En Angleterre, c’est une nouvelle victoire pour la communauté transgenre. Le conseil municipal de Brighton & Hove a approuvé l’enseignement des menstruations « tous genres » dans les écoles pour lutter contre la stigmatisation liée aux règles.
En effet, de nouvelles directives d’éducation sexuelle données aux enseignants ont été approuvées par le conseil municipal de Brighton afin de lutter contre la stigmatisation entourant la menstruation.
« Nous pensons qu’il est important que tous les genres puissent apprendre ensemble et parler ensemble de la menstruation. Notre approche reconnaît le fait que certaines personnes qui ont des règles sont trans ou non binaires » a déclaré le conseil municipal.
Les directives stipulent également que «des corbeilles pour les produits menstruels [tampons] seront installés dans toutes les toilettes » pour les enfants de tous les genres et que les élèves et étudiants transgenres doivent bénéficier du soutien supplémentaire d’une infirmière scolaire si nécessaire.
Le conseil a également publié une « boîte à outils » destinée aux enseignants. Elle leur demande d’être constamment respectueux et inclusifs avec les enfants qui se posent des questions sur leur genre et aux écoles d’adopter des uniformes unisexes. Elle précise également que ne pas appeler les enfants par leur pronom préféré [il, elle, iel…] ou leur nom préféré peut être considéré comme du harcèlement.
Source en anglais : Telegraph
Résumé Cenator pour LesObservateurs.ch (merci à AfrikMag)
Voir aussi Brighton : le nouveau programme scolaire soulève l’indignation (RT en anglais)
Un débat à ce sujet (en anglais) :
Ces dérives me rappellent une certaine “journée des jupes”, obligatoire pour les garçons, instituée dans les écoles de Strasbourg, en décembre d’il y a environ 4 ans.
Nos hôtes, Français de la bonne société conservatrice et parents de trois filles, n’avaient pas osé réagir contre ces insanités du féminisme obligatoire.
Deuxième épître de Saint-Pierre 2.6 Et réduisant en cendres les villes de Sodome et de Gomorrhe, les condamna par un renversement, faisant d’elles un modèle envers ceux qui plus tard vivraient dans l’impiété;
Desproges et Coluche n’auraient plus droit de cité aujourd’hui. On ne peut plus appeler un chat un chat, il faut d’bord lui demander s’il a choisi d’être chat ou chatte?
Isaac Asimov: “Contre la stupidité les Dieux eux-mêmes se battent en vain”
Rien qu’à lire ça j’ai une montée de lait !
Les genderqueercuck seraient-ils les nouveaux consanguins de l’esprit, créés et mis hors d’état de penser par une simple mise à jour en ligne?
Ah oui, prière de ne pas débrancher pendant la mise à jour….LOL
“63,5 % des parents ayant répondu à l’étude ont signalé un net surcroît d’intérêt de leur enfant pour internet et les réseaux sociaux juste avant l’annonce de sa transsexualité. Une fois la transsexualité revendiquée, on observe souvent une détérioration du bien-être mental de l’enfant et l’augmentation des conflits familiaux”
https://lesobservateurs.ch/2018/12/27/transgenres-la-premiere-qui-a-dit-la-verite-a-ete-censuree/
Yess, trop fort, les rézozoios… :-)))
Cela suffit, nous en avons marre de ces sociétés de taflettes perverses. Haro & bastonnade !
Allez, dans deux ans les garçons seront enceints.
Ça évoquera le film avec Marcello Mastroianni et Catherine Deneuve: “L’événement le plus important…..”
On fera de nos enfants des asexués sans aucune sensibilité. Tous lobotomisés; uniformisés en esprit comme en posture. Sans sens critique, pour être plus malléable et mieux asservis.
On est dans le meilleur des mondes d’Huxley
Des Desproges, Coluche et consorts manquent cruellement pour étalonner toute cette médiocrité idéologique.