Onze jours seulement après sa condamnation pour coups et blessures et résistance, Mohamed L. (32 ans) s'est battu contre cinq policiers à Dresde : "Je suis une victime", a-t-il déclaré lundi au tribunal de district.
En mai, le demandeur d'asile débouté a rencontré deux policiers au magasin REWE qui avaient acheté quelque chose à manger. "Il m'a foncé droit dessus et m'est rentré dedans, déclare l'un des policiers (52 ans), et je lui ai demandé à quoi il jouait.
Là une discussion animée a commencé immédiatement. Il a crié: «Je veux du respect. J'ai le droit de faire ça, je suis un réfugié. Quand j'ai demandé sa carte d'identité, tout était fini."
Selon l'acte d'accusation, le Tunisien s'est laissé tomber, il s'est frappé la tête sur l'asphalte, a lancé des coups de pieds, a craché sur les fonctionnaires, les a menacés:
"Je n'ai pas peur de la mort, je suis l'Etat islamique, si je ne vais pas en prison, je reviendrai et je te tuerai toi et ta famille, je vous tuerai tous!"
Les agents ont appelé des renforts pour faire face à la brute. "Quatre hommes l'ont emmené au poste de police central", a déclaré le policier.
Et même là, Mohamed L. se déchaîna: Les ambulanciers paramédicaux appelés n’osaient pas s’approcher de lui.
L'urgentiste a ordonné qu'on l'emmène à l'hôpital universitaire. "On a dû le fixer sur la civière parce qu'il n'arrivait pas à se calmer."
Mohamed L. a déclaré: "Le policier m'a roué de coups. A présent, il dit autre chose. D'ailleurs, il n'y a nulle part où je dois montrer ma carte d'identité."
Aucune trace de regret ni d'excuses. Ce n'est que lorsque le procureur a demandé l'incarcération de l'accusé qu'il a demandé au juge: "Donnez-moi une autre chance". Onze jours auparavant, il avait été condamné à sept mois de prison. La peine avait été suspendue par du sursis.
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Traduction libre Schwarze Rose pour Les Observateurs.ch
Il y a la guerre en Tunisie??? Qu’est-ce qu’il fout en Europe celui-là??? Il n’y a pas matière à ouvrir un dossier, c’est retour au bled dès son arrivée!
Le pire est que ce…….requérant ne sera jamais expulsé et continuera à répandre la pourriture qu’il emporte. Une fois qu’ils sont chez nous, ils sont chez eux jusqu’au jour où nous ne serons plus du tout chez nous.
Les seules solutions: force et répression. Toute la batterie compassionnelle et lacrymale a été tentée, en vain.
Expulsion immédiate ? non surtout pas ! comme en chine une balle dans la tête et exterminer sa famille…. ça donne a réfléchir.
Tunisie – requérant. 2 mots qui ne vont manifestement pas ensemble. Il faut le condamner et lui faire purger sa peine chez lui.
Expulsion immédiate !
Personne à mettre en asile psychiatrique dans SON pays, pendant une durée indéterminé …
Dire que certaines personnes pro-immigration nomme ce genre d’individu des ”chances”. Il y a de quoi se poser des questions …