Extraits du discours de Viktor Orban à l’occasion de l’investiture du nouveau ministre de la défense hongrois devant le Parlement, le 16 mai 2018.
Le gouvernement hongrois, qui entame un nouveau cycle de gouvernance, a pour devoir de renforcer la sécurité de la nation. La présence de la Sainte Couronne au milieu du Parlement est là pour nous rappeler à tous nos responsabilités.
La défense de la Hongrie n’est pas le rôle de l’OTAN, ni le devoir ou de l’obligation de l’UE.
Pour la première fois depuis la fin du communisme, c’est un militaire qui accepte de devenir le futur ministre de la défense. Le général Tibor Benkö porte l’uniforme depuis 43 ans.
Nous vivons à une époque où la sécurité est devenue la tâche primordiale. Nous avons appris que des conflits armés peuvent éclater à nos frontières. Nous avons également appris que des masses humaines peuvent arriver à nos frontières en l’espace de quelques semaines. Des millions de migrants projettent actuellement se mettre en route. [...] Nos voisins s’arment avec un rythme et un élan soutenus.
Ces prochaines années, le budget militaire va plus que doubler afin de créer une armée moderne, dotée d’une force de frappe, totalement dévouée à notre patrie, et qui puisse concurrencer les forces armées de n’importe quelle nation.
Monsieur le Ministre, je vous donne le mandat de réorganiser notre armée. Mais pour que l’armée hongroise soit forte, avant tout, nous devons gagner les jeunes à la cause de la défense de la patrie. Je demande au nouveau ministre de rendre attractive à notre jeunesse l’armée qui est la forme la plus noble de la défense de notre patrie. [...]
Sources (vidéos en hongrois) :
https://www.youtube.com/watch?v=6Tr4xAt85GQ (la cérémonie)
https://www.youtube.com/watch?v=s2Gjgxae7II (le discours)
https://www.youtube.com/watch?v=7lHh73Jeexg (le discours)
Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch
Nombre de chars de combat par pays :
Russie | 20'300 |
Grèce | 1'300 |
Pologne | 1'064 |
Roumanie | 827 |
Allemagne | 430 |
France | 400 |
Espagne | 327 |
Angleterre | 223 |
Italie | 200 |
Hongrie | 32 |
Total [sans la Russie] : 4'800
Source : Banque mondiale
La Hongrie devrait être pris comme modèle par tous les autres pays européens. Il n’y a pas 36 façons d’éradiquer cette vermine conquérente.
BRAVO LA HONGRIE!
Je pense que la Suisse devrait cesser d’enrichir Bruxelles avec des milliards ponctuels et de penser davantage a la Defense Nationale, car cet argent ne sert que la pretendue cohesion. Demain nos soldats pourraient bien servir l’armee europenne qui sert l’OTAN, et ne defendra pas le peuple suisse, ndlr
JE CONTINUE,BRAVO LES HONGROIS,LONGUE VIE A LA HONGRIE !
Colonisation par l’islam : la Hongrie résiste, elle …
18 Mai 2018JackCitoyens et défenseurs de la patrie, Grand Remplacement, Immigration
Colonisation par l’islam : la Hongrie résiste, elle …
Résistance à la colonisation musulmane, maire en tête. (Oh non ne rêvez pas, surtout pas en France, EN HONGRIE)
Fatigué de voir des centaines d’illégaux détruire sa commune, le maire envoie des « gros bras » faire le ramassage.
17 mai 2018, par Tori McNabb
https://redrightvideos.com/fed-up-mayor-just-sent-bounty-hunters-to-round-up-hundreds-of-illegals-destroying-his-city/
Une équipe de « chasseurs de migrants » en Hongrie en a capturé des centaines qui tentaient d’entrer dans le pays, en route pour l’Autriche. Sur la photo, l’organisateur Laszlo Toroczkai, maire d’Asotthalom.
Le Daily Mail révèle que les 5000 habitants d’Asotthalom, (ville frontalière de la Hongrie avec la Serbie) ont découvert avec horreur des groupes d’immigrants disséminés dans leurs fermes, dormant dans les jardins et les dépendances, tandis que des milliers d’autres traversaient le centre de leur petite ville pour se rendre dans d’autres pays d’Europe.
Dans l’espoir de faire passer un message on ne peut plus clair aux réfugiés musulmans que « la Hongrie est un mauvais choix pour les migrants », le maire, Laszio Toroczkai, sans le moindre remords, est resté fidèle à sa parole en envoyant « un groupe de gros bras en motos, hélicoptères et même à cheval à travers la campagne de sa commune à la poursuite des indésirables ».
« Il est très important pour notre petite ville de préserver ses traditions » a dit le maire. « Nous pouvons voir de grandes communautés musulmanes en Europe occidentale qui sont incapables de s’intégrer, et nous ne voulons pas subir la même sort ici ».
Il a mis en place une politique de tolérance zéro contre les migrants, disant que le futur de l’Europe est en jeu à cause de gens qu’il appelle « envahisseurs musulmans » et « futurs terroristes » ; il s’est juré d’arrêter ce mouvement dans sa commune.
Il a annoncé de nouvelles règles pour sa ville et désire que le reste de la Hongrie fasse de même, interdisant la construction de mosquées, rendant illégal l’appel musulman à la prière et interdisant la burqa et le maillot de bain « burkini ». Il dit que ces mesures sont essentielles pour empêcher les musulmans de semer la peur, l’alarme et le choc parmi les habitants.
Il ne fait aucun doute que des millions de ses compatriotes partagent son dégoût pour les migrants. La manifestation la plus évidente en est la barrière bloquant le passage, surnommée le nouveau « rideau de fer » par certains, qui s’étend maintenant sur 176 km le long de la frontière avec la Serbie, équipée de dispositifs de surveillance déclenchant l’alarme en cas de tentative de passage et signalant tout endommagement.
Une fois les « cibles » attrapées par les « chasseurs » en tenue camouflée, ces derniers les couchent par terre et les ligotent. D’autres efforts pour ralentir le flux migratoire sont tout aussi impitoyables, avec une barrière chapotée par du fil barbelé muni de lames de rasoir sur 176 km et les interdictions déjà mentionnées concernant les mosquées, l’appel du muezzin, la burqa et le burkini.
De plus, des milliers de policiers et de soldats patrouillent le long de la barrière, avec, pour instructions, de renvoyer les migrants en Serbie y compris sans ménagement par la force, même s’ils ont déjà pu franchir la barrière.