... SOS chats, végane, Me Too, « actrice dans une série policière produite par la RTS », et parfois même lectrice du MATIN !
Le 17 juillet 2018, Vincent Donzé, rédacteur du Matin, a eu encore une information digne d’intérêt à livrer à ses lecteurs avant le dernier souffle du journal : Lauriane Gilliéron, ex-miss Suisse, œuvre pour SOS chats. Il y a même un chat de sa chatière de prédilection qui s’appelle Clooney !
Lauriane Gilliéron, à peine revenue de sa débâcle hollywoodienne, avait combattu No Billag. La bonne combine : la RTS lui a ouvert les bras, suivie de la totalité de la presse qui a ovationné sa prestation d’actrice dans une série policière produite par la RTS.
Dans ce tourbillon de nouvelles palpitantes, nous apprenons également que Lauriane Gilliéron, qui jadis était végétarienne, est devenue végane. Elle est 100% « Me Too » et en harmonie avec tout le gratin du cinéma américain, qui se compose à 99% de gauchistes. Toutefois, elle accuse de son échec la cruauté de l’industrie du cinéma américain !
Fin du Matin : les éloges pleuvent.
Et comme de bien entendu, Lauriane Gilliéron pleure la disparition de la version papier du Matin. Elle n’est pas la seule : le dernier numéro du quotidien relève les regrets sincères du gratin du monde du spectacle, comme Bastian Baker, Nicolas Bideau, Kiki Crétin, Darius Rochebin... mais surtout ceux des miss romandes, touchantes de profondeur :
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Lolita Morena, animatrice : «J’aimais le lire pour sa diversité, il traitait des choses importantes de notre pays, surtout en période de votations. Mais j’aimais aussi les histoires de vie et ses articles sur les animaux. C’est une partie de notre patrimoine qui s’effondre. On a une culture ici, une identité et une part de cela disparaît avec «Le Matin». C’est dommage.»
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Lauriane Sallin, Miss Suisse 2015 : «La fin du «Matin» illustre l’état de notre société. Pour une course au profit, on néglige la diversité et on n’a pas peur d’utiliser cet argument pour mettre des gens au chômage. Je m’inquiète pour l’information en général. Si seule la rentabilité prime, comment offrir des nouvelles de qualité? «Le Matin» était un journal en qui j’avais confiance. Je me sentais écoutée.
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Whitney Toyloy, Miss Suisse 2008 : «Je ressens beaucoup d’émotions. «Le Matin» était un incontournable. Car, en vingt minutes, j’arrivais à avoir l’information suisse et internationale de manière concise et ludique! Mon rayonnement médiatique a été fait en grande partie par «Le Matin» et je tiens à remercier la rédaction pour ces dix dernières années.»
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Toutes ces personnes ont plusieurs points en communs : la volonté de plaire à tout prix, un manque total de pensées personnelles et originales, la récitation appliquée des poncifs de la doxa, comme « course au profit », « la diversité », «inquiète pour l’information en général », « la rentabilité prime, comment offrir des nouvelles de qualité », etc.
Si le vent tournait, comment ces girouettes se recycleraient-elles ? Est-ce que Lauriane Gilliéron ferait de la publicité pour la saucisse à rôtir Bell ?
Cenator, 27.7.2018
Si toutes ces miss pouvaient se défoncer à œuvrer pour “sauvez le Français” car il en a bien besoin ! le suisse peut être mais la France ce n’est plus nec mergitur
Le Matin ne se serait pas planté si il avait eu une ligne rédactionnelle ”populiste”. Malheureusement il avait une ligne rédactionnelle bien-pensante de gauche. Donc les gens ne voulaient plus le lire, ni s’abonner. Tant pis pour eux!
Lorsqu’une entreprise est sur le point de faire faillite, les gauchistes veulent la subventionner avec le pognon du contribuable, qu’il soit de gauche, de droite ou du centre, surtout si l’entreprise en question sert la propagande de gauche;
Lorsqu’une entreprise (si possible de gauche) péclote un peu et traîne la patte, les gauchistes veulent la nationaliser, pour faire de ses employés des fonctionnaires salariés avec notre fric. Des futurs fonctionnaires qui ensuite ne manqueront de militer pour la gauche;
Et lorsqu’une entreprise tient la super forme, les gauchistes veulent par contre la taxer à mort, pour la punir de sa réussite insolente, et ne lui pardonnera jamais la moindre délocalisation du moindre emploi. Elle sera dans le collimateur de ces branlos de syndicalistes, qui voudront la ponctionner encore plus et organisera des grèves;
Le Matin est une entreprise privée et si elle doit se planter, alors il n’y a pas de raison pour qu’elle soit mieux traitée qu’une entreprise du bâtiment qui péclote, et encore moins sur le dos du brave contribuable. Mais pour que ces miss comprennent cela, il faudrait déjà qu’elles aient travaillé bien quelques années loin des paillettes aveuglantes.
Dans le fond la Suisse ne mérite pas de survivre …..
Tout flatteur vit au dépens de celui qui l’écoute. Cette leçon vaut bien un passage à la télé sans doute.
Pauvres filles, j’espère que ce qu’elles n’ont pas dans la tête elles l’ait au moins dans le beeeeep ! Quant au Matin, Dieu merci, il n’existe plus.
Merci de faire un compte rendu de nos “miss” qui sont là pour divertir et plaire. En effet, vu qu’elle sont là pour plaire, ben faut bien qu’elles plaisent à la majorité de bobo fleur-bleu naïfs qui lisent encore les torchons et écoutent Darius qui nous gonflent à longueur de journée avec leurs propagandes, mensonges et politiquement correct. Faut pas leurs en vouloir, elles le font pour leurs carrières et leurs public bobo fleur-bleu naïfs qui s’intéressent plus aux faits divers de nos stars qu’à la destruction massive de notre pays, de nos bien, de notre démocratie et notre culture.
Au moins Whitney Toyloy a-t-elle l’honnêteté de dire ce qu’elle doit au Matin.