En Hongrie, mariages et naissances atteignent un record ! Le ministre de la famille Katalin Novák constate :
« Aujourd’hui la croissance de la population européenne dépend exclusivement de l’immigration mais si cela continue ainsi l’Europe perdra le choc des civilisations. »
L’immigration ajoute-elle « peut altérer les racines religieuses, sociales et ethniques de l’Europe ». C’est pourquoi la Hongrie a décidé de se fier à « ses ressources internes » pour résoudre la crise démographique qui affaiblit le Vieux Continent.
Katalin Novák, mère de famille et soutien des politiques anti-avortement, promeut la natalité hongroise : « c’est une question de survie » explique-t-elle. Il y a ceux qui comptent sur les migrants pour inverser la courbe démographique, mais pas en Hongrie. A Budapest, le choix a été de favoriser une véritable politique familiale en soutenant les familles par un allègement des taxes, une aide pour accéder à la propriété, la multiplication des crèches pour aider les mamans qui doivent travailler, un congé parental pour les pères de famille.
Ces mesures ont porté leurs fruits rapidement : 2017 a connu « le plus haut taux de natalité et mariages de ces 20 dernières années ». La Hongrie peut ainsi se permettre de critiquer, preuves à l’appui, l’Europe et les pays occidentaux accusés de ne pas faire assez pour les familles et qui surtout « voudraient nous obliger, a dit le porte-parole de Viktor Orban, à inverser la courbe démographique descendante grâce à l’immigration ».
A ceux qui accusent la Hongrie d’avoir un gouvernement dictatorial, le ministre de la famille répond : « Demandez-le aux Hongrois » qui ont élu le parti de gouvernement Fidesz « pour la troisième fois consécutive avec une majorité des deux tiers ». On est loin d’un Orban dictateur :
« Plutôt la dictature est celle de la gauche libérale qui se contredit parce qu’elle n’accepte pas la diversité des opinions, la tolérance et la solidarité. »
Francesca de Villasmundo
Extrait de: Source et auteur
Le problème est qu’en France, dont la natalité est la plus forte (pour cause), le taux de natalité est en faveur de certains Français qu’on n’inclura pas, opportunément encore, dans des statistiques défavorables à l’interprétation de la société en France.
Ça voudra témoigner d’un contexte prospère, statistiques ethniques interdites à l’appui, alors que le remplacement est en marche.
En effet, pas besoin de migrants, c’est déjà assez gangrené ainsi.
Excellente nouvelle ! Cela réduit à néant un des arguments en faveur du remplacement !
Si on leur donne de la sécurité et le moyen de vivre et de prospérer, les gens fondent des foyers et font des enfants !