hamon et Joey Starr, SOS Racisme et le rappeur Black M ont apporté leur soutien à la sympathique famille, et assuré une couverture médiatique mondiale à cette belle cause.
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Extrait de: Source et auteur
”La famille Traoré est une sympathique famille malienne, composée du père, de ses quatre femmes, et de leurs dix-sept enfants”.
Vu leurs casiers judiciaires qui ressemblent à des dictionnaires, tous les membres de cette famille devraient être expulsés au Mali. Un avion cargo et on n’en parle plus !
”Mélenchon et Ruffin, Benoît Hamon et Joey Starr, SOS Racisme et le rappeur Black M ont apporté leur soutien à la sympathique famille”.
Cette bande de faux-culs et de propagateurs de fausses nouvelles (”Fake News”) devrait être enfermée et rééduqué.
Tous les frais des émeutes à leur charge ! Cela le calmerait pour un bon moment, surtout les politicards et le rappeur qui râperait mieux les murs de sa prison !