Nos lecteurs : “En tant que contribuable suisse je suis heureux d’apprendre que pour héberger 20 racailles cela coûtera 5 millions la première année soit la bagatelle de 250’000.- par tête de pipe.”

Bonjour,

 

En tant que contribuable suisse je suis heureux d'apprendre que pour héberger 20 racailles cela coûtera 5 millions la première année soit la bagatelle de 250'000.- par tête de pipe.

 

Cordialement

J.-P. H.

La Confédération va ouvrir lundi prochain le centre pour requérants d’asile récalcitrants aux Verrières. Explications en six points.

Le centre spécifique des Verrières ouvrira ce lundi 3 décembre. Le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) l’a annoncé ce jeudi durant une conférence de presse à Berne. Ce centre pour requérants d’asile difficiles ou récalcitrants pourra accueillir jusqu’à vingt personnes aux Cernets durant sa première année d’exploitation, puis jusqu’à soixante. La phase-pilote doit durer trois ans.

  1. Dans quel but?

Complément aux six centres d’asile fédéraux du pays – dont celui de Boudry -, le centre spécifique des Verrières sera fréquenté uniquement par des cas difficiles. Soit ceux ayant perturbé le fonctionnement des centres classiques.

«Nous voulons concentrer ces cas dans un lieu où il y a davantage de personnes pour l’encadrement et davantage de sécurité», explique Pierre-Alain Ruffieux, chef de région Suisse romande au SEM. But de l’opération: «faciliter la vie des gens respectant les règles», en supprimant des sources de tension.

Un second centre spécifique devrait voir le jour en Suisse alémanique pour compléter le dispositif fédéral. Pour rappel, celui-ci prévoit six centres de traitement, ces deux centres spécifiques ainsi qu’un certain nombre de centres sans traitement, destinés surtout à l’hébergement de personnes en attente de renvoi.

  1. Pour qui?

Le centre spécifique des Verrières pourra accueillir dans la première année jusqu’à vingt personnes à la fois, uniquement des hommes. Aucune famille, aucun mineur, ni aucune femme ne sera hébergé aux Cernets. «Le cas typique est un requérant régulièrement sous l’influence de l’alcool ou de drogue. Ou les simulateurs», explique Pierre-Alain Ruffieux.

Au niveau suisse, «trente à quarante personnes par année peuvent remplir les critères pour être transférées dans un centre spécifique», estime le chef de région. «Actuellement à Boudry, nous aurions une personne qui pourrait remplir ces critères. Il y a trois mois, nous n’en aurions eu aucune.»

Vu qu’il n’y a pas d’autres centres spécifiques en Suisse, les résidents problématiques des centres de tout le pays pourraient être transférés aux Verrières, pour des durées fixes de quatorze jours. A terme, jusqu’à soixante requérants pourraient être hébergés aux Verrières.

  1. Comment cela fonctionnera-t-il?

Les transferts vers le centre des Verrières se feront sur décision des responsables de région du SEM. Les requérants d’asile seront informés lors d’un entretien de ce transfert et pourront recourir contre la décision.

Ils seront ensuite envoyés aux Verrières, soit via un transport organisé, soit en transports publics jusqu’à Fleurier, selon les cas. Sur place, les requérants participeront à des programmes d’occupation. Ils seront libres de quitter le centre de 9h à 17h, mais des interdictions de périmètres pourront leur être imposées.

Il n’y aura pas d’argent de poche pour les résidents du centre, explique la responsable de l’asile au SEM Esther Maurer. Sur place, l’encadrement sera confié à la société ORS, mandatée pour les différents centres fédéraux. Ils procéderont notamment à un contrôle des entrées et sorties.

  1. Un accent sur la sécurité

«On ne garantit pas qu’il n’y aura pas d’accident, mais qu’on fera tout pour qu’il n’y en ait pas.» Le SEM, par la voix de Pierre-Alain Ruffieux, annonce des mesures pour assurer la sécurité des abords du site. Outre le contrôle des entrées et des sorties, deux personnes chargées de la sécurité seront toujours dans les bâtiments, tandis qu’une patrouille travaillera jusqu’au village dans les endroits que pourraient fréquenter les requérants d’asile.

En raison notamment de ces mesures d’encadrement, le centre spécifique coûte relativement cher à la Confédération. Soit cinq millions de francs pour la première année. Cela revient à un coût à la place cinq fois plus élevé par rapport à un centre fédéral normal.

La proximité avec la frontière n’est pas vue comme un problème: «Le demandeur n’a pas d’intérêt à passer la frontière», insiste Pierre-Alain Ruffieux, rappelant le principe du règlement Dublin, qui conduirait la France à directement renvoyer le requérant en Suisse.

  1. Une phase pilote

Le centre spécifique des Verrières est «une nouveauté pour le SEM», dit sa responsable du domaine asile Esther Maurer. Dès lors, un important suivi est mis en place, réparti en deux groupes agissant au niveau stratégique et opérationnel.

Ces groupes réunissent deux représentants de la commune, deux représentantes du voisinage direct, des membres du SEM et des services cantonaux, de la police neuchâteloise ou encore des membres des gardes-frontières. Le Haut-Commissariat aux réfugiés sera aussi impliqué via une évaluation annuelle.

Malgré son qualificatif de phase pilote, le projet ne devrait pas se terminer au terme des trois ans. «Il faudrait des problèmes majeurs pour arrêter l’expérience. On ne s’arrêtera pas au premier souci», précise Pierre-Alain Ruffieux. Président de commune, Jean-Bernard Wieland reste confiant: «On a vraiment l’impression que le SEM ne peut pas se permettre que ça coince avec les habitants ou la commune et qu’ils font tout pour que ça marche.»

  1. Quelles compensations pour la commune et le canton?

En accueillant sur ses terres ce centre spécifique, le canton de Neuchâtel sera moins mis à contribution pour l’accueil de requérants d’asile dans des centres cantonaux (moins huit places). «Une compensation financière annuelle de 4400 francs par place sera attribuée pour compenser le surplus de travail de la police neuchâteloise.»

La commune s’y retrouvera aussi. «Ce centre n’est pas une carte de visite, nous aurons une certaine compensation financière», confirme le président de commune Jean-Bernard Wieland. Des conventions ont par ailleurs été signées, notamment pour l’entretien ou le déneigement de la route des Cernets ou la fourniture de bois locaux pour le chauffage du centre.

Par ailleurs, les requérants suivront des programmes d’occupation. Il est notamment question de travaux forestiers ou d’entretien de sentiers, comme celui consacré aux Bourbaki.

Merci à J.-P- H.

6 commentaires

  1. Posté par aldo le

    @combattant le 2 décembre 2018 à 17h24 Heureusement les Suisses ne sont pas mentalement en panne mais récupérable à long terme, puisque LA PANNE CE SONT LES SCÉLÉRATS BOLCHEVO-FASCISTES QUI ONT CRÉE LA NOYAUTAGE MÉDIATIQUE A LEUR SEUL PROFIT en vue de s’enrichir avec leurs copains dont nombre de pédophiles, sur le dos de tous le monde et de s’approprier la démocratie en faisant élire ceux qu’ils désignent sans être eux-mêmes soumis et élus à leur tour par le peuple.

  2. Posté par combattant le

    ET IL SUFFIRA QUE CETTE RACAILLE,PORTE PLAINTE AUX FAMEUX JUGES ETRANGERS QUE 66% de suisses mentalement en panne ont votés pour,ILS SERONT CERTAINEMENT RELACHES DANS LA NATURE.BONNE CHANCE ! Suisse est-tu DEVENUE FOLLE ! J’en ai bien l’impression hélas !

  3. Posté par leone le

    Mon épouse et moi qui avons cotisé 44 ans à l’AVS touchons une rente de couple de 42’000.- par an soit, par personne, 12 fois moins que ce que coûte la racaille étrangère qui n’a jamais payé un franc de cotisation. Et on ose dire aux vieux qu’ils coûtent trop cher. Cherchez l’erreur.

  4. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Est-ce qu’une geôle dans leur pays natal ne suffirait pas?
    Est-ce qu’on ne pourrait rien trouver de mieux a faire avec ces 5 millions frs par an, notamment dans les pays d’origine de ces racailles?
    On marche vraiment sur la tête…

  5. Posté par Carole le

    Et Boudry… un jeune de 16 ans hospitalisé pour des coups de couteau…il paraît que ce n’est pas triste là-bas, même la mère l’a dit, aucune sécurité, malgré les contrôles… et on doit être sur la paille pour ça ? Quand on pense au show préparé en décembre….avec les autorités et SSomma….

  6. Posté par Bussy le

    L’industrie de l’asile tourne à plein régime !!!
    Et qui désignera les cas difficile ? Les migrants musulmans pourront-ils grâce à ces centres se débarrasser des rares migrants chrétiens ou sans religion ?
    N’y a-t-il pas de solution plus simple ?
    Et le contribuable qui bosse dure et paie de plus en plus d’impôts pour financer tout ce cirque, qu’en pense-t-il ?

Et vous, qu'en pensez vous ?

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